Entraînement sans entrain

La Dame de Fer haussa un sourcil. Elle ne la connaissait pas, vraiment ? La prenait-elle pour une imbécile ? Elle avait été régente il n’y a même pas de cela quelques mois, et elle croyait qu’elle pouvait faire avaler à la quadragénaire qu’elle ne la connaissait pas ? Quelque chose froissa l’Uzumaki. Etrange… Amnésique ? Absente pendant plus d’un an ? Les possibilités d’un tel grossier mensonge était multiple, mais elle n’eût pas le temps de réfléchir. Un homme s’avança vers elle, n’omettant pas de mettre un nom et un prénom sur son visage.



Le regard de la Dame de Fer c’était tourné vers l’insolant à la crinière rousse. Ses yeux perçant le fixaient de nouveau, cherchant à sonder son âme. Puis, soudainement, son visage se décrispa, pour afficher un sourire -qui rendait la situation d’autant plus déstabilisante- suivis d’une petite phrase.



Rappelez-vous du Nindô de la Quadragénaire aguerrie ? Ah oui. Une main de fer, dans un gant de velours. Il s’agissait manifestement ici d’une démonstration de velours. Alors bientôt, il en allait ressortir la poigne de fer. Le regard de la Dame devint aussi glacial et dur qu’un acier au cœur des toundras de Yuki. La Dame de Fer aiguisa ses sens, s'impréniant du chakra de chacun d'entre eux.



Le ton était posé. La Dame de Fer n’était pas ici pour perdre plus de temps que nécessaire.





Elle fixa froidement l’Uzumaki.

Je poussais avec douceur le bras de l'homme qui tentait de me protéger. C'était gentil de sa part de vouloir me défendre, mais la manière et le ton de la dame en face de nous ne me plaisais guère et je devais le lui faire comprendre quitte à m'attirer des ennuis.


Pour qui se prenait cette rouquine ? Elle prétendait être connu de tous et faisait soit disant parti du pouvoir de ce village ? Si c'était vraiment le cas, elle n'omettrait pas le détail que j'étais immigrée ici.


Je me mettais en travers d'elle et de mon nouveau camarade, le regard froid de mes yeux couleur rubis et le visage impassible.




J'adoucissais mes traits en regardant le jeune rouquin avant de lui dire:


Faisant à nouveau volte face à la femme se croyant intouchable et supérieur aux autres.


Saisissant Ichigo par le bras, je le trainais avec moi pour que cette femme antipathique ne l'ennuyait plus. C'était la tête haute et le buste relever que nous quittions les lieux.

Aaaah, l'adolescence, quelle douce période, quand les jeunes commencent à devenir de simples effrontés, une "chance" pour moi d'en avoir deux comme ça devant moi.
La jeune Maï qui était passée d'une gosse timide à une femme confiante en un clin d'oeil ne paraissait pas impressionnée par la shinobi. Excès de confiance en soi ou ne comprenait-elle pas qui était son interlocuteur ?
Bien que j'étais plutôt d'accord avec ses arguments a propos de l'Anbu, il y avait certainement de bonnes raisons à cela, des raisons que la jeune Gaikotsu n'avait aucune raison de connaître.
Plus étonnant encore, cette dernière saisie le bras du rouquin avant de nous tourner le dos et commencer à partir.
Le respect était devenu en option à l'académie ?
La dame de fer était sûrement en train de bouillir de l'intérieur, méprisée par une jeune fille même pas encore inscrite à l'académie, quelle drôle de situation quand on se trouve être à la cheffe d'une des unités les plus importantes du village.
Alors que les deux gamins commençaient à partir, je ne puis m'empêcher de m'adresser à nouveau à eux.



Je marquais une légère pause avant de m'adresser à Ichigo cette fois-ci



Je finissais ma phrase avec cette petite "pique" adressée à la jeune Maï. J'essayais tant bien que mal de faire en sorte que les choses se passent simplement, tâche compliquée quand deux des personnes présentes se comportent comme des... enfants. Alors je m'adressais à voix basse à la dame de fer.



