Amis ou Ennemis ?

Depuis qu'elle avait quitté la prison, Kazami n'avait pas revu Kotaro. Leur discussion l'avait beaucoup fait réfléchir. Elle s'était confiée à lui plus qu'à quiconque et quelque part elle se demandait si elle n'avait pas été trop loin. Après tous, son amitié avec Kotaro datait de avant son départ de Konoha, et les choses avaient bien changées depuis. Pouvaient-ils se faire toujours confiance?
Bien occupée par son activité à l'hôpital et à s'occuper de sa fille, ce n'était qu'aujourd'hui que l'Eisenin décida enfin d'aller voir le Kitto. Chef de la police de Konoha, il allait être facile à trouver. Cependant, elle n'avait pas vraiment grand chose à lui dire. Quelque part, elle avait longtemps espéré que ce soit lui qui revienne vers elle. Etait-il fâché ? Souhaitait-il la mort de Kazami comme certains konohajins ? Rien que d'y penser son coeur se serra. Bien qu'il avait probablement de la colère contre elle, elle ne pouvait pas le voir comme un ennemi.

Après avoir finis sa journée à l'hôpital, la jeune femme n'allait pas directement voir Hanabi comme à son habitude. Elle pris la direction d'un endroit qu'elle connaissait bien où elle supposait y trouver son ami, Kotaro. Il s'agissait d'un petit jardin au milieu du quartier clanique des Kitto, où régnait un immense saule. Un endroit ombragé où le dessinateur s'attardait régulièrement. Du moins, à une certaine époque. Elle s'en approcha doucement, cherchant la silhouette du jeune homme en même temps quelle cherchait ses mots. Peut-être simplement s'assoir à côté de lui l'inspirerait. Ce qu'elle voulait, c'est retrouvé son ami.

Konoha était est pleine tempête. Les annonce de Mako, la menace d'un assaut de Gekido qui planait sur Konoha et l'absence de Kimino qui commençait à devenir inquiétante. Si Konoha était un bateau, on pourrais sans nul doute dire qu'il commençait à prendre l'eau. On pouvait encore l'empêcher de couler, mais il fallait encore trouver la bonne méthode.

Le Kitto lui n'arrétait pas de repenser au choix qu'il avait fait. Suivre mako n'était peut-être pas le bon choix, comme Oni avait essayer de lui faire comprendre. pourtant, il n'arrivait pas à douter des attention de la dame de fer. Oui, il ne doutait pas qu'elle agissait pour le bien de Konoha. Mais elle avait choisis un chemin plus que risquer. Dans son assurance d'agir pour le village, il l'avait suivit afin d'essayer de limiter les risque. belle promesse, mais il se rendait lui même compte que c'était quasiment mission impossible. il ne savait lui même plus réellement quoi faire. Le plan était en marche et il n'était maintenant qu'un simple observateur dans ce jeu de pouvoir, le Kitto n'avait pas sa place. Le temps libre du kitto était également trés limité par tout sa. il cumulait beaucoups de fonction entre représenter son clan, son travaille à la police et au sein de l'ANBU. Il ne voyait plus beaucoups de monde en dehors du travaille. Alors il fût d'autant plus surpris d'apercevoir la rousse la plus hait du village dans son quartier clanique.

Depuis qu'il l'avait raccompagner à sa cellule suite à l'opération du jeune Seïto, il n'avait pas pris la peine de retourner la voir. Encore plus depuis ce que certain présenter comme une "libération" de cette dernière par la régente. Non, Kazami n'était pas libre au sein du village. La police avait mis en place une surveillance qui était probablement renforcé par l'ANBU. Après tout, elle pouvait servir d'otage contre Gekido. C'était sans doute pour cela qu'elle avait encore la tête sur les épaules. même les Kitto qui prônait le pardon avait, au regret du jonin, tranché sur le sort de l'Uzumaki.


Revenant du centre-ville, le Kitto avait reconnus la silhouette de l'eisenin prés du petit jardin qu'il affectionner particulièrement. C'était d'ailleurs agréable de revoir de l'animation dans ce quartier qui avait été déserter lors du départ des Kitto. Il la dépassa d'ailleurs pour aller s'assoir sur un banc sous l'ombre du saule. Il lui fît d'ailleurs signe de le rejoindre.

