Parce que c'est comme ça

En écoutant parler Jin, Kimino compris pourquoi il était là. Et finalement, il avait bel et bien compris depuis le début ce qu'il se tramait ici. Un génocide, c'était le mot, Gekido avait mis en place un génocide. Cela expliquait sans doute les têtes d'enterrement de tous. Mais l'un des jeunes hommes semblait différent. Et pour Kimino il eu tout simplement l'air d'un débile. L'Uzumaki pouvait comprendre que le village ai besoin de tuer un grand nombre de personne pour sa propre sécurité. Mais ce Jin, lui parlait de ça en faisant un peu trop son malin. Kimino ne pu garder son calme face à ça et lui dit.



Kimino savait que des innocents devait mourir, que c'était comme ça la vie d'un ninja. Mais des innocents des autres villages, ou alors des innocents de Konoha mais tuer par des ninja extérieur à au village. Ou par des traitres, pourquoi est ce que le Hokage, et son équipe devait prendre la place des traitres. Kimino se tourna alors vers Gekido et lui dit.

Après les quelques mots de son partenaire roux Jin bouillit, ce dernier s'élançait déjà dans une discussion de tarlouze, il était déjà en train de parler d'enquête, de faire tomber "quelques têtes" mais qui était-il cet idiot pour ne pas comprendre ce qui se tramait. Notre protagoniste ne l'avait jamais vu au village et il semblait bien assez con pour ne pas comprendre la situation actuelle du village.

Les Chikaras montaient une rébellion, certes comme il dirait il y aurait quelques têtes innocentes qui tomberont, celles des enfants et de certaines femmes Chikara. Mais pour combien de temps resteraient-ils innocents, si nous procédions à une enquête et tuions quelques Chikaras, il y aurait pire rébellion encore. Si nous tuions seulement les coupables les innocents verraient pour certains des frères, pour d'autres des pères être assassinés par des Uzumakis, que deviendraient-ils alors ? Ils haïraient la race Uzumaki et voudraient faire de même... Pourtant le gamin ne répondit juste après lui simplement un :



Le gamin essayait de se contenir encore un peu mais après quelques secondes ce dernier ajouta :

Jin lâcha la bombe comme un rocher dans une bassine. Les ninja furent surpris, mais pas assez pour qu'on imagine qu'ils n'y aient jamais pensé. Kimino, son élève fougueux, réagit immédiatement aux paroles de l'enfant. Kazami posa alors simplement une main sur son épaule pour l'apaiser. Elle fit alors un pas en avant, la tête haute comme si quelqu'un d'autre portait son corps douloureux.



Elle marqua une pause et continua :



Sa voix s'était élevée de plus en plus jusqu'à presque crier. Tout lui venait directement du coeur, ses yeux humides en justifiaient la véracité. Elle se tut encore un instant et se tourna vers Qazea :

Gekido commença à exposer la situation connue aux yeux de tous. Oui, une rébellion Chikara moins pacifique se préparait, tout du moins si l'on écoutait les rumeurs qui courraient en ce moment. Oui, je me doutais que Gekido était opposé à la nomination d'un nouveau Kage. Cependant, Jin lâcha une véritable bombe : il proposa le massacre de la totalité des Chikara. La personne rousse -que Kazami nomma Kimino- se révolta face aux paroles irresponsable de Jin. Kazami le réconforta avec de crues paroles, exposant à tous les raisons de l'énervement des Chikara, commençant par la basse estime de trois membres importants du clans qui se sont fait tués sans aucun scrupule par l'actuel Hokage. Elle continua sur sa lancée en indiquant qu'il s'agissait de déserteurs et qu'ils n'avaient jamais fait de mal à des gens innoncents. Cependant, pendant ce discour, je ne pus m'empêcher de fermer les yeux et dû m'empêcher de gémir. Nakatsu… La douleur que j'éprouvais en repensant à lui était immense. Je lançais une pique vers Jin. Son insolence était insupportable.



Je me tus aussitôt pour écouter la suite du discours de Kazami. Elle reprit en disant que cela faisait des années qu'ils essayaient d'apaiser les tensions des Chikara, et que la réaction de Len était tout simplement inadmissible. Sa voix montait en intensité au fur et à mesure de son dialogue. Elle continua sur sa lancée en criant tout ce que les Chikara n'avaient pas fais alors que nous, élite présent dans cette salle, avions fais. Puis elle dit qu'elle voulait protéger le village et que ce clan les en empêchaient. Ses yeux humides me touchèrent. Elle parlait avec le coeur. Cependant, je… Je me tus, trop ému pour rétorquer de suite lorsque cette fois-ci, elle s'adressa directement à moi. Elle me dit que j'étais le seul Chikara en qui elle avait confiance, le seul qui susi toujours resté à ses côtés pour défendre le villafe, le seul dont le but était de défendre Konoha. Puis elle me demanda combien de mes frères m'avaient suivis. Elle conclua en me disant que c'était dure, mais qu'elle avait confiance en moi. Mes yeux humides témoignaient que j'avais été touché mais je refusais de laisser couler les larmes et, regardant Kazami d'un regard implorant, lui demandais une faveur.



