Entrainement sur la plage

Après un instant de surprise que Kioko savoura comme une gourmandise, Gochiro enleva à son tours ses vêtements et les tendis à la chunin. Ainsi il était entré habillement dans son jeu. C'était même un plutôt bon joueur. Kioko sourit. Elle aime le jeu.



Kioko gloussa doucement à sa propre blague puis elle prit les vêtements du Mizukage dans les mains. Elle enfila la chemise puis tenta de fermer les boutons.



Elle releva la tête vers Gochiro pour demander de l'aide avec une petite moue la rendant presque mignonne.

Gochiro aimait la situation dans laquelle tous les deux se trouvaient, dans ce jeu de provocation, de séduction et de déstabilisation... Kioko sorti une petite blague, par quoi le Mizukage répondit par un simple sourire charmeur. Kioko, avait enfilé la chemise du chef, les boutons ouverts, cela laissait le plaisir d'entrevoir sa poitrine... Gochiro la dévorait du regard, elle avait dans cette tenue très légère un charme qui n'était pas à débattre, n'importe quel homme de Kiri ou toutes autres nations seraient envoûtées par les formes et la sensualité de cette déesse... Puis elle se mit à tenter de refermer la chemise, en vain, elle releva la tête, avec une mimique très agréable, qui faisait ressortir un côté délicat, puis demanda de l'aide au Kaguya, qui se tenait nu devant elle...



Gochiro se glissa doucement dans le dos de la séduisante Kioko, puis d'un geste tendre, il décala les cheveux d'un côté de la nuque de la femme, posant ainsi son souffle chaud sur le cou découvert de la belle blonde... Tout en glissant ses mains sur les hanches de celle-ci, il commença à refermer doucement le premier bouton de la chemise... Bien qu'il espérait secrètement, qu'elle mette fin à cet acte à tout moment, préférant rester dans une nudité la plus totale l'un et l'autre... Puis lui susurrant à l'oreille:

Après un petit sourire, Gochiro se glissa dans le dos de Kioko. Durant ce cours instant, la belle blonde en profita pour inspecter le corps de Gochiro, notamment son membre. Satisfaite, elle se laissa faire. Le Mizukage passa ses mains sur les côtés pour fermer le bouton rebelle. Drôle de façon d'aider quelqu'un à fermer sa chemise.

Cet instant semblait être suspendu. Kioko sentait le souffle chaud du Mizukage dans son cou tendis que ses mains ne semblaient pas être là uniquement pour fermer ses boutons. Cette situation lui tira un petit sourire coquin. Dommage que Gochiro ne pouvait pas le voir, si non il aurait compris les intentions de la chunin.

De ses mains délicates, Kioko pris celles du Mizukage.



La jeune femme tourna le buste et sa tête juste assez pour pouvoir apercevoir le visage de Gochiro. Toujours les mains sur les siennes, elle lui fit un petit sourire. Leurs lèvres étaient très proches. Si proche qu'elle avait l'impression de presque sentir leur présence sur les siennes. Elle le regardait dans les yeux d'un regard malicieux. Le jeu allait devenir vraiment intéressant.

Doucement, elle se tourna totalement vers lui et posa les mains du Mizukage dans le creux de ses reins. Avec les siennes, elle remonta le long de ses bras jusqu'à ses épaules musclées. Elle pouvait sentir sous la peau douce de Gochiro, des muscles saillants et imposants. Un touché plutôt agréable qu'elle apprécia.

Le Mizukage était totalement envoûté par la femme se trouvant devant lui, les mains dans les siennes... Ce moment était d'un agréable inégalable, il aurait donné n'importe quoi pour que cet instant soit éternel... Alors, Kioko tourna le buste pour apercevoir le visage de son Mizukage, leurs lèvres se trouvaient à moins d'un centimètre l'une de l'autre, il sentait la respiration chaude de la femme sur sa bouche, son regard charmeur plongé dans celui-ci de la dame, se perdant dans le bleu de ses yeux. Prêt à l'embrasser, mais s'y refusant pour laisser durer le plaisir qu'était la séduction. Puis doucement, Kioko se tourna complètement face à lui et entraîna les mains de cet homme dans le creux de ces reins pour que les siennes puissent suivre le cours des bras muscler de Gochiro et s'arrêtant sur les épaules de celui-ci...



Gochiro caressa le bas du dos de la femme, elle avait une peau des plus agréables à toucher, douce, lisse, parfaite... Approchant son visage près du cou de cette déesse, il lui murmura:



Puis il effleura avec ses lèvres le long de son cou, s'arrêtant juste au-dessus du col de la chemise pour y déposer un baiser pendant que ses mains se glissèrent doucement sur ces fesses... Son membre durcissait de plus au plus au contact de la séduisante Kioko...

Aimer ? Aimer ? Ce mot fit l'effet d'un coup de fouet à Kioko. Le Mizukage avait-il parler d'aimer alors qu'ils se connaissait à peine ? Dans quel sens devait être interprété ce mot ?

Kioko se raidit instantanément. Elle le fixa, les yeux ronds, pendant un instant. Elle leva alors le doigt à côté de son visage avec un sourire gêné comme pour marquer une pause dans un jeu.



La voix pas très rassurée, Gochiro devait s'imaginer la réponse qu'elle attendait. Kioko n'était pas du tout une femme à marier où à être aimée. Ce qu'elle aimait c'était le jeu.

Tout se passait pour le mieux, le jeu était à son apogée quand tout à coup, la jeune femme trouva le meilleur moyen pour briser en mille éclats un instant des plus agréable par la mauvaise interprétation d'un simple mot... Comment pouvait-elle pensait qu'un homme au grade de Mizukage pouvait tomber littéralement amoureuse d'une femme dont il connaissait peu de choses, comment pouvait-elle imaginer que son Kage pouvait-être aussi faible d'esprit, se laisser envoûter au point d'aimer une inconnue...
Alors, Gochiro repoussa avec délicatesse le corps de Kioko avant de faire volte-face pour cacher une partie de sa nudité, le jeu prenait fin, il prit la serviette que la jeune Kioko avait laisser au sol quelques instants plus tôt et la mettant autour de ces hanches pour cacher le bas de son corps, tout cela sans prononcer le moindre mot... Il se retourna et fixa la Gaikotsu d'un regard neutre, avant de prononcer ces quelques mots:



Le Mizukage venait de vivre un véritable ascenseur émotionnel... Tantôt dans un jeu de séduction, plus que plaisant et la seconde suivante, dans un sentiment mélangeant frustration et déception... Alors, il retourna s'asseoir au même lieu que là où tout avait commencé... Laissant le choix à la jeune femme de retenter une approche au risque de subir un refus foudroyant ou bien allait-elle tout simplement quitter les lieux sans prononcer le moindre mot...

La jeune femme fixa le Mizukage avec des yeux ronds. Elle aurait aimé être n'importe où sauf ici, dans cette situation de malaise. La rupture brutale provoquée par Kioko avait fait l'effet d'un froid pareil à l'eau qu'ils avaient emprunté peu de temps auparavant.

Devant les paroles difficiles de Gochiro, Kioko ne put que s'exécuter. Elle prit ses affaires encore mouillées pour s'en revêtir et, non sans être gênée, elle quitta les lieux.

Sur le chemin du retour, elle était songeante. Que venait-il de se passer au final ? Etait-ce une bonne idée de tisser sa toile sur l'homme le plus important du village comme elle le faisait avec tout les autres ? Ne s'était-elle pas dans un jeu un peu trop risqué ?