Parce que c'est comme ça

Dehors, le ciel -tapissé d'étoiles- commençait à s'obscurcir. Une multitude de petits nuages noirs commençaient à s’agglomérer au dessus du Village du Feu mais aucune goutte d'eau ne semblait faire son apparition. Un temps menaçant qui s'apprêtait à "craquer". Un temps orageux.

Gekido observait ce ciel sombre et sans lune depuis la baie vitrée de son bureau. Il était resté ainsi depuis son retour de la réunion diplomatique avec les deux envoyées de Kiri. En effet, durant son retour à son bureau, il avait apprit ce qu'il c'était passé dans l'Arène lors de la final. Il avait appris ce que les "rebelles" Chikara avaient tentés de faire, ce qu'ils avaient entamé. Depuis quelques temps déjà, il soupçonnait les Chikara d'agir en secret afin de le reverser ou, du moins, de perturber le pouvoir en place. Son pouvoir. Cependant, il ne c'était pas attaqué à la bonne personne.

L'Homme aux cheveux rouges avaient livré bien des batailles et connaissait les rouages du combat comme personne. Peu de ninja avaient autant de mort à leur actif et surtout, aucun d'eux ne possédaient un Démon comme squatteur. Ainsi, pour la première, il allait livrer bataille. Et, pour la dernière fois, il reverrait le visage des traîtres Chikara.

Gekido tournait le dos à la porte de son bureau. Dans l'entre-bâillement de cette dernière, les têtes de Kugu et de .. dépassaient. Ils attendaient leurs ordres. Après tout, Gekido ne les avaient pas fait monter pour rien. Soudain, avec un voix inéligible mais étrangement calme et posé, il dit:



S'avançant sans crainte et la tête haute, la balafrée récupéra la liste que le Kage avait laissé sur le bureau. Il y a avait une copie de cette liste avec un ordre tout fois différent. Néanmoins, il ne s'agissait pas de la liste dont elle avait s'occuper et la jeune femme s'en retourna à son poste, après avoir dit:





A son tour, le Courrier du Kage s'avança et récupéra la liste de nom, la mémorisa puis la jeta dans la corbeille du Kage. Il prit avec lui seulement la lettre à remettre. Il regarda l'Hokage, toujours tourné vers sa fenêtre et sans dire un mot, s'en alla trouver les ninja de la liste qu'il avait mémorisé.

La pluie ruisselait sur le visage pâle de la jeune femme. Les yeux rivés vers les cieux, Kazami ne semblait plus être elle même. Ce qui s'était passé aujourd'hui allait tourner une page dans l'histoire de Konoha. Bien avant qu'elle reçoive la convocation du Hokage, elle savait qu'elle allait être appelé. Gekido n'avait sans doutes pas apprécié la rébellion en public des Chikara. Leur plan n'avait à présent aucune chance d'être annulé. Kazami n'avait plus aucun argument.

Derrière elle, elle sentait le souffle de son élève. Il l'avait suivit, sous la pluie et sans explication jusqu'aux portes du bâtiment Kage.



Kimino était un élève brillant et fort. Elle n'eut que peut d'hésitation à l'appeler. Elle savait qu'il la suivrait. Et quoi qu'il arrive ce soir, elle le protégerait jusqu'au bout. Il n'était pas question qu'il soit blessé. Personne n'allait être blessé. Personne sauf ce clan maudit par la rancoeur, l'égoïsme et le désire de vengeance. Ils allaient mourir. Tous.

Quelques pas firent franchir la porte aux deux ninja médecins. Lorsqu'ils arrivèrent au bureau du Hokage, Kazami salua Gekido en inclinant respectueusement la tête.

