Les prêtresse du purgatoire.

Après avoir encaisser un sacré en paroles l'Abura en concluait la chose suivante...




La flemme venait de s'intensifier. Yuko était plus que folle de rage... Toutes ces personnes et même Universa lui ont caché pas mal de choses... Dont une fille. Elle en avait assez entendu et vu. Un sentiment de dégoût profond venait de naître en elle. Elle ne tarda pas à prendre ses filles dans les bras, le regarde meurtrier.






Les petites ne devaient certainement pas comprendre la situation, mais elles savaient que si maman était hors d'elle-même c'est qu'elle avait ses raisons. Leur lien s'étaient bien fortifiés avec le temps. Cependant, le trio en fasse d'elle était une belle paire de connasses . Ca ne changeait pas vraiment de ses relations avec la gente féminine de d'habitude. Elle n'attendait aucune réponse de qui que ce soit ici. Son choix était fait et elle en avait le droit. Quitter ces lieux qui ne signifiait désormais plus rien pour elle, puisque "mademoiselle fille cachée de papa" se permettait de prendre ses aises de princesse sainte ni touche à peine de retour. La femme huileuse savait que c'était une perte de temps de discuter avec une brouette qui pensait connaître la vie... Elle ne s'attarda pas plus longtemps sur le sujet.
L'abura n'était pas stupide non plus comme pouvait le penser cette bande de salopes, elle s'attendait même à ce que l'une d'entre elles tentent de la mobilisé, elle n'aurait aucun scrupule à être destructrice en cas de représailles du genre. Sa priorité tournait désormais autour de SES enfants et elle avait bien d'autres chats à fouetter.

Chaque parcelle du corps de Hakai était passé en état d'alerte, le ton de voix de Asuna avait changé tout comme son attitude qui était maintenant entièrement détendu, l'Uzumaki tournait la tête auprès de la Chikara et sa vision d'horreur se confirmait en voyant Amoritia trembler de tout son être.. Hakai ne put que immobilisée de nouveau sa cousine avant qu'elle ne fasse une bêtise, c'était la seule façon pour toute les personnes présentes de pouvoir encore réussir respirer les quelques minutes qui suivrait.



Malheureusement cela ne suffirait pas a calmer la prêtresse qui allait bientôt exploser, dans le cas de Hakai elle hésitait sérieusement a s'enfuir le plus loin possible pour ne pas se trouver face au déchaînement de sa cousine qui n'aurait certainement aucune pitié pour chacune des personnes présentes.



C'est quelque seconde furent vécu sûrement par toute les personnes présentes comme les dernières de leur vie, le Fuinjutsu venait d'être brisé mais alors que la prêtresse allait effectuer le moindre mouvement un homme apparaissait devant elle les bras croisés l'air grave.





Toute les personnes présentes paraissait figé face a la scène et n'osait bouger, les yeux de tousse était resté figé sur l'homme et la jeune prêtresse. Cela durait quelques minutes avant que la prêtresse ne soupirait et partait calmement en dehors du jardin.


Tous se regardèrent la jeune femme disparaître dans l'ombre comme si aucune trace d'elle n'avais existé en ce monde. Hakai se laissa tomber par terre, les yeux pleine de larmes heureuse de savoir qu'elle avait échappé a une mort certaine. Amoritia toute tremblante venait également se poser a côté d'elle, elle la rassurait mais Hakai sentait encore toute ces pulsions tourner vers la peur, mais avant même qu'elle perde connaissance par le stress Amoritia la pris par les bras et commençait à marcher en la soutenant, les seules choses que Hakai se rappelait était les paroles de son frère a Yuko.



C'était la dernière chose que Hakai voyait avant de perdre connaissance, le stress prenant le dessus absolues sur elle et la plongant dans les ténèbres..

Yuko s'arrêta nette avant de franchir d'atteindre la pas de la porte. Elle pouvait ressentir la colère de la sainte ni touche... Elle ne s'était pas stoppée de peur, car des situations précaires elle en a une plus d'une dans sa vie ! Elle se retournait surtout vis à vis du cri désespérer d'Hakai dont la voix était tremblante.


Ni une, ni deux le sang ne fit qu'un tour dans le corps de l'Abura. Elle était plus remontée et prête à se battre avec cette sale peste de fille à papa. Yuko retroussait ses manches ne lâchant pas la fausse rouquine du regard.


Alors que les deux femmes allaient s'affronter, un autre individu fit son apparition. Il ordonna d'un ton ferme à la pimbêche de cesser ses caprices ce qu'elle fit en se victimisant d'avantage. Yuko serra les dents une nouvelle, la seule chose que cette gosse méritait, était une bonne correction ! Elle ne lui pardonnera pas son intrusion de la sorte à prendre tout le monde de haut et encore moins de douter d'Universa ! Même si la femme huileuse avait pleuré longuement sa fausse mort, elle gardait toujours en elle cette lumière d'espoir de pouvoir le revoir un jour.



