Les vielles Habitudes.. On les change pas !

Un sacré foutoir.. Le mot avait été bien choisie par l'Uzumaki, si il penserait avoir des jumeaux cela causerait effectivement un sacré bordel. Déjà que entre Yuko Amoritia et l'Uzumaki c'était pas mal une maison de fou, deux enfant a moitié Abura et Uzumaki rajouterais un sacrée merdier mais se sont les aléa de la vie. Et bon d'après ce qu'il se rappelait la vie de parents n'était pas tout rose non plus.. Quand il pensait a qu'elle point il en avait fait baver sa tante qui l'avait élevé au secours les dégâts.



Lui disait t'il en rigolant, sa femme pouvait parfois être un peu violente quand elle s'y mettait mais l'Uzumaki réussissait toujours à la calmez si vous voyez ce que je veux dire chère lecteur. L'homme rigolait face a la phrase dite par l'Uzumaki, en soie c'était vrais que cela le ferait chiez plus que tout qu'il prenne sa retraite. Il aimait beaucoup cette homme et tout comme lui il était un ninja de Konoha avant tout il appartenait à ses proche comme Shimazu auquel il pouvait faire confiance. rigolant le Chikadôno et se moquait de l'Uzumaki ce qui le fit rire lui aussi. L'homme écrasait sa cigarette et l'Uzumaki fit de même pour éviter que la pièce ne soit imprégnée d'une odeur nauséabonde ce qui n'aurait surement pas plus au patients. Le Chikara le rassurait sur la futur visite médicale de Yuko et sur leur bébé.. Il n'avait aucune raison d'avoir peur, l'un de ses plus grand rêve était entrain de se réaliser et il allait en profiter le plus possible.

Il jouait de la fausse prétention. Lui qui aimait se faire discret, le voilà en tête d’affiche. Il fini de rire et s’étire un instant, constatant qu’ils étaient en train de parler depuis bien trop longtemps pour une simple consultation. Il n’avait jamais été un garçon simple à maîtriser et le voilà maintenant sur la voie de la paternité. Le pas ultime de son changement de vie. Il se demande si ses enfants seront aussi insoutenables que lui l’était. Il ne l’avait pas rencontré enfant, mais il ne devait pas être des plus calme pour être gardé. D’un côté, il trouverait ça drôle de le voir subir les tours de ses enfants, mais d’un autre côté il espère que ne seront pas des petits diables. La mère n’était non plus des plus calme, la première option semblait donc la plus probable. Il ricane en l’entendant dire qu’elle n’hésite pas à lui en mettre une de temps en temps pour le calmer. Une femme tout aussi explosive.



Il rigole de plus belle et s’avance vers lui et lui tape amicalement dans le dos.



Il ne voulait pas le presser de partir, mais il prenait ses responsabilités au sérieux et n’avait pas envie de lâcher prise en moins d’un mois. La visite du casse-cou lui aura permis de faire une pause et de se détendre avant de se replonger dans la paperasse du village. C’est fou tout ce qui arrive en une semaine. Il ne pensait pas qu’il allait passer plus de temps à signer des autorisations ou jouer les médiateurs pour une querelle d’ados. Il le raccompagne à la porte et lui tape une dernière fois entre les omoplates pour le saluer.



Ils se saluent et il ferme la porte constatant le bazar. Il prend une serpillère et commence à éponger le sang qu’Universa avait mis partout en rentrant. Une fois son petit ménage fait, il retourne à son document. Le reste de la journée fut calme.

Et oui son médecin traitant depuis pratiquement quinze ans, était devenue maintenant le chef du clan Chikara et disons que son travail s'en voyait énormément augmentée.. Au moins la chose positif était qu'il aimait toujours autant son boulot. Alors qu'il commençait à se lever le chef Chikara lui fit une blague qui le fessait éclater de rire. Mais en y réfléchissant bien cela aurait été bonne idée, plus besoin de se taper des kilomètres de marche pour se faire soignez.. Cela mérite réflexion !



L'homme venait lui en taper une amicalement dans le dos, lui disant qu'il ne le mettait pas dehors mais qu'il avait encore du boulot. L'Uzumaki comprenait totalement, après-tout il devait a cause de lui toujours se démerder et avoir du travail supplémentaire.



Mon dieu la paperasse.. C'est tout simplement un foutoir sans nom, l'Uzumaki lui en aurais ras le cul au bout d'une semaine. L'homme le raccompagnait jusqu'à la porte espérant le revoir devant une pinte et non sur un brancard.. Cela était parfaitement compréhensible et je pense bien que cela devait l'énerver à force.



L'Uzumaki sortait de la pièce et descendait les escaliers pour rentrer à sa maison, il était fière de savoir son médecin traitant être Chikadôno.