Alors qu'elle cherchait Kotaro devant elle, ce fut sa voix derrière qui l'interpela. Sa remarque tira un léger sourire à la rouquine. Il n'arrêta pas son pas pour autant et s'installa sur un banc. Sans hésiter, la jeune femme le rejoins. Elle resta un moment sans parler, appréciant simplement la présence de son ami, ce sentiment de sécurité que nous procure les personnes dont on a confiance.



Son regard se balada dans le petit jardin, sans s'attarder sur Kotaro. De toute façon, ses expressions étaient que rarement descriptibles.



La jeune femme n'était pas amie avec beaucoup de Kitto. Mis à part Shinji, qui lui avait sauvé la vie. Mais depuis son retour, l'homme se faisait discret et n'avait pas encore vu la jeune femme. Ou alors l'évitait-il ? Et Kotaro ? Faisait-il la même chose ?



On sentait une légère déception dans la voix de la jeune femme. L'Eisenin n'était pas senseur mais elle avait su noter la présence constante de ses surveillants comme Mako les lui avait promis. Une perte de temps et d'énergie selon elle, mais qui ne la gênait pas plus que cela. Si elle pouvait regagner la confiance de Konoha de la sorte, c'était un faible prix à payer.

Le calme régner en maître dans ce petit espace public en ce début de soirée. Le Kitto ne fut pas surpris que la plus célèbres traitresse du village de Konoha vienne le rejoindre sur le banc. Il n'avait pas pris la peine de revenir la voir depuis leurs dernier rencontre. Pourtant, il se doutait bien que ce fût inévitable. Il ne l'évitait pas vraiment. Les agissements de la dame de fer et les choix qu'il faisait prenez une grande part de son temps libre. Puis il n'avait toujours pas tranché son avis au sujet d'Uzumaki Kazami. Que devait-elle devenir ? Il était d'accord pour qu'elle paye pour ces crimes. Mais il n'était pas un partisan de la peine de mort. Tuer n'était d'ailleurs pas quelque chose qu'il affectionné. Préférant toujours chercher une alternative. Dans ce cas, les alternatives existé. Mais y avait-il des gens à Konoha qui y penser? Qui le souhaité ? Beaucoup préféré l'exécution, même au sein de son clan.


Comme il ne venait pas à elle, l'eisenin avait donc décider de provoquer cette rencontre. Il n'ajouta rien, contempla le paysage en attendant que Kazami ouvre le bal. Elle souhaiter le voir, c'était très probablement, car elle souhaitait lui demander quelque chose.


Un simple non comme réponse. Sans aucune hésitation, il fixé simplement devant lui. Le Kitto ne l'éviter pas, du moins, pas volontairement.


Il poussa alors un soupire. Encore des responsabilité dont il n'avait pas voulu qui lui tomber dessus. Il s'en voulait personnellement de ne pas avoir refusé avec plus de vigueur. Ce n'était pas si dur de dire "non".


Il esquissa un léger sourire. Ce n'était pas particulièrement drôle pourtant. Il tourna alors son regard vers le ciel, observa le branchage du saule s'agiter à cause du légère brise.


Le Kitto expérimentait la scène politique et les postes à responsabilité. Il n'aimait clairement pas cela.

Quelque part, Kazami était rassurée de la réponse sèche et sans appel du Kitto. Il ne l'avait donc pas évitée. Elle fit un léger sourire sur le côté, satisfaite de cette réponse.



Bien qu'elle eut un peu de mal à voir son ami comme un leader de clan, elle était contente pour lui : enfin sa valeur était reconnue. De toute façon, il ne pouvait que mieux faire que Keisan.
Sa remarque sur la mort imminente de Kazami combiné à un sourire discret laissait l'Eisenin perplexe : était-il vraiment entrain de rire de sa mort ? Elle ne su pas trop quoi répondre et soupira simplement. Elle ne notait même plus à chaque fois qu'on parlait de sa mort.
Enfin, il fit une remarque qui l'interpela. Il la comprenait ? Leur discussion politique l'avait donc lui aussi fait réfléchir ?



Elle regarda autour d'elle, puis lança :



L'histoire sanguinaire de Konoha pesait sur les épaules de chaucun. Partir, recommencer ailleurs .. C'est ce que Gekido et elle avaient voulu faire. Hélas, c'était sans compter les bâtons que le démon de Gekido leur mettait dans les roues.

