Apprentissage et cafard

Enfin, la jeune femme pu ressentir le soulagement, Genichi avait montré de la clémence pour une fois, aidant même la jeune femme à décoller la cire de ses mains. La jeune femme écouta attentivement tout ce qu'il avait à lui dire. Et même si lui n'y faisait pas attention, la jeune femme n'avait pas oublié la tenue dans laquelle elle était. Bref la jeune femme allait enfin pouvoir retourner dans sa tanière. Son cœur se sera quand il lui dit qu'il viendrait la chercher dans sa chambre. Il savait où était sa chambre... Elle n'était plus à l'abri nul part.



La jeune femme salua Genichi, et repris ses vêtements qu'elle plaque contre sa poitrine et elle parti en tournant le dos à Genichi. Là il aurait une vue de choix, mais il remarquerait sans doute plutôt son dos recouvert de sceau. N'importent quel autre homme aurait regardé la croupe, mais il regarderais sans doute le dos.

[...]

La nuit se déroula dans la douleur, la jeune femme avait pris une douche, lavé ses vêtements et c'était effondré de sommeil. Mais la douleur de ses blessures l'avait réveillé avant le lever du soleil, et de stress de ne pas se réveiller lorsque Genichi allait arriver, la jeune femme se prépara et s'assit sur son lit, attendant le cafard. Quand il arriva elle était donc debout au milieu de la chambre, quasiment au garde à vous.



Simple, pas de question sur le programme de la journée, pas de banalité pas de temps perdu à discuter le bout de gras. Elle avait déjà enregistré les premières leçons.

Une nouvelle journée venait de se lever dans les bas fonds de Kumo. Les tunnels était ce lieu étrange inconnu du plus grand nombre et là où vivait surement les êtres les plus étranges du village... Mes futurs journées poursuivrai le même rythme à compter de ce jour: venir réveiller cette femme au aurore et lui faire subir un entrainement particulier. Ces seuls jours où elle ne me ferait pas seront ceux où je partirai en mission pour le village ou que le lapin aura besoin de ses services. Mais aujourd'hui n'était pas ce genre de jour, et elle profiterai donc de ma présence oppressante...

Je pénétra dans sa chambre sans crier gare. Elle était debout au milieu de celle-ci, aucun doute que sa nuit avait du être pénible, guettant mon arrivé à chaque instant, sans compter les douloureux aux mains, au visage ou encore aux cotes. Toujours était-il qu'elle venait probablement de connaitre le commencement de sa privation de sommeil...



Sans un mot de plus, nous traversions divers couloir dans un silence des plus pesants jusqu'au moment où je décida de le rompre.



Bien que cette discussion semblait être des plus anodines, la réalité était tout autre, j'avais bel et bien une idée en tête que je laisserai submergé le moment voulu...
Alors, nous pénétrâmes dans la même pièce que la veille. Mais aujourd'hui, une chaise était posé au milieu de celle-ci accompagné d'une malle.



Alors que celle-ci s’exécutait. Je m'approchai d'elle qui s'était installée sur la chaise. Lui plaça les poignets sur les accoudoirs et vint fermer un système métallique. Elle se retrouvait prise au piège, bloqué devant son tortionnaire. Derrière la chaise, se trouvait un seau remplit d'eau glacé que je déversa avec négligence sur son corps. Et alors que le stresse devait commencer à la submerger, je vins accrocher aux attaches métallique des chaînes faites en ferraille également d'une bonne longueur que je gardai en main. Je recula de quelques mètres, les chaînes dans la main et lui dit:

Soshi avait plus ou moins "réussi" les salutation avec Genichi. Comment le savait elle ? Il ne l'avait pas frappé, et c'est lui qui avait entamé la conversation. Usagi avait toujours dit à Soshi que son véritable nom était le caméléon. Que personne, absolument personne ne devait savoir qu'elle s'appelait Soshi, sauf si lui, Masashi ou Hidemi lui demandait de le dévoiler. Soshi ne connaissait pas les deux dernières personnes, mais il était certain qu'il ne s'agissait pas du cafard.



La jeune femme ne faisait qu'obéir à son éducation. Ne pas dévoiler son identité, cela ne plairait peut-être pas à Genichi, mais il allait devoir lui ôter son véritable nom par la force. Arrivant dans une pièce, il lui demanda de se mettre nue. Il n'en avait sans doute pas suffisamment vu hier. La jeune femme qui cette fois avait prévu des sois vêtements plus adaptés se voyait obligé de les enlever. Sans un mot elle s'exécuta. Elle eu une petite hésitation avant de s'assoir, peut-être que le test était de ne pas s'assoir. Elle ne prendrait pas le risque de le mettre en colère, elle se mis alors en position. Alors, elle fût glacé par un sceau d'eau glacée, elle lâcha un tout petit cri de surprise qu'elle étouffait rapidement. Tout son corps frissonné m,et la suite n'allait sans doute pas lui plaire.



