Les fuyardes

Le rouquin désactiva le sceau, signe qu’il approuvait votre marché. L’un des blonds l’accompagnant semblait toutefois en désaccord avec cette idée. Ton regard se porta sur celui qui semblait se nommer Manjiro, mais tu ne dis pas un mot, il n’était pas important de s’en soucier, seul l’aval de son supérieur était nécessaire ainsi que le médecin à leur côté. Tu ne pus t’empêcher de te demander ce qu’il avait bien pu faire pour se retrouver ainsi en mission en guise de « punition », les Konohajins avaient des méthodes bien étranges… Mais ceci n’était pas tes affaires, tu te contentas de commencer à marcher lentement en direction de l’endroit où tu avais laissé Rima. C’est alors que le dernier d’entre eux, le seul dont tu n’avais pas encore entendu le nom, t’interrogea sur la manière dont ta partenaire s’était blessée. Tu restas hésitante un court instant avant de répondre :



Tu ne pouvais décemment leur dire dans quel contexte cette blessure état arrivée. C’était trop dangereux car tu ne savais toujours pas le lien qu’entretenaient les deux nations aujourd’hui, pouvais-tu leur expliquer que vous aviez fuie l’Empire ? Ils comprendraient rapidement les origines de Rima, un échange de regard serait suffisant, inutile d’en préciser d’avantage pensais-tu. Voulant cependant instaurer un minimum de confiance et de sympathie entre vous, tu ajoutas :

En réalité, il s'en fichait totalement. Dans les faits, il le savait, il n'allait pas dire à une adversaire qu'il tenait plus que tout à un coéquipier, c'était certainement lui donner l'avantage. Manjiro avait été formé pour cela et bien qu'il ne considérait pas grand monde, il aurait fait exactement la même chose pour un proche. D'un ton peu agréable, il rétorqua :


Le Chikara ne pouvait pas croire en une telle coïncidence... Une étrangère au même endroit qu'un véritable massacre et cela ne serait qu'un ... hasard ? Elle n'essayait même pas d'expliquer correctement la situation, le blond n'y croyait pas. Il se mit alors à sourire et décida de se poser contre un arbre.


Il simulait la douleur en bougeant son mollet. Il disposait enfin d'un énième chance de trouver son frère et il ne comptait pas passer à côté.

J'écoutais le simple échange entre le médecin et l'étrangère. Daiki commençait déjà son travail d'analyse, il sera amené à avoir une grande carrière en tant que médecin ninja. Sauver une vie est plus difficile que d'en supprimer une, je partais de ce principe. Les élus du chakra ne sont conditionnés qu'à utiliser ce dernier dans le cas d'une guerre ou d'une mission comme celle d'aujourd'hui. La triste réalité des shinobis.

Cependant, un cas particulier nommé Manjiro m'inquiétait au sein de notre groupe. Ce dernier avait une idée derrière la tête et je me fiais à mon intuition m'alarmant qu'elle ne devait pas être de bonne augure. Soupirant, en écoutant le blondinet voulant prouver qu'il était un "vrai ninja", je ne pouvais m'empêcher de lui rétorquer la chose suivante :


Je faisais bien mention de son agressivité et de sa rage en combat. Cette dernière n'était pas normal, cela relevait bien d'une émotion que ce jeune garçon avait énormément de mal à maîtriser.


Je ne pouvais m'empêcher de lui adresser un petit sourire narquois. Le voilà encore à chercher une excuse bidon pour tenter une nouvelle confrontation verbale. Devais-je essayer de lui accorder ma confiance et de risquer de le laisser seul ici, ce qui selon moi et la pire des idées, car je n'aurai aucun visuel sur ses faits et gestes. Ou bien, devais-je prendre le taureau par les cornes pour lui rappeler qu'il n'était pas libre de faire ce qu'il voulait comme il le pensait ?


Je perlais, non pas saouler par le comportement du jeune homme, mais par la douleur que me procurait mon corps. Le plus à même d'être le poids mort de l'équipe actuellement n'était certainement pas ce gringalet qui connaissait tout mieux que tout le monde.