Il était tout à fait normal qu'elle ne trouve pas la situation amusante. Il ne rigoler pas vraiment de sa mort possiblement prochaine. mais plus du destin qui l'avait conduit à cette situation. Elle qui avait gravité dans les haute sphère du pouvoir. n'était plus maintenant qu'un "déchet" du passé que le village souhaiter éliminer au plus vite. Était-ce vraiment à ce genre de vie à laquelle il inspirée? Pas vraiment. Le problème étant que les blessure du passé dont souffrais le village était profonde. Bien trop pour guérir simplement avec le temps. il faudrait forcément faire des concession. mais tout ne serait pas d'accord. Preuve en était le choix majoritaire de son clan.


Oui, il ne doutait pas que c'était possible. Le problème était de savoir comment s'y rendre. Certaine chose se mettait en place dans ce sens, mais risqué également d'engendré un chaos qui ravagerais le tout avant d'y arriver.


Recommencer indéfiniment afin d'éviter nos erreur passé. Qui ne voudrais pas d'un tel pouvoir. Kimino pourrais par exemple éviter de blesser gravement un jeune genin sur un coup de tête. Kazami aurait pu s'opposer à Gekido et il n'y aurais pas eu de tentative de génocide... malheureusement, ce n'était qu'un doux rêve qui ne créait que de souffrances. le choix avait été fait, et rien ne pouvait changer cela.


Soupirant de nouveau, il dirigea son regard vers la kunoichi. pensait t'elle pouvoir quitter de nouveau Konoha pour vivre une vie paisible ailleurs? C'était ce fourvoyait si elle pensée pouvoir fuir la soif de vengeance de certain Konoha-jin. Il valait certainement mieux pour elle d'affronté son passé au plus tôt. les années passante ne ferait qu'hatiser encore plus cette quête de vengeance. La mort était un risque, mais peut-être pouvait-elle s'en sortir ?


Se doutant que cette réplique allait instaurer une certaine gène, il essaya de changer de sujet.

Kotaro semblait mois dans l'opposition que lors de leur dernière rencontre. Ses paroles étaient juste, et la rouquine hocha la tête pour lui montrer son accord. Il ne voulait donc pas sa mort. Le poids qu'elle portait sur ses épaules depuis la dernière fois s'envola. Finalement, il ne la haïssait pas autant qu'elle ne le pensait.
Elle se remémora sa fuite de Konoha. Gekido et elle avaient couru pendant des heures pour échapper à leur poursuivant. Lui, empli de haine, et elle, culpabilisant de ce terrible choix. Ses larmes ne cessaient de couler tandis qu'elle pensait à tout ce qu'elle quittait : son village, son rang, son hôpital, Kimino, Shinji, Kotaro .... Tout ça pour sauver un homme, un choix qu'elle pensait encore juste. En empêchant Gekido de détruire le village et en fuyant avec lui, elle allait trouver une solution pour qu'il maîtrise ce démon. Si elle assumait ce choix, pourquoi tant de regrets ?

Elle voulait lui dire : Je suis désolée pour le mal que je t'ai fais, Kotaro. Mais rien ne sortit. Sa gorge se serra et elle eu même du mal à respirer. Heureusement son ami changea de sujet. Elle fit un sourire gêné. Qu'est ce que cela faisait ? Marcher dans Konoha avec tout un village qui la regarde avec des yeux rempli de haine ? De colère ? Cachant leurs enfants pour pas qu'ils la voie ? Tenter de marcher la tête haute chaque jour, en essayant de ne pas les voir ? Non ... Elle préféra répondre :



Oui, à l'hôpital au moins tout le monde avait fait abstraction de son passé. Seul la science et les capacités médicales de l'Eisenin leur importait. Là, elle se sentait dans son élément. Et puis, soigner des Konohajins lui donnait l'impression de contre balancer le mal qu'elle avait pu faire.



Son visage s'était crispé. Kimino était-il seulement encore en vie ?