Kimino pensait rester tranquillement avec sa cousine ce soir. Le temps devenait orageux, et il n'avait pas de tour de garde à effectuer. C'était la soirée idéal pour ne rien faire, peut être à part méditer un peu et partir se coucher. Mais par la fenêtre, il vit apparaitre Kazami. La jeune femme ne semblait pas tellement vouloir que Taram sache qu'elle était venu. Et Kimino devait la suivre sans poser de question. Tout d'abord il pensa que c'était peut être juste une mission comme dernièrement avec l'attaque de loup. Mais plus il avançait vers le bureau du Kage, plus il comprenait que ce soir c'était différent. Sans savoir ce qui allait se passer ce soir, le jeune homme se retrouva devant son Hokage.



Le jeune Uzumaki comprenait bien que quelque chose n'allait pas en cette nuit. D'autant lorsqu'il n'eu aucune réponse à sa question. Peut être qu'une guerre venait d'éclater, et qu'en temps que gardien du village il devait être prévenu au même titre que le bras droit du Hokage. Ce qui était sur, c'est que le jeune homme était vraiment loin de ce douter qu'il entrait sans doute dans la pire nuit de sa vie. Les cauchemars qu'il avait la nuit était assez grand comme ça. Et maintenant des plus violents encore allait venir s'y ajouter. Ce qui était sur, c'est que s'il revenait vivant de cette mission, il ne serait plus jamais le même après ça.

Le jeune garçon avait les yeux perdus vers le ciel, ce jour-là les gouttes coulaient sur sa peau et l'effleurait avec délicatesse. Ce dernier tendait la main vers le ciel, mouvement symbolique, pourtant il ne savait pourquoi il faisait ce geste.

Aujourd'hui était une journée folle, un Chikara qui se rebelle, Qazea qui démontra dans ses paroles sa fierté Chikara bien qu'il soit sûrement le plus travesti d'entre eux. Il y avait trop à s'inquiéter et le gamin commençait à douter de sa force. Était-il si puissant qu'il le laissait entendre ? Avait-il réellement la force de défier le clan Chikara ?....

Une larme coulait tout à coup sur sa joue, ce dernier avait peur, il était faible, fragile, avait-il réellement le pouvoir de tuer un homme ? C'était une expérience qu'il avait expérimenté et ne voulait jamais revoir, mais pour accomplir la dernière volonté de son père ne devait-il pas affronter ses peurs ?! Ne devait-il pas montrer férocité et ambition ? C'était un homme qui était là, sur le toit de sa maison, effrayé à l'idée de devoir bientôt tuer des hommes.





Le gamin après quelques minutes seul sur son toit, attendant d'attraper froid, reçu un message, c'était une lettre du Kage. Non pas une simple lettre, c'était une convocation, c'était sûrement la Juhi qui venait de recevoir l'ordre de mission. Bien que le sujet de cette convocation n'avait pas encore été donné le jeune UZumaki savait à quoi s'attendre, il allait avoir pour ordre de tuer les Chikaras rebelles,... C'était l'heure !

Le gamin arrivait donc dans la salle et s'y positionna simplement, il ne dit rien, il était perdu dans ses pensées réfléchissant à s'il avait réellement la force d'accomplir cette mission. Mais chaque homme sain d'esprit n'avait-il pas son moment de doute avant l'acte ?

Il n'y a plus rien à faire. Attendre reste la seul option. Ces quelques pensées traversèrent la tête de Gekido alors qu'il regardait la pluie commencer à tomber sur le Village de Konoha. Son village. Et, tandis qu'il attendait sagement que ses invités arrivent enfin, il se remémora ses premiers jours en tant qu'homme d'influence pour ce village. L'immense satisfaction ressentit lorsqu'il eut enfin la chance de s'asseoir derrière ce bureau puis l'incroyable crainte de ne pas être à la hauteur qui avait suivit. Par ailleurs, il ne c'était jamais vraiment séparé de cette impression -bizarre- de ne pas être à la hauteur de ce poste à responsabilité.