Pourvu que ce soit non. Par potier faite que ce soit non. Et toujours être nue en face de lui, c'était pour l'humiliation ? Ou alors il se faisait un petit plaisir visuel au passage ?

Je fis gigoter les chaînes afin d'accompagner mes paroles.



Afin d'illustrer le procédé, je me devais de lui montrer ce que j'entendais par décharge électrique. Alors, je serra bien fort les chaînes relié à la chaise et envoya une décharge électrique peu puissante mais qui aucune doute, serait malgré tout douloureuse pour la femme.
Je regarda son corps subir les tressauts de l'electrocution sans une once d'émotion avant de reprendre la parole :

Les règles était simple, pour ne pas souffrir, il suffirait de dire toute la vérité. L'exemple n'était vraiment pas nécessaire, mais Genichi trouva utile de lui envoyer une première décharge électrique, une sorte de test dont la belle Miwaku se serait bien passé. Les secousse se faisait sentir dans son corps, et son rythme cardiaque accéléra légèrement. Puis vint la première question... Serieusement ? Cette question là ?



Même sous la torture, hors de question de manquer à un ordre du lapin. De plus laperuque blanche était là pour que personne ne se doute qu'elle était Miwaku, mais plutôt une esclave Kirijin. Forcément, l'électricité ne mis pas beaucoup de temps à se faire ressentir dans le corps de la jeune femme. Elle trembla, senti son urine venir, mais elle se retint de toute ses forces, pas d'accident pour cette fois. Mais une décharge plus forte et ce serait reparti.



C'était faux, mais personne n'avait dit qu'elle ne pouvait pas mentir pour essayer de sauver sa peau. Son corps avait des sursaut, et des frissons du au froid et à l'électricité. Elle savait qu'elle pouvait encaisser plus que ça, elle ne craquerait pas !

Caméléon, Non, mauvaise réponse jeune dame... Ce n'était pas ce que je désirai savoir, ça, tu me l'avais déjà dit dans le couloir. Ainsi, je suivis le protocole que j'avais instauré et envoya une décharge via les longues chaîne. Je regardai le corps du caméléon se cambrer sous la douleurs. Et curieux, je baissa mon regard au niveau de son intimité. Non, ce n'était pas par voyeurisme, mais simplement, j'étais curieux de savoir si encore une fois, elle finirai pas se pisser dessus. Heureusement, ce ne fut pas le cas. Alors, je souris légèrement.



Puis je pris un ton bien plus sérieux lorsqu'elle surenchérit afin de tenter de me faire croire qu'elle me disait la vérité... Elle était piètre menteuse, et ca aussi il allait falloir le changer !



Finalement, le traitement spéciale dont elle faisait parti aujourd'hui avait également se rôle. Être capable de se détacher de toutes vérités afin de créer des histoires suffisamment crédible pour réussir à me duper... La vérité, j'en avais rien à foutre... Je voulais seulement qu'elle soit capable d'invinter des histoires crédible pour se sortir de chaque situation. Mais, je ne pouvais lui avouer que l'objectif de ce 'jeu' était celui-ci... Sinon, ca serait nettement moins instructeur.

Genichi venait sérieusement de regarder son entrejambe ? Non il n'allait quand même pas se mettre à la mater par dessus le marché. La première réponse ne lui avait pas convenue, pour la deuxième elle allait dire simplement la vérité, elle n'avait aucune raison de mentir pour ça.



Pour lui retirer des choses qu'il jugeaitinutile, comme les ovaires par exemple. Il avait réellement créé une arme qui ne pourrait jamais avoir d'attaches. Pas d'attaches assez forte pour qu'elle se rebelle.



Genichi allait se rendre compte de l'horreur que le lapin avait fait subir à Soshi quand elle était adolescente.

Peut-être devrais-je lui préciser qu'en réalité, quand je dis de répondre avec sincérité, c'est simplement que je souhaite qu'elle m'invente des histoires crédible mais pas la réalité... C'est vrai que pour le coup, j'étais salaud... Je l'a faisait jouer à un jeu en manipulant légèrement les règles de celle-ci.



J'envoya une décharge supérieur à celle précédente, le courant suivit l'intégralité des chaînes avant de parcourir les attaches métallique et se propager sur le corps humide de la femme. Humide était littéralement le terme puisqu'il semblerait que celle-ci ai à nouveau décider de s'uriner dessus... Sérieusement ? Deux décharge lui suffisait pour s'humilier de la sorte ? L'urine glissait le long de ces jambes avant de former une flaque à ces pieds...