Je poussais un léger rire avant de reprendre.

Bon, de toute évidence, s’éclipser ne serait pas aussi facile que d’habitude.

Mako Uzumaki savait visiblement user de force pour faire entendre ses volontés, et ça marchait parfaitement. Ichigo était profondément décontenancé, jamais il n’avait fait face à quelqu’un d’aussi mentalement fort. Elle le torturait psychologiquement, répondait à son attitude légère et insouciante par une passivité agressive. Même si elle l’énervait, le plus jeune Uzumaki était incapable de lui répondre sans bégayer, tel était son pouvoir sur lui.


Il se racla la gorge aux derniers mots de la Dame de Fer, ceux-ci étaient accompagnés d’un regard des plus menaçants. Nox avait raison, il ne pouvait pas fuir ou se cacher… Cette fois, ça ne rigolait pas, il allait devoir prendre ses responsabilités…

Mais à la surprise générale, ce fût Maï qui s’interposa pour eux deux. Les yeux d’Ichigo s’ouvrirent grands lorsque celle-ci se mit devant lui. Elle mit sa timidité de côté pour faire face à l’effrayante sorcière — c’était désormais le surnom qu’Ichigo lui donnait dans sa tête — et lui répondre bravement. À la fois impressionné et touché, Ichigo en rougit presque.


Pensait-il en essayant de le cacher par son expression faciale. Enfin, la Gaikotsu l’attrapa par le bras pour qu’ils s’en aillent tous les deux. Ichigo se laissa faire avec un sourire nerveux. Il était à la fois admiratif du courage de Maï et inquiet, les mots de Nox résonnant dans sa tête. Ne serait-il pas préférable d’être raisonnable pour une fois ? Il ne retenait donc pas son bras mais son pas étaient hésitant, bien moins déterminé que celui de sa tireuse.


Tenta-t-il de la raisonner au bout du bras.

La Dame de Fer haussa un sourcil. Avait-elle affaire à une folle ? Gaikotsu ou pas Gaikotsu, tous à Konoha se devait de connaître les règles du village, et savoir à peu près qui donnait les ordres. La femme écoutait l’adolescente -qui devait probablement être folle pour adopter une telle attitude devant un haut-gradé du village- n’affichant aucune expression. Etait-elle en colère ? Non. Elle était plutôt… Ennuyée. Tout cela aurait pu être rapide et sans bavure, il aurait suffi pour chacun d’eux de se contenter d’obéir aux ordres, de répondre aux questions, et ils auraient pu reprendre leur vie habituelle.

Mais non, il fallait qu’ils élèvent la voix, se montre impoli, insolent, irrespectueux. La zélée croisa les bras, alors que l’autre mégère braillait comme une véritable gamine capricieuse. Et elle comptait partir comme ça ? La femme poussa un long soupir, alors que le Kitto s’adressait à elle.



La voix était sèche, froide. Et elle ne faisait qu’énoncer une stricte vérité. La Dame de Fer sorti alors tranquillement une série de Kunaï bien particulier de son stockage, racla sa gorge.



La Femme les fixait d’un air très sévère, son ton était encore moins amical que la dernière fois.





La femme fit tourner habilement son Kunaï dans les mains.



Elle stoppa net son mouvement.





Le compte à rebours était lancé. La Dame de Fer avait une mission. Et elle ne plaisantait pas.

Accompagnée par son cousin, la jeune fille pestait sur son grand-père adoptif, elle le trouvait trop difficile avec elle et elle en avait plus que marre de devoir récurer les fonds de plat. Dans un sens, elle se disait que c'était initialement le travail de Hiro et il était encore incapable de le faire correctement.