Il était soulager d'apprendre que tout ce passait bien, au moin à l'hôpital. Il avait lu quelque rapport de surveillance et savait pour l'accident avec un genin. Mais il ne souhaitait pas mettre ça sur le tapis. Après tout, même si c'était un châtiment sans doute considérer comme trop léger pour une majorité, supporter le regard plein de haine et de rancœur lorsque l'on essayait de se racheter devait être extrêmement difficile. Bien qu'il ne la haïssait pas au point de vouloir la mort, le shinobi lui en voulait cependant pour le prix dus pour les choix qu'elle avait fait. Il n'était cependant pas le genre d'homme à l'exprimait directement. Il était plutôt de ceux qui garde cela pour soi. Jusqu'au jour ou tout exploserait.



Bon, elle avait surtout de la chance de ne pas avoir croisé la route de personne qui n'aurai aucun scrupule à tenter de lui trancher la tête immédiatement. Même s'il y avait des forces de police et ANBU pour la surveiller. Il finirait forcément par y avoir quelqu'un qui y tenterait. Seijuro d'ailleurs en serait bien capable s'il était présent à Konoha actuellement. Il n'y avait pas grand monde de proche pour aborder le sujet d'Hanabi. Pourtant, le Kitto préférait l'éviter. Il comprenait pleinement qu'elle avait envie d'en parler. Mais il valait mieux pour elle que leur lien reste secret.


Il mentait pour la rassurer. Évidemment que ne pas avoir de nouvelle du chef du village était inquiétant. Mais il y avait tellement de choses actuellement que s'inquiéter pour Kimino n'était pas le principal. L'avenir de Konoha était bien plus inquiétant en ce moment. Nul doute que l'hokage reviendrait dés qu'il le pourrait de sa mission diplomatique.


Elle s'impatienter de l'absence de son ancien disciple. Tout comme elle devait s'inquiéter du sort que Konoha lui réserver. Pourtant, elle devait profiter de chaque seconde que le temps lui donner. Le temps était à la fois son plus précieux allié, comme son pire ennemi.

Il était content. Content de ses mensonges. Kotaro connaissait Kazami, il devait savoir le fond de sa pensée. Pourtant, il se contentait du discours superficiel qu'elle lui proposait. Au fond d'elle, cela ne faisait que grandir une flamme déjà présente : sa place n'était plus ici. Ses amis n'étaient plus. Même si elle le savait, cela lui fit un peu de peine. Elle tourna la tête pour cacher ses traits s'assombrir.

Une équipe... Et quelle équiper ! Kazami détestait cette décision, elle était même allée directement dans le bureau de Mako pour la critiquer. Deux genins en mission pour sauver un Kage ... Ridicule.



Elle fit un petit rire, presque faux. Kotaro se donnait presque du mal pour que l'ambiance soit apaisante. Cela lui faisait presque de la peine. Ils en étaient donc arrivé là ? C'était pitoyable. Tout sonnait tellement faux ... D'un coup, Kazami était debout. Elle ne s'était pas rendue compte de s'être levée.



Le vent souffla contre elle, comme une réponse à son arrogance. Elle parlait de Konoha comme si elle n'en faisait pas partie, c'était bien son sentiment, leur sentiment. Les poings serrés, elle bouillonnait intérieurement. Comment pouvaient-ils être si inconscients ? S'il tombait sur Gekido ... Kazami ferma les yeux. Ne pas y penser. Chasser cette image de son esprit. Deux hommes qu'elle aimait se battant à mort. Un véritable supplice pour l'Eisenin. Elle inspira à fond, le courant d'air entrant facilement dans ses narines, puis s'apaisa. Elle ouvrit les yeux, déterminée.

L'illusionniste n'aimait pas la tournure que prenait leurs discutions. Il y avait quelque chose qui avait changer sans qu'il n'arrive à mettre le doigt dessus. Avait-il dit quelque chose qu'il ne fallait pas? Bon, c'est vrai que sa blague était nul. Sauf que le Kitto blasé n'était pas connu pour son sens de l'humour très développer. La situation ne semblait d'ailleurs pas décidé à s'améliorer. Kazami n'était pas patiente, c'était un fait, et sa brusque réaction en se levant était de mauvais augure.