Cependant, en cette nuit noir et pluvieuse, il savait ce qu'il devait faire. Ce n'était pas tant en Chef de Village qu'en Chef de Clan qu'il agissait. Il souhaitait simplement clore le chapitre Guerre une bonne fois pour toute. Plus de ressentiment, plus de haine. Seulement la paix. Néanmoins, le sang de certaines personnes devraient couler pour arriver à cette paix.

Et, tandis que Kazami -son amante et bras-droit- ainsi que Kimino -l'élève de cette dernière- prenait place dans ce bureau, il repensa à la jeune Kirijin. Elle aussi souhaitait la paix pour son village. Elle aussi était près à la gagner aux prix du sang. Finalement, ils étaient semblable.



Pas un mot de plus ne sortit alors que la bouche de Gekido. Prononcer d'un ton froid, presque mortuaire, cette annonce sonnait comme un glas dans l'esprit de Gekido. Il savait -tout comme Kazami- qu'une fois cette réunion terminé plus rien ne serait comme avant. Qu'il s'agisse d'eux ou de Konoha, tout aurait changé...

Jin arriva peu de temps après le binôme Kazami-Kimino. Néanmoins, contrairement à d'habitude, l'adolescent avait une mine sombre et les yeux dans le vague. Sans saluer ceux qui se trouvaient autour de lui, l'enfant Uzumaki se positionna dans un coin de la pièce sans parler. Puis, les yeux dans le vague et les bras croisé, il semblait attendre. Comme tout le monde. Tout ceux présent attendait la venu d'autres personnes et ce, dans une atmosphère pensante. Presque écrasante. Gekido ne savait que dire de plus. Il regarda seulement la jeune femme d'un air presque désolé.

Le jeune homme était toujours là dans son coin, posé le dos sur le mur à attendre que quelqu'un ose enfin prendre la parole afin de déblatérer les lourdes paroles que tout le monde s'attendait à attendre. Il n'y avait pas grand monde dans cette pièce. Gekido, Hokage et chef du clan Uzumaki mais pas seulement, aussi celui qui décida de délivrer et de transformer en arme le gamin qu'est notre protagoniste. Il y avait aussi Kazami, sa complice de toujours, notre protagoniste les soupçonnaient d'avoir une relation, si ce n'est affective purement sexuelle. Mais il y avait aussi un autre visage que le jeune homme ne connaissait pas. Vu sa chevelure c'était un Uzumaki et par le biais de sa présence il devait-être important.

Jin ne connaissait pas grand monde dans le clan, ni-même dans le village. Il avait été et restait un peu sauvage, il n'aimait pas autrui et tentait de l'éviter tout au possible pourtant il avait su trouver, lors de son voyage et lors d'une balade en forêt, des hommes qui avaient sut lui faire croire en autrui, ces deux personnages étaient importants pour le gamin et lui avait montré qu'il ne fallait pas toujours rejeter autrui.

Mais à Konoha tout semblait différents, rien qu'à regarder les mines de ceux présents dans ce bureau. C'était des mines déconfites, tout le monde s'attendait à entendre l'une des phrases les plus importantes et effrayantes de leur vie. Ce n'était pas une simple mission qui allait être dévoilé ici mais un tournant. Là les personnages présents par leur victoire ou leur défaite auront leur nom cité dans un livre d'histoire avec écrit "Héro" ou "Salaud". Leur honneur, leur héritage ainsi que leur nom était en jeu. Qu'allait-il arriver.

Jin ne voulait pas être là, il voulait fuir, mais ce dernier avait fait une promesse à son père et il savait que s'il fuyait personne n'accomplirait ce qui devait être fait ! Ainsi il restait péniblement dans ce bureau à attendre que l'on lui dise d'aller voler des vies, des rêves, des héritages et des noms.