Je ne pu m'empêcher de crie contre elle.



Je n'étais pas réellement énervé. Mais quitte à prendre le temps d'expliquer les choses, autant le faire en gueulant, ceci était plus impressionnant...





Cette connasse avait intéret à me raconter la meilleure fable qui me passait pas la tête, sinon aucun doute que je la tabasserai jusqu'à la limite de la mort...

Quelle horrible merde, ce Genichi était vraiment un enfoiré de première, elle avait dit la vérité, et pourtant il l'avait électrocuté tellement fort qu'elle c'était uriné dessus une fois de plus. Elle n'en pouvait plus, puis elle compris. Elle devait le convaincre tout simplement. Donc lorsqu'elle eu fini de convulser à cause de l'électrocution, elle répondit de nouveau à la question.



La jeune femme ne dit rien de plus. Elle arrêta, absolument tout était faux. Mais c'était le but du jeu non ? Elle n'avait hésité qu'une seule fois, juste après avoir dit son faux nom. C'était le seul moment...



La jeune femme tomba en sanglot, de faux sanglot. Mais ils semblaient tellement vrai que Genichi pourrait croire qu'elle n'avait pas menti. Seulement elle n'avait jamais vu un seul lac de sa vie.

Enfin cette conne de caméléon venait de comprendre ! Ce que je voulais c'était des fables, des histoires inventer de toutes pièces, des histoires à raconter, bien ficelé qui pourrait convaincre n'importe qu'elle personne. Ce que je voulais, c'est qu'elle oublie sa propre vie, sa propre histoire pour être celle qu'il faudrait être le jour venu. Le jour où une mission lui imposerait une nouvelle personnalité. Et c'est ce qu'elle fit, ou du moins, ce qu'elle tenta de faire. Son histoire était plausible, du moins pour le moment, mais clairement, elle était une mauvaise menteuse... Ceci, il allait falloir que nous le travaillons, au corps...
Je fis quelques pas en avant afin de me retrouver face à elle. Et sans un mot, je lui décrocha un coup relativement violent au plexus solaire... Malgré le besoin de la faire souffrir, je contrôlai la puissance de mon coup... Certaine rumeur parlait d'adolescent mort sous la violence d'un tel coup. Heureusement, je contrôlai ma force.



Je recula de quelques pas et récupéra les chaines que j'avais laisser au sol pour venir la frapper.

Bonne réponse, mais punition tout de même, la jeune femme eu l'impression debm suffoquer quelque seconde, mais ensuite elle repris ses esprit. Elle n'était pas faible au point de mourir d'un vulgaire coup de poing dans le ventre. Donc l'histoire était bonne mais pas l'intention.



La jeune femme avait énormément de livre, toute les connaissance du Usagi sur le monde, elle les avait lu. Voilà, ce mensonge avait était dit d'une traite, sans broncher, sans hésiter, avec en plus une preuve à l'appui sur son dos. Il allait peut-être revenir à une autre question maintenant.

La jeune femme commençait à s'adapter, elle avait une fabuleuse capacité d'adaptation. Elle comprenait l'entraînement, le réel but. Et elle savait qu'elle avait carte blanche dans ses actes également. Tout les moyens était bon pour les deux, c'était à qui prendrait le dessus sur l'autre.

Le caméléon s'améliorait, son discours avait été prononcé avec moins d'hésitation mais hélas, il manquait encore de vigueur, de réalisme, d'entrain, elle racontait, mais elle ne vivait pas la chose... alors, je me devais encore de la punir... Le courant électrique se concentrait dans mes mains avant que celui-ci parcourt l'intégralité des chaînes et arrive enfin jusqu'au caméléon. J'avais été sympa, ma décharge était moins violente que la précédente. Mais pour autant, pas agréable et douloureuse.





Je me devais de lui montrer ce qu'étais réellement une ombre parmi les ombres, un véritable caméléon...
Alors, je lâcha négligemment les chaînes au sol. Et sortit d'un sac qui se trouvait poser dans un coin de la pièce, de long rouleau vierge. J'effectua plusieurs mundras et les rouleaux vint s'assembler autour de ma personne, me momifiant... Je ressemblait désormais à un Uzumaki, mes cheveux étaient devenu rougeâtre, ma carrure avait elle aussi changer, ainsi que mes habits. Et alors, je lui expliqua.



Je relâcha le chakra et les rouleaux s'écroulèrent à mes pieds, je repris mon apparence.