Je me tus et relevais ma tête bien droite à présent. Je voulais faire bouger les choses.



Je pris une profonde inspiration avant de continuer.

Gekido se tourna alors vers le duo Kazami-Kimino. Souriant à la jeune femme, il eut envie de tout laisser tomber -laisser tomber son masque de mort- afin de la prendre dans ses bras et l'embrasser. L'embrasser comme si c'était la dernière fois qu'il pourrait le faire. Cependant, il n'en fit rien. Il était aujourd'hui -devant cette assemblé- celui qui dirigeait Konoha. Il était l'Hokage et devait le resté. Il devait resté aussi fort et puissant que son statu de Chef de Village lui imposait d'être. Il continua donc.



Gekido continua alors en rebondissant sur les propos de Kazami



Gekido se tourna alors vers Qazea et enchaina



Il avait réfléchit à cela depuis le début du tournois. En réalité, depuis l'établissement du rapport de Kazami après son retour du Tournois des Champions. En effet, si son plan se déroulait mal, il devait nommé ses remplaçants afin que les Chikara ne puissent agir contre eux sans provoquer le mécontentement de Konoha. Il se rendrait donc seul coupable de ses décisions.

Ayant marqué un blanc, afin que tous puisse réagir de la meilleur façon possible, il repris -après avoir redemandé le calme:



Cette métaphore n'était pas employé par hasard. Gekido avait toujours vu les Chikara ainsi. Ils étaient des animaux attirés par l'odeur du sang...



Cette fois sont regard c'était porté sur Jin et Kazami. Il souhaitait savoir si eux aussi pensait que d'autres personnes -hors Chiakra- pourrait menacer la paix de ce Village.

Le gamin détestait les paroles qui étaient là balancées dans cette conversation, déjà certaines personnes ne semblaient pas comprendre la gravité et la puissance de la situation. Ce n'était pas un moment où nous devions trouver des situations, bien loin de là l'idée de cette réunion, c'était bel et bien un moment où il fallait simplement difficilement annoncer la décision à ceux qui l'accompliraient.

C'était un triste jour, jour où les Uzumaki's deviendraient sûrement le mauvais côté de l'iceberg, mouvement qui sera sûrement perçu auprès des Konohajin comme une vengeance préméditée de ces siècles d'esclavagisme qu'avaient subis les Uzumakis.

Et malgré tout ce que l'on puisse dire ces historiens qui en tireront ces conclusions n'auront pas tord, ces derniers en pensant que ces gamins empruntaient le chemin de la haine et de la vengeance était dans le vrai. C'était une guerre qui avait été déclenchée par cet esclavagisme qui était la cause d'aujourd'hui ce génocide.

Le gamin s'adossa au mur et prenant une voix terrifiante ce dernier lança un :



Le gamin se senti quelques peu pousser des couilles mais disait pourtant la réalité à ces soldats qui en oubliait leurs réels droits et devoirs dans ce pays et le métier qu'ils occupaient :

Dans quel merdier Kazami venait de mettre Kimino ? Et qui était cet espèce de petit con qui se prennait pour le chef. Il n'était ni le chef du village, ni le chef de la section juhi, ni le chef du clan Uzumaki. La meilleur chose qu'il avait effectivement à faire c'était de la fermer, defintivement, Kimino ne l'aimait pas. Kimino le snoba complètement, et fit comme ci ce qu'il avait dit n'avait aucune importance. Puis il se tourna vers le Hokage et dit.



Puis il tourna la tête vers Kazami. Il avait besoin de lui parler seul à seul. Kimino était en couple avec une Chikara, il était amoureux d'une Chikara. De plus il n'était vraiment pas sur qu'elle ne soit pas rebelle. Mais il n'avait pas le droit de le garder pour lui. Il devait le dire, mais il ne le dirait qu'à Kazami. Véritablement, le jeune homme n'avait confiance qu'en elle ici. Il n'allait pas lui demander d'épargner sa petite amie. Juste de le laissé la tuer. Il ne voulait pas que quelqu'un d'autre le fasse et la fasse souffrir. Donc dans un très léger murmure il dit à l'oreille de Kazami.

L'Hokage rebondit sur les paroles de Kzami pendant un certain temps avant de me dire que j'étais libre de me présenter si je le voulais, mais que pour ne pas faire d'injustice dans les membres d'élites de Konoha, si j'étais chef de clan Chikara il mettrait Jin en tant que chef de clan Uzumaki et Kazami en tant qu'Hokage. Il reprit en m'expliquant que je ne serait pas accueilli comme un élu mais comme un paria, et que pendant un certain temps, je serais seul contre tous. Il continua en disant qu'un puissant coup sur les Chikara étaient à envisager au cas ou, puis dit que tout ceux oeuvrant contre la paix devaient périr, Chikara ou non.