Konoha, konoha, konoha. J'étais un fils du feu et Konoha était ma vie, mon esprit. Je souffrais depuis des années de voir les multiples clans de Konoha s'entre-déchirer ainsi et n'en jamais finir. Après l'émeute que l'annonce de Len au tournoi avait suscitée, le Kage m'avait convoqué : il s'agissait du même coursier d'élite que pour la section Juhi. Une missive du Kage m'indiqua que les choses avaient mal tournées et que malgré tout, il comptait sur moi, que je faisais partis des gens en qui il avait le plus confiance et qu'il n'autorisait qu'une poignée de membres d'élites dans son bureau la veille. Je souriais et demandais au coursier de brûler la lettre. Elle me demandait aussi de venir lui parler ce soir avec d'autres de ses membres de confiances. Je m'habillais d'une façon assez légère : il faisait encore assez chaud en ce moment même si l'on n'étais bientôt l'automne. Cependant, je ne pouvais pas mettre de tenue de combat alors que si ça se trouve, cette réunion était pascifique. Et si jamais ça tournait court, une tenue légère me permettrais de me déplacer correctement.

Quoi qu'il en soit, j'avais reçus la lettre un peu tard : l'heure du rendez-vous était fixée à dans une vingtaine de minutes. En me déplaçant rapidement et en m'habillant vite, je pus arriver avec seulement un peu de retard dans la mesure de l'acceptable. Sa secrétaire me laissa parler et vue l'importance de cette réunion là, je toquais et me présentais même si je n'attendis pas : mieux valais discuter le plus vite possible : cela me paraissait pressant.


J'ouvris ensuite la porte et constatais que des personnes étaient déjà la : bien évidemment, mes compères de la section Juhi était présent ainsi qu'un autre juene homme à la chevelûre rousse que je ne connaissais pas. Je refermais la porte derrière moi.



Même si cinq minutes, ce n'était pas énorme, c'était toujours moins bien que d'arriver à l'heure. Surtout dans les situations de crise.

Seul Jin et Kazami semblaient savoir pourquoi ils étaient là. Kimino, le coeur pur, n'avait probablement aucune idée de ce qu'il allait lui arriver. Lorsque Qazea arriva, Kazami sentit son coeur se serrer. Jusqu'au dernier instant, elle avait espéré que Qazea ai quitté Konoha. Car s'il était là, il était soit du côté des Chikara et dans ce cas elle devrait le tuer, soit il serait de l'autre côté et dans ce cas il la haïrait jusqu'à la fin de ses jours. Une larme coula discrètement de son oeil, comme si elle l'avait déjà perdu. Comme si tout allait se finir maintenant.



La rouquine s'approcha de son coéquipier de longues dates et le pris dans ses bras. Comme un câlin d'adieu. Leur amitié allait probablement en être froissée, quelqu'un soit sa force brute. Elle avait envie de lui dire qu'elle était désolée, elle voulait lui parler à la place du Hokage ! Mais aucun mot ne sortit de la bouche de la belle junin.

La gorge nouée, elle reprit sa place, les yeux figés au sol, attendant que l'ouragan d'amasse sur elle ...

L'ambiance était pesente, trop pedente. Kimino était quelqu'un de pur, mais ce n'était pas un idiot pour autant. Il observa toutes les personnes qui arrivait. La tension était trop pesante, et lorsque la belle Kazami revint de son câlin avec le Chikara. Kimino s'approcha d'elle et lui murmura.



Son pire n'était pas innocent. Le jeune homme savait ce qu'il pouvait se passer avec les Chikara, surtout depuis le spectacle que Len avait donné en publique. Ce qui inquiétait plus Kimono, c'était ce que Tsubasa avait à voir dans ce problème. Kimino était fou d'elle et il ne supporterait pas de la voir mourir. Mais il ferait ce qu'il faut pour le village. Même la tuer. Tout à coup une forte angoisse s'empara du jeune Uzumaki.