Aux mots de son frère Hakai semblait soulagée... puis s'évanouissait. Amoritia se rapprochait elle aussi terrorisée par la petite pute religieuse. C'était la première fois que l'Abura les voyait dans un état de transe comme celui-ci.

Pour épargner à ses enfants ce triste tableau, Yuko les avait laisser bien en retrait derrière la porte ne sachant pas ce qui pouvait potentiellement se passer à la suite des provocations puérils de cette gamine grossière.




La mère de famille récupérait les fillettes qui s'étaient permises de lui désobéir. Elles étaient terrifiées, les larmes aux yeux. Elle leur embrassa le front l'une après l'autre pour les rassurer, les serrant fort contre elle.


L'Uzumaki pouvait constater que Yuko se "détendait" un peu plus en sa présence. Elle était loin d'être stupide et de savoir que la personne en qui elle pouvait avoir le plus confiance ici, c'était lui.

L'Uzumaki croisait les bras et sortait un petit cigare qu'il plaçait dans sa bouche. L'homme regardait sa frangine et Amoritia partir en direction de. la maison épuisé par cette conversation. L'abura l'interpellait alors mais son ton avais changé et était devenue un peu plus doux que ce qu'il avait vu de leur conversation entre femelle.



Sacré famille de timbré... Pourquoi les membres de cette famille avait tous des problème psychologique ? Tsuki pour faire passer son fameux test si on pouvait faire partit de cette famille passait comme une grosse raciste et une vieille mégère, Hakai était sans gêne et était une telle maniaque du ménage qu'elle pouvait fracassé n'importe qui pour un grain de poussière, Amoritia était une colérique de première, qui était proche de la bipolarité et Universa.. Ouais n'en parlons pas..

Tandis qu'il regardait ces deux petite cousine et leur fessait des petits sourire rassurant, l'Abura lui posait une question concernant son cousin, effectivement tout comme elle il avait été l'un des derniers a être mis au courant de cette situation, tout les détails lui avait été donné mais il avait hâte de voir tout cela de ces yeux..



Senso s'asseyait a l'endroit exact où était assise sa frangine quelques minutes avant et regardais l'Abura a travers les flammes.



Tout cela epuisait l'Uzumaki, Yuko aurait pu être au courant bien plus vite si seulement ces services n'avais pas récupéré la lettre, Hakai était indisponible a cause de son travail et lui même était partit faire un tour sur les plaines de Hana..



Disais il en explosant de rire, se rappellant un jour d'un repas de famille ou Yuko avait lâché cela sur Universa sans se retenir.

Senso était celui que Yuko respectait le plus dans cette famille de fou. Il a toujours su trouver les bons mots et sa présence rassurait l'Abura. Elle écoutait attentivement le rouquin avant de lui demander une faveur.


De quel type d'absence pouvait-elle bien parler ?


Une urgence qui concernait ce soir là...


Elle n'aurait jamais pensé prononcer ses mots à nouveau, la gorge nouée de chagrin.


Ce regarde devint plus sévère et sa voix de femme de caractère revenait au galop !




Elle garda son air de madré qui était prête à punir un enfant qui s'apprêtait à faire une bêtise. Alors que Yuko était prête à passer définitivement le pas de la porte, elle déposa ses jumelles.




Elle les serra fort dans ses bras avant de les embrasser sur le front, chacune.


Et sans dire un mot de plus, elle laissa les courses qu'elle avait fait plus tôt à Senso, ainsi que ses filles pour aller se préparer. Un long voyage l'attendait et ça allait chauffer et pas qu'un peu !

Senso voyait bien que l'Abura avait l'air pensif et énervé, bon après tout vu la situation c'était parfaitement normal, Asuna n'avais pas été tendre du tout et Yuko elle avait un caractère et un tempérament aussi trempé que Tsuki lorsqu'elle s'énervait..

Il écoutait alors les paroles de la jeune femme attentivement avant de lui répondre calmement.



Koya... Voilà que son évocation donnait un rictus a l'Uuzumaki mais bon c'était ainsi, pourquoi devait elle partir ? Senso était curieux mais ne pris pas la peine de poser la question, si l'Abura voulais partir là bas ces que son ancienne vie devait la rattraper, mais souatte il en était ainsi il ne chercherais pas plus loin.



Mais avant qu'il ne puisse dire quelque chose l'Abura lui demandait que aucune femme n'approche ces petites, au vu de l'altercation c'était pas vraiment étonnant mais bon il en était ainsi..



Il regardait ces petites embrassades et ce petit moment mamour entre la maman et ces deux petite princesse, Yuko avais lâché les sac de courses et était partit se préparer, les deux petite princesse c'était alors précipité vers Senso pour lui faire un calinou qu'il leur rendait avec plaisir.



Elle répondais toute deux positivement le sourire au lèvre, une petite pizza pour remonter le moral ne fessait jamais de mal après tout.