Ni une, ni deux, je prenais à nouveau de la hauteur. Là au moins, je pouvais enfin grimacer de douleurs.

Daiki écouta la blessure qu'avait sa camarade, si elle disait la vérité alors c'était un miracle qu'elle ne soit pas déjà morte ou ne meurt pas malgré les soins. En tout cas une chose était sure, c'était rudement infecté et il fallait se dépêcher si on voulait la sauver.



Daiki savait pourtant que ce n'était pas une Konohajin et qu'il n'avait aucun lien avec elle, mais il devait reconnaître qu'il avait du mal à se dire qu'il ne tenterait pas de sauver une vie, au moins tenter. Même si il était officiellement un médecin de Konoha, il était sensible à la cause humaine en vérité, et voilà tout.



La rixe semblait continuer entre Eikichi et Manjiro, Daiki ne savait toujours pas vraiment pourquoi, mais il pouvait en dire qu'il espérait que la mission se termine vite. Ils étaient 3 konohajins sur un lieu de massacre dont Daiki, Eikichi qui transpirait à grosse gouttes, même si il ne voulait pas le dire et étant donné les bruits qu'il proférait périodiquement, il était lui aussi blessé, et Manjiro qui était également blessé à son mollet. Avec l'auteur du massacre qui courait toujours dans la nature, en étant accompagné d'une inconnue aux cheveux blancs avec laquelle ils avaient conclu un "marché".

Tout cela ne disait rien qui vaille et Daiki aurait du monde à soigner, il préférerait en tout cas soigner Manjiro plus loin dans un endroit posé car quelqu'un avait besoin de son aide dans les plus brefs délais.



Ils continuaient à avancer et Daiki avait un peu peur de l'état dans lequel il retrouverait l'amie de cette personne aux cheveux blancs, mais il espérait qu'il pourrait la sauver en tout cas.

Tu observais silencieusement la scène entre les deux Konohajins. Tandis que le médecin avec qui tu discutais semblait plutôt du genre tranquille et peu rancunier, son camarade avait l’air d’une forte tête. Le pauvre Uzumaki avait sans doute pour mission de « dresser » le blondinet, mais celui-ci était particulièrement rétif devant ce qu’essayait de lui transmettre son supérieur. Ce n’était pas sans te rappeler tes congénères. Les Kaguya étaient particulièrement fiers et incapables d’admettre leurs erreurs et ils n’estimaient que deux choses : la force et la violence. Les mots étaient inutiles avec eux, et le dénommé Manjiro était un cas similaire visiblement. Finalement, l’Uzumaki lui ordonna de poursuivre la mission à vos côtés avant de s’éclipser. Continuait-il à jouer son rôle de surveillant furtif à travers les arbres ou tentait-il de cacher la douleur infligée par le coup de la forte tête ? Quoiqu’il en soit, ce manque de discipline flagrant au sein de leur équipe pouvait jouer en ta faveur en cas de problème, mais tu ne pouvais pas laisser cela vous ralentir. Tu t’adressas alors à Manjiro :



Tu t’arrêtas alors de marcher, observant la bruyante forêt aux alentours, tu ajoutas :



Tu haussas ensuite les épaules avant de te tourner comme pour te remettre en route. La décision du jeune homme t’importait peu, mais tu ne voulais pas perdre plus de temps. Tu savais de toute façon que tu n’avais que peu de chance de le convaincre de cette manière. C’est pourquoi tu ajoutas à nouveau quelques mots :