Après une longue discussion avec le grand patriarche de la maison, elle s'échappa du restaurant en prétextant qu'elle devait se rendre à l'académie pour récupérer un Kunai oublié en classe. Bien évidemment, Akiko mentait. Elle prétexta que c'était à cause de Hiro et qu'il devait absolument venir pour qu'il rembourse la fenêtre de la cours. Bien évidemment, elle n'en parla pas à son ami. Longeant le long chemin surplombant plusieurs terrains d'entraînement, celle-ci marchait en reculant et en discutant à son ami.


Soudainement, en reculant, elle cru apercevoir son amie, Gaikotsu Mai. Celle-ci semblait être dans une position inconfortable tandis qu'une vieille folle rousse semblait menacer les gosses.


Bien évidemment, le jeune n'avait sûrement pas raté la scène, il marchait dans le bon sens... Il avait sûrement estimé que ce n'était pas son problème. Soudainement, la Konohajin Gaikotsu fouilla dans sa poche pour en retirer un masque chirurgicale blanc qu'elle ne tarda pas à enfiler.


Elle fonça alors en direction du lieu de cette drôle de confrontation tandis que la femme rousse était en train de compter. La jeune Gaikotsu ne venait pas d'un chemin conventionnel, elle venait de passer au-dessus d'une rempart et de glisser le long d'un amas de terre !


Elle fit signe à Mai de partir tandis que la jeune fille se mit en position de combat en observant la femme à la chevelure de feu.

Les minutes passaient et la situation devenait de plus en plus incontrôlable, j'avais du mal à comprendre ce qu'avait fait le jeune Ichigo pour attirer l'attention de l'Anbu, il n'avait rien d'un grand criminel, ni d'un criminel tout court d'ailleurs. Et visiblement la Dame de Fer n'avait aucune intention de faire dans la délicatesse, soit, c'est de son ressort et non pas du mien.





Je lui répondais d'une voix calme, bien qu'elle imposait une certaine tension ici, je n'étais pas la raison de sa venue, aucune raison pour moi de me montrer inquiet pensais-je. En même temps, je révelais ma véritable identité au jeune Ichigo, mon petit jeu n'aura malheureusement pas pu durer longtemps.
Elle poursuivit, menaçant les deux jeunes genins, je tournais mon regard vers ces deux-là tandis que la rouquine décomptait.
Ichigo semblait hésitant tandis-que la jeune Maï lui tirait le bras, il semblait avoir compris qu'opposer une résistance serait une bien mauvaise idée. Maï quant à elle ne perdit aucunement sa détermination et mes mots ne semblaient pas l'avoir atteint. Alors que Mako allait probablement réagir nous furent dérangés une nouvelle fois, cette fois-ci le bruit venait de derrière nous, je me retournais pour apercevoir une gamine tout bonnement en train de glisser sur un amas de terre.
Elle arriva à toute vitesse sur nous, mais qui était encore cette gosse ? Décidément j'allais de surprise en surprise, tandis que Maï s'en allait, celle si se plaça entre elle et Mako.
Sa chevelure blanche elle aussi ne manqua pas de m'interpeller, mais ce n'était pas le moment d'y penser, la situation mettrait sans aucun doute en rogne la Dame de Fer, d'autant que la gamine n'avait pas l'air d'avoir peur d'en découdre, et Ichigo et moi nous retrouverions au milieu de tout cela sans aucune raison. Alors, cette fois je décidais de me placer au milieu des deux.



Je tournais ma tête vers la gamine qui venait d'arriver



Finissais-je avec un léger sourire.
Je tournais ensuite la tête vers la Dame de Fer, mon sourire disparu et d'une voix bien plus sérieuse je m'adressais à elle.



Je détournais le regard vers Ichigo tout en continuant à m'adresser à Mako.


Je me tenais toujours entre Mako et la nouvelle arrivante, Anbu ou non, je ne pouvais pas la laisser s'en prendre violemment à de jeunes genins. Je fis alors signe à Ichigo de s'approcher tout en m'adressant calmement à lui

Hiro était fatigué des caprices de sa cousine, il avait encore beaucoup de travail et il devait quitter le restaurant pour l'accompagner, Daichi n'allait certainement pas faire la vaisselle à sa place, et il était bon pour se taper tout ça en rentrant, surtout qu'une fois dehors il compris rapidement que tout ceci n'était qu'un prétexte et que sa cousine n'avait pas réellement besoin de lui. Lui qui avait l'intention de gagner assez d'argent pour vivre seul et payer son propre loyer sans l'aide du village, ce n'était pas en ratant des demi-journées de travail qu'il allait réussir.

