HRP : https://www.youtube.com/watch?v=cWTt2OPK2dM
GLEE - Stereo Hearts
Elle était amoureuse du village. Comment pouvait-on aimé, à ce point, un village ? Était-ce les habitants du village qu'elle aimait ou bien la structure du village ? Comment était-il possible d'amer une chose inanimé ne possédant aucun cœur, aucune sentiment ? J'étais perdu. Je ne comprenais pas ce que cette phrase était censé vouloir dire et pourtant, j'étais le Kage de ce village. J'aimais, effectivement, le village mais je n'en étais pas amoureux pour autant. Je réservais cela aux être fais de chair et de sang.
Mais peut être que cela ne se fais plus d'aimer quelqu'un, pensais-je.
Les gens en ont peut-être marre de souffrir inutilement et préfère la relation aux objets. Et, bien que cette pensée était étrange, elle pouvait -en seul- tenir la route. Cependant, je savais que ce n'était pas la cas pour Kazami. Peut-être avait-elle vécu quelques choses avec le Chikara. Peut être que ce qu'elle voulait dire était que, maintenant que Nakatsu était décédé, elle n'aimerais plus que la village.
Une promesse faite à ce traître décédé peut-être, me demandais-je tout en me mordant la langue pour ne pas parlé. J'étais en colère. Après tout, et même si aucune relation n'avait eu lieu entre eux, elle préférait ce garçon à moi. Moi. Son Kage. Un membre de son clan. Vraiment, j'espérait que cet homme ne l'avait pas souillé. Mais, alors que Kazami me regardait dans les yeux, je sentis cette tension, cette colère, se dissiper. Elle était trop belle, trop innocente pour cela. J'en étais persuadé. Elle c'était faite avoir par ce beau parleur, rien de plus.
Peut-être même que leur amitié ne servait qu'une chose: Les intérêts de cet homme. Ou pire, ceux de son clan. Finalement, son décès était peut être une bonne chose.
Alors que mes pensées tournait en rond et comme pour ajouté du poids à ces mots précédents et me désespérer encore plus de la situation, Kazami se glissa hors de mes bras et fit quelques pas en arrière. Elle me regardait toujours dans les yeux mais, contrairement à bien des regards de ce genre, celui-ci était dépouvu d'agressivité. Elle me regardait et devait ce demander ce qu'elle devait faire. Dire. Cependant, il n'y avait plus rien à faire. Elle avait fais un choix. Son choix. Et il n'y avait rien à faire d'autre que de l'accepter.
« Alors, peut-être devrais-tu apprendre à connaître également l'homme. Après tout, si tu me suis, si tu me soignes, ne devrais-tu pas en savoir le plus possible sur moi ? »
Cette phrase était là afin de la rassuré. Je ne voulais pas la rejeté. Elle pouvait toujours m'être utile et, peut-être qu'à force de me connaitre, de me découvrir, elle connaitre aussi bien l'homme que le Shinobi.