Je suis entièrement d'accord avec vous pour ce qui est de la place des membres de la Juhi. Kazami fera une excellente Kage et Jin, une fois qu'il aura un peu mûri, représentera le peuple Uzumaki avec dignité. Pour ce qui est de mon propre poste, j'en suis conscient : j'aimerais cependant tenter le coup pour minimiser les pertes.


Je me tus quelques instants et laissais la parole à Jin qui répondit que les bavardages autour de cette décision étaient futiles, que nous n'étions pas un conseils de sage mais de simples armes qui devaient obéirs aux ordres. Je réfléchis à ses paroles et lui répondit.

Jin, je ne suis pas entièrement d'accord. Nous devons certes obéir à tous les ordres, mais notre rôle en tant qu'élite est également de faire ce qu'il y a de mieux pour le village, comme proposer des idées à son Hokage. Et j'aimerais éviter que les personnes innocentes meurs sans raisons, que la partie que l'on peut encore sauver de mon clan reste en vie.

Kimino adressa une petite parole avant de s'approcher de l'oreille de Kazami. Une... Faveur ? Je passais sur ce point et me tus, attendant la sentence finale.

Kazami regarda Gekido pendant son discours. Elle était de son côté pour pas mal de points. Fière, la rouquine se refusa de verser une larme de plus. Elle ne voulait pas passer pour quelqu'un de faible ou sentimental, elle voulait se montrer forte et digne de cette mission qui ramènerai la paix à Konoha.

Kimino prit à nouveau les paroles de Jin pour lui, n'arrivant probablement pas à faire abstraction de ce sale mouflet. Il vint même lui glisser à l'oreille qu'il voulait lui parler. Le contraire aurait surpris Kazami. Kimino avait la fâcheuse habitude de ne pas suivre les ordres de son supérieur, mais il n'arrivait pas encore à dire non au Hokage. La junin l'avait emmené car pour elle s'était évident : son élève la suivrait là où elle irait. Elle était là pour le former, pas pour le mettre à l'écart !



Elle appuya ses mots dans son regard qu'elle porta à Qazea. Son amitié avec ce Chikara était connue, et cela des deux clans. Il était évident qu'elle n'allait pas l'aider à acquérir ce poste.

Le gamin après son discours à propos du devoir d'un ninja attendit quelques secondes afin de voir les réactions des gens alentours. Aucun ne semblait choqué par ses paroles ce qui était une bonne chose en soit. Tous étaient des ninjas, il était donc tout à fait normal que ces derniers puissent comprendre les mots du jeune homme sûrement formaté par son père lors des tristes temps de la guerre.

En tout cas le jeune homme avait fait son petit discours et après avoir entendu la réponse de son compère Chikara ce dernier le regarda avec mépris avant d'entendre ses paroles. Il n'avait pas tort, tenter de sauver une part de son clan était une bonne chose en soit, mais n'était-il pas en train de discuter la mort du reste de son clan ? Comment pouvait-il accepter de tenir cette discussion à ce jour ? Comment pouvait-il cracher autant sur ses origines, sur son éducation, sur sa fierté et son honneur,.... C'était donc l'un de ces hommes qui étaient prêt à trahir mères, pères, frères, sœurs et cousins pour une cause aussi noble et vague que "la paix" d'un village,...

Pourtant ce n'était pas la paix qui était là en question, tout ce qui se déroulait ici c'était comment un régime de terreur allait être installé. Ici la question n'était pas de sauver Konoha mais d'imposer le règne Uzumaki. Les Chikaras en revendiquant leur place n'avait rien fait de plus que leur droit et surtout leur devoir. Le faire dans un lieu aussi publique qu'un tournoi à propos de la paix était contrairement à ce que disait Kazami tout à leur honneur. Après tout si nous regardions objectivement la chose sans observer de tensions etc, il n'y avait rien de plus "proche" de la paix que le traité qui donnait droit aux Chikaras à un représentant afin de régner auprès des Uzumakis.

Ah pauvre Chikara qui buvait les paroles sectaires de la jeune Uzumaki. Cette dernière était bien plus forte que ce qu'avait pensé le petit, elle savait retourner un cerveau, elle connaissait parfaitement son travail, il n'y avait rien à dire elle avait carrément remonter dans l'estime du gamin...

Gekido regardait Jin dans les yeux. Il avait bien compris ce que l'enfant avait derrière la tête. Ce qu'il insinuait. Mais, Gekido en était conscient, certains habitants de Konoha se trouveraient dans l'Arène demain poussé par la curiosité. Tous n'étaient pas des ennemis. Du moins ceux qui n'étaient pas du clan Chikara.



Le Hokage se tourna ensuite vers Kazami



Regardant Jin puis Qazea, il enchaina