En passant vers les terrains d'entraînement, le jeune homme à la chevelure blanche et aux yeux rouge cramoisi remarqua de l'agitation, c'était Mai, et ce qui semblait être deux Uzumaki, et un Chikara ? Ou un Kitto ? C'était difficile de les différencier sur le plan physique, et le jeune homme n'était pas encore à l'aise avec ces deux clans. À peine le temps de dire à sa cousine ce qu'il venait de voit qu'elle parti en trombe.



Trop tard, et hors de question de la laisser toute seule, elle allait s'attirer des ennuis et cela allait lui retomber dessus, le jeune garçon entendait déjà les voix de Daichi et Hinae dans sa tête.





Bien sûr il voyait les chose bien plus gravement qu'en réalité, ils prendraient sans doute tout les deux une engueulade par Daichi avant d'être réconforté par Hinae, le jeune garçon courait alors derrière sa cousine, lui non plus n'avait pas envie de laisser Mai dans cette situation, si les Gaikotsu survivant ne se soutenaient pas entre eux, qui le ferait. Alors que sa cousine faisait son spectacle, Hiro pris la main de Mai et dit.



La situation faisait un peu peur à Hiro, et ses mains étaient glaciales comme la mort elle-même. Il avait ce don de faire ressentir les choses par le touché, mais il ne savait pas encore bien comment cela fonctionnait.

Il était confus. Il ne savait plus qui était qui dans cette histoire ! Toute cette agitation, c’était un vrai cirque ! Qu’est-ce qu’ils faisaient là ces deux mioches ? C’était eux la police ? Ils étaient un peu jeunes… Deux minus aux cheveux blancs, et Ichigo compris alors qu’ils faisaient tous les deux partie du même clan que Maï ; c’était une bande de joyeux lurons insouciants. Quel numéro en tout cas. Il y a avait pire que lui, finalement.

Puis, finalement, même si c’était un menteur, “Nox” était le plus rationnel dans cette histoire. Et même Ichigo était assez mature pour trouver que cette situation devenait beaucoup trop irrationnelle. Avec la mauvaise rencontre de la dernière fois, il en avait assez des dérapages ces temps-ci. Il ferma les yeux, soupira, puis s’assit par terre en tailleur.


Il se frotta la nuque.


En réalité, ce fait l’énervait ; il avait été humilié. Il trouvait ça injuste, ce combat ne lui avait laissé aucune chance. Il pestait.


Il était toujours assis les bras croisés, yeux fermés, une grosse veine sur le front, assez énervé de devoir ressasser ce mauvais souvenir pour la femme-tyran.

Contre toute attente, Mai s'échappa à l'aide de Gaikotsu Hiro tandis que Akiko fit face à la dame de fer sans la moindre crainte. La rousse réalisa alors que sa mission n'était pas de poursuivre une enfant, mais de faire surveiller Chikara Oni.


Soudainement, plusieurs membres de l'ANBU rejoignirent la supérieure hiérarchique et ils semblèrent plutôt étonnés de cette soudaine tentative d'intimidation. L'un chuchota quelque chose dans l'oreille de la femme, elle hocha alors de la tête. Il y avait plus important.


Le ton de Mako n'était pas agréable, mais son garde venait de lui indiquer quelque chose de bien plus important... La femme à la chevelure de feu et ses accompagnateurs membres des forces spéciales partirent alors.

La petite fille toujours masquée fit mine de s'énerver en faisant des drôles de gestes. Elle soupira ensuite en observant les deux zigotos autour d'elle.