Manjiro n'était pas en accord avec le chef de mission, mais il était inutile d'insister. Ce dernier ne changerait pas. Il était vieux et roux. Concernant les divers conseils, cela ne faisait qu'amuser le blond. Au fond, il préférait disparaître en se battant que de se retrouver dans une campagne voisine à demander de l'aide comme un pauvre rat blessé. Pour autant, il était insolent pour le Chikara de penser ainsi, il venait d'un village en paix... Il soupira et fit un simple signe de la main droite à son camarade médecin pour lui indiquer qu'il allait suivre. Au mieux, il pourrait potentiellement achever la cible blessée et indiquer que celle-ci était dangereuse... Non, cela ne fonctionnerait pas avec cette équipe... Ils étaient idiots, c'était une occasion insolente de devenir quelqu'un d'important. Il le savait, s'il continuait ainsi, il risquait de nuire à ses propres objectifs. Il était préférable de s'avouer vaincu. Au fond, c'était la vérité, il n'avait pas su arrêter cette femme par lui-même. Après un long soupir, il reprit son air enjoué et désinvolte.


Sans mimer la douleur, Manjiro s'était effectivement abîmé la jambe. Ce n'était pas bien important, mais il ne pouvait clairement pas courir à une vitesse convenable.


Bien qu'il ne souhaitait pas l'être, le blondinet était, en toute circonstance, un être abjecte. En réalité, il souhaitait vérifier quelque chose... Si les femmes n'étaient pas coupables de ce crime, pourrait-il trouver un indice concernant la disparition de son frère ..? Pour le Chikara, sa disparition était un électrochoc et il craignait que ce dernier subisse le pire.

Vous aviez marché plusieurs minutes durant, tu essayais tant bien que mal de retrouver ton chemin à travers cette épaisse forêt. Par chance, tu étais loin d’être une idiote, tu savais que les lieux comme celui-ci étaient de véritables labyrinthes pour quiconque n’était pas familier avec l’endroit. En guise de repère, tu avais, à l’aide ton kunaï, effectué des griffures sur l’écorce des arbres environnants. Pour te faciliter la tâche, tu avais volontairement choisie des arbres « différents » des autres, ceux qui étaient plus large, ou plus petit que la moyenne. Si bien que retrouver ton chemin ne fut pas si difficile, et vous arriviez finalement à cet endroit abandonné servant d’abris à Rima. Néanmoins, dès votre arrivée, tu remarquas une silhouette écroulée devant la porte, très vite tu compris qu’il s’agissait d’elle.



Crias-tu en te précipitant alors vers elle. Très vite, tu te plaças à genoux à ses côtés, et tandis que tu retournes son corps inconscient et brûlant, tu tentes ce que tu peux pour lui faire reprendre conscience. Alors que tu la secouais légèrement, tu criais :



Mais c’était inutile, la jeune Hattori demeurait silencieuse. L’observant, tu remontas légèrement son haut pour regarder sa blessure qui lui avait été infligée sur la hanche. Ce que tu aperçois immédiatement n’a rien de rassurant et expliquait facilement son état, même pour un non-inité à une quelconque médecine. Manque de soin, sa blessure s’était visiblement infectée, et s’était même répandue le long de sa jambe. Elle avait besoin d’un médecin au plus vite, mais n’était-ce pas ce que tu étais partie chercher ? Te retournant alors vers l’un des blonds, tu dis à celui-ci :



Le ton de ta voix révélait l’évidence : tu étais paniquée, et tu n’avais pas la moindre idée de ce que tu pouvais faire pour lui venir en aide. Cette fille, qui ne t’avais jamais rien demandée d’autre que de l’aide pour prouver sa valeur auprès des siens, était dans un état critique, tout cela parce-qu’elle avait voulue t’aider, toi une Kaguya dont la vie n’avait guère d’importance. À tes yeux, il aurait été bien trop injuste que son histoire se termine ainsi…

La voie était libre et je pouvais ressentir le chakra de l'inconnue. Il était faible, ce qui signifiait que la vie de la jeune femme écroulée devant la porte ne tenait plus qu'à un fil. Etait-ce son destin de mourir ici ? Je n'avais aucune réponse à cette question, seul Daiki allait devoir mettre ses talents à l'épreuve.

Durant notre courte escapade, je ne cessais de me répéter les mots de Manjrio... "Un ours tueur de Konohajins." Pour une fois, cet adolescent désinvolte avait probablement trouvé une véritable piste... ? Les traces de pattes laissés sur le corps des cadavres y ressemblaient étrangement. Mais la violence subit par les braves shinobis décédés annonçait bien pire qu'un simple ours... De nombreuses rumeurs accouraient dans la forêt de Konoha. Le nombre insuffisant de ninjas pour protéger le village dévoilait une certaine faille, une fragilité qui pouvait voler en un éclat. La preuve durant cette mission. Devoir faire déplacer une nouvelle troupe pour en chercher une autre, si ce schéma ne cesse de se répéter, alors... l'ennemi ne s'en priverait pas pour détruire Konoha.


Regardant aux alentours de la cabane pour veiller à la sécurité du petit groupe, je me faufilais dans les feuillages pour continuer à chercher ce qui aurait pu terrasser nos shinobis qualifiés. Je ne pipais pas un mot, je ne donnais aucune instruction supplémentaire au deux Chikara. Je cherchais et fouinais dans les environs... Le moindre pas, la moindre trace pour comprendre à quel genre de monstre nous avons à faire serait précieux. Isolé et blessé par le coup de Manjiro afin d'éviter de faire couler du sang inutilement bien avant de venir ici, il valait mieux que je camoufle mon chakra pour me faire discret. Bien trop vulnérable avec mon épaule en vrac et ma côté fêlé, je ne pourrais pas être un soutien pour l'équipe si cette monstruosité montrait le bout de sa truffe...

Pour le moment, mon rayon est suffisant pour avoir un oeil sur mon équipe. J'osais espérer que Manjiro ferait de même et fouillerait les environs à la recherche du moindre indice. Quant à cette femme à la coupe au carré, elle était libre de rester avec son amie pour le moment, je n'oubliais pas notre marché et il ne valait mieux pas qu'elle trahisse cette pseudo confiance que nous avons construit ensemble à la force de nos mots.

La petite troupe d'une composition assez bizarre arriva proche de la victime aux cheveux noirs. Le médecin se précipita sur elle, pas assez vite au gout de la femme aux cheveux blancs qui était vraisemblablement paniquée, en même temps il y'avait de quoi.

Étant donné qu'il travaillait à l'hôpital de Konoha la plupart du temps, Daiki avait rarement à gérer des blessures gravissimes, en tout cas à un tel point. Cela faisait peut-être une semaine qu'une grosse blessure lui avait été infligée, et ce, sans qu'elle soit soignée.

Il devait aller vite car la vie de cette personne était mise en danger, Daiki redoutait que l'infection se soit propagée au système sanguin. En tout cas, il ne pourrait pas la remettre sur pieds ici. L'endroit n'était pas stérilisé et il n'avait clairement ni assez de matériel ni d'expérience pour faire quoi que ce soit. Ce qu'il pouvait faire en revanche c'était de la soigner temporairement et d'éviter d'autres complications encore.

Le seul et unique point positif était qu'elle respirait encore. Pour combien de temps ? Le médecin n'en avait pas la moindre idée alors il devait se dépêcher.

Il commença par nettoyer la blessure, d'abord avec la fin de sa gourde puis il supprima la douleur de la patiente sur le plus gros de sa blessure, avant de nettoyer avec de l'alcool. Ensuite, il appliqua son chakra médical sur le bout de son kunai, faute de meilleurs outils. Il devait couper les morceaux de chair les plus infectés et donc dangereux. Il avait énormément de mal à être précis. Mais, au bout d'un moment dont il ne pourrait estimer la durée, il avait fini le plus gros du travail. Il ne pouvait décemment pas poursuivre sans risquer d'engendrer des complications, voire même la mort de cette personne.

Egalement, il n'avait pas oublié qu'il ne se trouvait pas en territoire allié et ne voulait pas gaspiller plus de son chakra. Il se tourna alors vers la première femme. Ainsi, il fit une carte informative de la jeune femme, il nota ce qu'il avait fait comme bilan médical, en précisant que l'individu restait potentiellement dangereuse.



