Entrainement sur la plage

Gochiro ne cessait d'encourager la jeune femme à tenir le coup. Il semblait plus croire en elle qu'elle même. Mais alors qu'elle le regardait, son sourire grimacé affiché sur son visage, une grosse vague vint s'écraser sur elle. Dans un cris strident, Kioko fut renversée, la tête sous l'eau et les jambes en l'air. Elle se débattu un instant avec la mer avant de ressortir sa tête et tirer une grande inspiration de cet air glacial.



Trempée de la tête aux pieds, le t-shirt mouillé moulant sa poitrine opulente, Kioko ne pouvait plus rester.



Kioko tourna les talons, non sans espérer que le Mizukage ne la retienne ou vienne à son secours ...

Une houle était venu s'écraser sur le corps de Kioko, ce qui eu pour effet de la renversé avec plus ou moins de violence. Prit dans le remue elle se débattu un cour instant puis par la suite décida d'abandonner le défi, qui devait lui paraître stupide... Le Mizukage regarda quelque instant le corps de la douce Kioko s'éloigner doucement... Dans un élan de regret, contrarié de l'avoir entraîné dans une situation qu'elle n'appréciait pour le moins du monde, il se redressa de tout son corps, lui qui était avachi dans l'eau... Puis intercepta la jeune femme, l'attrapant par le poignet lui faisait faire volte-face et s'excusa doucement...



Il se retrouvait debout devant la Chuunin, l'eau ruisselant sur son corps nu... Il pouvait sentir les frissons de la jeune femme, entendre le léger claquement de dents ainsi que sa respiration haletante... Ils avaient à présent, uniquement les pieds immergés d'eau de temps à autre par les vagues... Alors le Mizukage pour la réconforter quelques peu, lui caressa tendrement la joue...

Finalement, Gochiro attrapa la main de la belle blonde. Même si elle s'y attendait, Kioko fut légèrement surprise. Surtout lorsqu'elle se retourna et se trouva nez à nez avec le Mizukage nu. Elle resta un instant figé devant la situation puis repris ses airs habituels de femme charmeuse.



Gochiro lui caressa la joue ... ainsi l'homme le plus fort du village pouvait aussi être doux ? Kioko n'y croyait qu'à moitié. Elle lui répondit cependant d'un petit sourire puis elle prit sa main dans la sienne. Doucement elle la caressa en murmurant :



Kioko gloussa et lâcha alors la main du Mizukage et sortit activement de l'eau pour se retrouver sur la plage. Elle essora là son t-shirt et remis ses habits.

Malgré le rang prestigieux de l'homme, ainsi que la sévérité qu'il est obligé de laisser apparaître de temps à autre, il savait être un homme agréable pour autrui, doux et attentionné! Alors que le Kaguya caressa la joue de la femme frigorifiée, elle lui prit la main en lui murmurant que son thé se devait d'être bouillant, par quoi il répondit d'un simple sourire... Puis partir un peu plus loin pour récupérer sa tunique et la renfiler par-dessus un t-shirt bien humide. Le Mizukage en profita pour faire de même et cacher sa nudité par ces vêtements qui allaient absorbait l'eau ruisselante sur son corps...



La demeure du chef de Village se trouvait à une dizaine de minutes de marche des côtes maritimes, non loin du centre ville... Après avoir entendu la réponse de Kioko, ils partirent côte à côte en direction du village...

Gochiro lui proposa de l'emmener chez lui. Kioko n'avait jamais vu la maison du Hokage et imaginait que c'était un prestige de pouvoir y entrer. Il ne fallait donc pas refuser cette invitation.



Kiko finit donc de se rhabiller puis elle suivit le Mizukage vers sa demeure. En chemin, elle grelotait. Elle demanda donc pour penser un peu à autre chose qu'au froid qui lui paralysait les muscles :

La jeune femme répondit au Mizukage par un simple "je ne peux refuser une telle invitation"... Comme si elle y voyait un honneur que de pénétrer dans ça demeure! L'homme de pouvoir aimait se montrer accessible et proche de ces citoyens, ouvrir la porte à quiconque venait frapper pour discuter et boire un thé, choses, à son regret, qui ne se produit pas assez fréquemment. Il apprécierait pourtant fortement échanger avec d'autres membres du village sur des sujets quelconque...Puis elle le questionna sur cette activité aussi spéciale...Alors, il lui répondit:



Après quelques minutes de marche, il se retrouva devant la porte d'une maison. Gochiro prit le devant et invita la jeune femme à quitter ces chaussures puis à pénétrer dans son antre. Il ne fallait en aucun cas s'attendre à une maison superficielle, il n'y avait que peu de meuble et seulement un bonsaï en guise de décoration, le Mizukage était un partisan du simple et du rustique... Rien n'appartenant à l'extravagance... Alors, il emmena Kioko dans la salle de bain, puis lui procura une serviette douce...

Ainsi le Mizukage était du genre Yoga et détente ... Les Kaguya n'était pas des hommes qui tenaient surtout à la puissance de leurs coups ? Kioko avait toujours crus cela. Finalement, Gochiro n'était pas forcément celui auquel elle s'attendait.

Finalement ils arrivèrent rapidement à la maison du Kage. Dedans, rien d'extravagant. On aurait dit la maison de n'importe quel habitant. Il emmena Kioko dans la salle de bain et lui donna une serviette.