Les deux individus présents étaient plus que normaux, l'un semblait être un Uzumaki et le second semblait plutôt ... calme. Difficile de le décrire bien plus que cela. La jeune fille connaissait le roux de vue, mais elle ne connaissait nullement sa force ou sa capacité à se mouvoir et elle n'était pas ici pour faire du grabuge, du moins ... Plus maintenant.


Akiko ne semblait pas perdre en motivation et son ton était toujours aussi rapide et dynamique, elle voulait absolument en savoir plus sur sa cousine... Celle-ci était-elle encore dans les parages ? Si oui, reviendrait-elle ? Le pauvre Hiro était sûrement en train d'observer sa montre avec inquiétude de peur de reprendre le travail avec du retard..

Ichigo avait finalement décidé de faire face à la rouquine, il savait très bien la raison pour laquelle Mako souhaitait l'interroger aussi il décida d'expliquer toute sa version de l'histoire tout de suite, mais au même moment, aussi étonnant que cela puisse paraître, la Dame de Fer se ravisa, alors qu'elle lui mandait de se présenter au poste, plusieurs personnes apparurent soudainement, l'un venait de chuchoter à l'oreille de Mako et celle-ci semblait être maintenant totalement désintéressée du jeune Ichigo.
J'observais toujours la scène, placé entre la gamine et la Dame de Fer, cette dernière finit par partir, je la regardais s'en aller, fronçant légèrement les sourcils de par mon incompréhension de ce qui venait de se passer. Enfin, au moins ce "problème" était résolu.

J'étais alors entre un Uzumaki en train de bouder assis au sol, et derrière moi... Une gosse à qui on aurait oublié de retirer les piles. Ses gestes comme pour réclamer de l'attention ne manquèrent pas de me faire rire, ni même son caractère enfantin d'ailleurs, qualifiant la Dame de Fer de " greluche " elle se demandait ce que cette dernière voulait à sa cousine.
Sa cousine donc ? Ainsi, les trois gamins aux cheveux blancs sont donc des Gaikotsu me disais-je. La population du village avait grandement évoluée, des Kirishitan, des Gaikotsu... Je me demandais en la voyant, ce qu'il était advenu des Kaguya, fier clan de Kiri, que pouvaient-ils être devenus après le ravage de leur village ? Enfin bref, là n'étais pas le sujet et j'étais partis une nouvelle fois dans mes pensées, je m'approchais de la gamine puis je posais un genoux à terre pour me mettre à sa hauteur.



Je poussa un léger soupir



Je finissais ma phrase avec un sourire, j'essayais de m'adresser calmement à cette gosse, elle semblait prête à bondir au moindre maux, une telle énergie pourrait abattre même les plus courageux d'entre nous. Enfin, c'était encore une gamine à mes yeux, et la voir s'interposer devant une personne tel que Mako n'était pas le genre de comportement auquel je m'attendais, sur-estime de soi ou réel talent ? Je ne connaissais pas assez bien les Gaikotsu pour en être certain.
Je tournais mon regard vers Ichigo, il était toujours assis les bras croisés, la situation lui avait visiblement déplu, je pouvais comprendre le fait de ne pas le laisser impuni, mais pourtant en arriver à l'Anbu ? C'était peut-être un peu excessif pour de simples gosses, ce genre de chose arrivait de temps en temps, un mots plus haut que l'autre suffit à créer des rivalités à cet âge la. Mais j'avais prêté attention à ce qu'il avait dit, et une partie de ses mots me dérangèrent quelques peu. Alors je me relevais, j'invitais la gamine à me suivre, et je me dirigea vers Ichigo, j'en profita pour ramasser ma béquille posée à côté, ces minutes passées sans m'avaient complètement épuisé.



Je marquais une légère pause, je repensais à ce qu'il avait dit à propos des Chikara et Kirishitan



Je croisa les bras, mes mots étaient fermes, mais je n'en avais pas terminé d'être le vieux chiant, regardant du coin de l'oeil la gamine aux cheveux blanc je conclus :