Pour être honnête, il avait un peu peur de la réaction de cette femme, alors il se tenait sur ses gardes, sans que cela soit visible pour autant.

Balanças-tu au jeune médecin, la voix pleine de colère. Qu’il ait fait de son mieux ou non, tu n’en savais rien, mais pour toi ce n’était clairement pas suffisant. Tu l’as regardé trifouiller sa chair morceau par morceau pendant de longues minutes, muni d’un kunaï qui plus est… Quel genre de médecin ne possédait pas le minimum nécessaire sur lui ? N’enseignaient-ils rien à Konoha ? N’étaient-ils pas ici à la recherche de survivants éventuels à soigner ? Tu serrais le poing, il n’en aurait pas fallut beaucoup plus pour que tu ne t’en prenne à lui, mais après un regard posé sur Rima qui ne réveillait toujours pas, ta colère fut comme envolée.



Demandais-tu alors que tu commençais à porter ton amie sur le dos. Tu le regrettais, mais tu avais besoin d’eux pour arriver là-bas au plus vite. Tu n’avais pas oubliée ta promesse quant à leur fournir ton aide, mais la vie de Rima passait avant tout. Il restait un dernier point que tu avais omis jusqu’ici, peut-être celui-ci avait son importance. Tu aurais pu ne rien dire, mais ils auraient finis par le comprendre et tu ne voulais pas que cela se retourne contre vous.



Tu n’avais aucune idée de l’état des relations entre les deux nations, aussi préféras-tu garder pour toi le fait qu’elle avait sciemment trahie les siens pour t’aider à t’enfuir. Aller à Konoha avec elle représentait déjà un risque, il était inutile d’en rajouter… Puis, après tout, ils finiraient bien par le comprendre d’eux même.

Après avoir effectuer une ronde, je pouvais retourner auprès du groupe. Aucun danger en vu pour le moment, il n'y avait aucune trace de griffes géantes dans les parages. J'optais tout de même pour rester à l'affut du moindre danger en restant cacher dans les feuillages des arbres aux alentours. Une préférence de ma part, Daiki n'en avait certainement plus pour longtemps concernant l'état de la femme blessée.

Sujet à part, je n'avais plus le chakra de Manjiro en vu... Cela était assez contraignant, j'osais espérer que ce phénomène n'en faisait pas qu'à sa tête !

Manjiro n'avait bien évidemment trouvé aucune preuve concernant une quelconque attaque, il n'était pas un individu particulièrement malin et il n'évoluait que par sa propre force physique. Il commençait même à se poser des questions concernant les deux femmes supposées, pouvaient-elles réellement être innocentes ? Accroupi et dos posé contre un arbre, il se demandait ce qui avait bien pu faire cela... Peut-être qu'un Minashigo ? Ils étaient nombreux dans le secteur. En soupirant d'ennui, il constata comme une marque sur la main d'un individu. A quatre pattes, il approcha.


Comme une sorte de chair déformée... Cette dernière bougeait de temps en temps. L'homme était mort, mais son corps pouvait bouger ? Le regard subjugué, il ne tarda pas à dire :


Ce n'était pas réellement ça... Le garçon ne le savait guère, mais il se trouvait sous un endroit relativement rare... Une fuite d'énergie. Des lieux où, lorsque les activités sismiques étaient importantes, de l'énergie brute était dégagée... Une énergie qui, à la manière d'un Minashigo, pouvait totalement revoir l'ADN de l'individu pour le transformer en une chose amorphe. Un ninja senseur ne pouvait le sentir qu'en cas d'activation de cette dernière et s'y extraire exigeait une vitesse extraordinaire. Pour autant, se retrouver dans un tel lieu à un tel moment, cela relevait à plus que de la malchance.


C'était dorénavant connu à Konoha, il existait deux énergies ; l'une que l'homme pouvait maîtriser et une autre, plus brute, qu'il ne pouvait pas. Le Kirishitan usait d'une énergie plus proche de la seconde...