Initialement, il pensez avoir compris Kazami pendant une fraction de seconde. Il pensez avoir cerner quel genre de Kunoichi, quel genre de femme elle était. Sauf que cette dernière venait de tout balayer d'un geste. Il avait pensez, pendant quelque instant, que son amie avait changer. Qu'elle ne se laisserait pas si facilement emporté par ces émotions. Graves erreurs. Si le Kitto lui avait tendu une main afin de l'aider, cette dernière venait de la repousser froidement sans s'en rendre compte.

Kazami n'avait finalement qu'une seule vision. Elle contre le monde. C'était sa vision qui primait uniquement. Elle ne voulait décidément pas comprendre le point de vue des autres. Elle apparaissait tellement arrogante. Une arrogance qui, chose plutôt rare, énervait le Kitto. Finalement, il n'y avait qu'elle qui comptait à l'entendre. Il n'y avait qu'elle qui s'inquiété pour Kimino.


Surpris par ce que les paroles de Kazami avait provoquer en lui, il n'avait pas réagis directement. Pourtant, il ne pouvait pas la laisser partit maintenant. S'il n'arrivait pas à lui faire comprendre qu'elle devait changer. Sont sort était sceller. Elle n'échapperais sans doute pas à la vengeance des Chikara, à la haine de Konoha.


la menace de Gekido planait déjà sur Konoha avant son départ. Kimino n'était pas un shinobi lambda. S'il avait laisser le village, ce n'était pas pour qu'il prenne l'eau en son absence.


Dans l'impulsion, il c'était lever et ne lâcher pas l'Eisenin du regard.

Kotaro n'était pas du genre à crier. Son ordre sonna comme un cri aux oreilles de Kazami, et se figea. Lentement, elle tourna la tête vers lui et écouta ses arguments.



Depuis son retour, elle avait perçu le regard de son élève lorsqu'elle mentionnait son amant. Autant qu'elle était sentimentale, lui était colérique ... Pour avoir affronté sa colère, elle sait à quelle point il peut être redoutable.
Elle serra son poing en le remontant face à elle.



Ses yeux rougeoyaient légèrement à la pensée du combat.
Les paroles de Kotaro agaçaient l'Eisenin au plus haut point.



Sa voix commençait à monter en puissance, et son coeur s'emballait. Qu'essayait-il de prouver ? Si les chikara voulaient sa tête ils l'auraient déjà tuée. Et pour le moment cela faisait un an qu'elle était là.

Le silence de ce petit parc était maintenant perturbait par leur conversation. Qui ressembler sans doute plus à une dispute vu de l'extérieur. Le Kitto ne pouvait qu'admettre une chose. Sa vision et celle de Kazami ne semblait pas s'accorder. Plus encore, il ne pouvait comprendre la réflexion de l'Uzumaki. Si ces choix était plus dicté par ces sentiment, le Kitto essayait de faire primer la logique. hors, ce n'était clairement pas par logique qu'il essayait de faire accepter la patience à Kazami.

Avant son retour, il avait accepter l'idée qu'il fallait éliminer les amant maudit. Mais son retour... Leurs discution... Celui que l'on surnommait le Kitto blasait avait changer d'avis sur le sujet. D'abord hésitant, il pensé maintenant que l'on pouvait faire renoncer les gens à la aine. Que le pardon était possible et que l'on pouvait tous avançait vers un Konoha en paix, tourné vers l'avenir et non le passé. Une vision qu'il avait retrouver lors du discours de la dame de fer, lorsque l'emprisonnement de Kazami avait changer. Pourtant, il se rendait compte que l'Uzumaki semblait montrait un autre visage. Elle parler de l'égo de Konoha, mais elle ignorait visiblement le sien. Persuader que le problème que représentait Gekido était un problème concernant uniquement le clan Uzumaki.


Il soupira, à quoi bon s'énervait, il n'arriverait pas à lui faire comprendre sa vision s'il se laissait emporter par les émotions. Ce n'était pas la voie à suivre.


Le Kitto savait bien qu'il fallait éloigner au plus vite la menace de Gekido. Mais il savait qu'une fois l'ancien Hokage tomber, il n'y aurait plus aucune raison de maintenir Kazami en vie. C'était déjà sans doute bien compliquer de la garder en vie dans l'enceinte. Combien de personne guettait cette opportunité d'ailleurs? Elle ne se rendait sans doute pas compte que même le pardon des Kitto lui avait était refusé. une chose pourtant assez rare.