Lorsque j'entrais dans la salle, je vis Kazami en lutte intérieure avec elle-même. Mal à l'aise, elle semblait vouloir me dire quelque chose. Une larme fine et perceptible par peu de personnes roula sur sa joue. D'une voix chevrottante, elle lâcha mon nom et me pris dans ses bras. Ce geste simple et amical me rappela tout ce que j'avais vécus avec Kazami – La haine, l'amitié, la fraternité, l'Amour (?), l'esprit d'équipe et bien d'autre encore. Même si mes sentiments en son égard étaient plus qu'incertains, elle était importante pour moi et je la suivrais jusqu'au bout. Elle me pris dans ses bras pendant de longues secondes et lui rendis son câlin. Si seulement elle comprenait que j'étais quelqu'un de fidèle et que je ne l'abandonnerais pas… Je savais cependant que cela risquait de nuire à mon clan. Que choisirais-je ? Tout cela pouvait-il encore se terminer autrement qu'en bain de sang ? Je devais trouver un moyen…



Elle récupéra sa place, baissant les yeux. Je me tus également et fixais mon Hokage. Que désirait-il annoncer de si important ? Le début du massacre Chikara ? Ou bien tout simplement un plan B ? Je n'eus pas la force de répondre à l'autre roux présent qui demanda ce qui se passait à Konoha. J'étais comme vidé intérieurement.

Il ne manque plus que Qazea, pensa l'homme à la chevelure rougeâtre. En effet, il n'attendait pas ceux extérieur à la Section Juhi avant plusieurs -longues- minutes. Leurs chemins seraient sans doute bien plus long.

Puis, après quelques minutes d'un long silence, Qazea arriva enfin. Lorsqu'il toqua à la porte, toute les têtes, tout les regards se tournèrent vers lui. Il semblaient être le centre de l'attention de ce salle silencieuse. Mais, pour Gekido, ce n'était pas lui le centre de l'attention, mais son nom de famille. Chikara. Car, s'ils étaient tous réunis à présent, c'était à cause de l'annonce de l'un d'eux. Un certain Chikara Len. Un homme que Gekido avait rencontré afin de l'accepté dans la Section Ruto. Un homme dont il avait entendu parlé lors d'un rapport de Taram -sur de sombres événements survenus dans les prisons. Un homme qui osait critiquer son règne...

Tandis que Kazami étreignait l'enfant prodigue, Gekido posa ses fesses sur son fauteuil. Puis, après c'êtres positionné face à son bureau, il toussota afin d'avoir l'attention de ceux présent dans la pièce. Ce qu'il allait leur dire n'était que l'introduction d'un discours beaucoup plus long.



Gekido n'avait pas bronché lors de la venue de Kimino à cette réunion. Après tout, Kazami était assez mature pour savoir qui amener ou non lors d'une telle réunion et l'amant de la rouquine faisait entièrement confiance aux jugement de sa compagne.



Gekido s'arrêta un instant et, avec un ton digne d'un vrai professeur, expliqua



Enchainant, Gekido repris avec un ton plus sec



Il s'arrêta là. Afin de connaitre les réactions et opinion de ceux présent.

Le gamin en avait clairement marre de ne rien faire, d'attendre que cela se passe et alors que l'Hokage parlait l'enfant se mit à bouillir. Il en avait marre d'hésiter, marre d'avoir peur, marre de refuser sa promesse, ce dernier voulait mettre tout cela derrière lui et relevant sa tête avec rage ce dernier s'écria avec conviction et haine :



Le gamin regarda autour de lui les regards interrogateurs et ajouta :



Jin s'était donc senti pousser une virilité bien plus grande quand il avait dit ça, peut-être était-ce parce qu'il commençait à devenir cet homme qui apprenait à leader un groupe et à leur dicter ce qu'il fallait faire, ou peut-être était-ce simplement parce qu'il était plutôt classe mais en tout cas il se sentait pousser des ailes.

La conversation venait de commencer mais le point le plus lourd avait été soulevé, il était temps d’entendre les réactions de ces âmes sensibles qui faisaient genre de ne savoir pourquoi elles étaient là aujourd'hui.