Elle accepta la proposition du Mizukage et fit alors qu'il quitta la salle de bain :



Kioko gloussa et commença à se déshabiller pour entrer dans la douche. L'eau chaude lui fit d'abord mal. Elle dégagea un petit cris de surprise puis finalement mis son corps entièrement sous la douche et se laissa bercer sous la chaleur de celle-ci. Un vrai plaisir ...

Tout en quittant la salle de bain, il entendit les dernières paroles de Kioko, ainsi il lui répondit:



Sur cette petite pointe d'humour, il commença à se diriger vers le salon avant d'entendre un petit cris provenant de la douche, immédiatement il fit demi tour pour venir s'assurer que tout allait pour le mieux pour la jeune femme, au travers de la porte, il lui dit:



Dans l'attente d'une réponse, il réfléchissait sur le fait qu'il connaissait beaucoup de ninjas de Kiri par leurs noms -Travail assidus qu'il s'était forcé de faire- mais ne connaissait pas réellement qui ils étaient, ce qu'ils pensaient, ce qui les caractérisaient, alors il savoura ce moment, où il avait la possibilité d'en apprendre plus sur cette belle Kioko...

Gochiro avait entendu son petit cris et s'était précipité à la porte de la douche. Kioko gloussa et répondit :



Kioko éclata de rire tout en se frottant la peau sous la douche. Enfin, elle commençait à sentir à nouveau ses doigts de pieds. Mais qu'est ce qui m'a pris de le suivre dans l'eau ? Je suis vraiment folle ! pensa-t-elle.

Finalement, la belle blonde sortit de la douche et s'essuya avec la serviette que lui avait donné Gochiro. Elle voulut remettre ses habits cependant ils étaient encore trempés. Faisait une moue désapprobatrice, la Gaikotsu noua sa serviette autour de la poitrine et prit ses habits dans la main. Elle sortit ainsi de la salle de bain retrouver Gochiro à qui elle annonça :

L'homme laissa sortir un petit rire suite à la phrase ironique de la femme sous la douche. Si tout allait pour le mieux, il pouvait enfin partir préparer le thé promis à Kioko en compensation de l'effort fournit pour pénétrer dans une mer glacée.



Alors, Gochiro se rendit directement dans son salon, puis attrapa une grande et étroite boite possédant un couvercle d'ivoire muni d'une feuille d'or en dessous, celle-ci conservait le thé des collines de Kiri, une herbe cueillit par ses propres soins, poussant uniquement sur l'île. Un des plaisirs quotidiens du Mizukage... Une liqueur se buvant à n'importe quelle heure et sous n'importe quel prétexte. Ainsi, il mit tout en place sur la petite table, prêt à servir son hôte! Assis en position du lotus, il attendait l'arriver de la douce Kioko... Alors, après quelques minutes d'attente, la jeune femme pénétra dans la salle, son corps caché sous la serviette, cette femme faisait preuve d'un charisme certain...



Tout en prononça cela, il se mit à verser une eau bouillante dans deux tasses disposées devant lui, doucement l'odeur du thé envahissait la pièce... Il était l'heure de le déguster...

Gochiro était installé, prêt à servir le thé comme l'avait convenu sa promesse. Un petit sourire fendit le visage de la belle femme lorsqu'il présenta les différentes options. Il avait beau être Mizukage, il restait un homme. Un homme avec ses besoins, ses envies... Ce qui était le plus passionnant pour Kioko.

Après un petit instant où elle semblait hésiter, elle laissa tomber sa serviette à ses pieds. Pendant quelques secondes, elle fit rien, puis lança :



Elle gloussa un peu, elle avait probablement surpris le Mizukage. Restant là, face à lui, nue, sans aucune gêne, les formes généreuses présentées majestueusement, elle le regardait avec malice.

Qu'allait-il faire ? Le Mizukage n'était pas facile à déstabiliser. Y arriverait-elle ?

Alors que Gochiro était assis en lotus devant la table basse, tout en touillant la liqueur chaude à l'odeur exquise, humant la vapeur qui se dégageait de celle-ci, il entendu la Gaikotsu lui demander des affaires de rechange... Ainsi, elle avait prit cette décision ? Quelque peu déçu dans un premier temps que la douce n'accepta pas de rester auprès de lui le temps que ces linges soit secs. Mais la déception ne fut que de courtes durées lorsqu'il rompu sa position du lotus pour se retourner dans la direction de Kioko et aperçut la jeune femme nue, la serviette à ces pieds, gloussant quelque peu... Son corps aux formes plus que généreuses semblaient être parfait. Surpris, sur le moment, le Mizukage prononça uniquement un simple:



Son visage se mit à rougir légèrement, la nudité en elle même n'était pas un problème, il fut uniquement surpris par l'acte de la belle Kioko... Marquant quelques secondes d'arrêt, le temps de reprendre ces esprits, il reprit son sérieux. Alors, il se redressa avec nonchalance, puis fixa le regards perturbant de la jeune femme nue! Doucement, il se mit à ouvrir sa chemise, bouton après bouton, laissant entrevoir de nouveau son torse d'homme viril. Puis continua de se déshabiller au complet, se trouvant dans son plus simple appareil tout comme la Chuunin... Il était rentré dans le jeu de la femme, celui où le but était de déstabiliser son adversaire, peut-être même de le séduire... Tout en s'approchant pour lui offrir les vêtements encore chauds qu'il venait de retirer, il dit d'une voix rauque de désir: