La perte d'un père.

Ta journée commençait comme toutes les autres. La neige recouvrait Konoha depuis quelques semaines. Tu étais loin d'imaginer que tu te souviendrais de cette journée toute ta vie. C'est ce même jour que tu compris que la vie était quelque chose de cruel. Des mois plus tôt tu avais reçu le sabre familial de la part de ton père, et par la même occasion il avait commencé à s'occuper de ton apprentissage. Durant les neufs derniers mois tu passais toutes tes fins de journées en sa compagnie. Tu étais passé par toutes les émotions, et tes parents aussi. Tu ne comptes plus le nombre de fois où ton père se faisait gronder par ta mère lorsque tu rentrais le corps remplis de bleu. Toi tu n'y voyais aucun soucis, mais ta mère lui en voulait de voir son petit bébé rentrer à la maison dans un piteux état. Mais dans le fond elle comprenait que c'était nécessaire. Tu étais l'héritière de quelque chose d'important pour ta lignée, il fallait faire de toi une combattante hors pair. Tu représentais son pari pour l'avenir.
Il avait quitté le village au début de l'hiver. Il t'avait expliqué qu'il avait une mission importante. Elle devait être dangereuse aussi au vu du regard de ta mère lorsqu'il partit ce matin là. Il t'avait promis de revenir vite. Tu ne te doutais pas un seul instant que c'était la dernière fois que tu le serrais dans tes bras ce jour là.

Tu apprenais la nouvelle un matin. Tu étais descendue habillée et toute joyeuse comme à ton habitude. Mais très vite tu perds ton sourire. Tu as compris que quelque chose n'allait pas lorsque tu vis deux shinobis dans ton salon, devant ta mère les yeux pleins de larmes. Elle tenait ta petite soeur dans ses bras, lorsqu'elle t'aperçu. Instantanément elle pleure à nouveau en te voyant, consciente qu'elle allait devoir t'expliquer cela. C'est la première fois que tu voyais ta mère dans un tel état, elle qui comme toi était tout le temps joyeuse en temps normal. Si bien que tu en lâchas ton sabre des mains pour aller à côté d'elle, tu t'adresses à elle le regard et la voix paniqués.



Elle te serre alors contre elle avec son bras de libre et tout en embrassant le dessus ton crâne elle tente de t'expliquer doucement...



Dès lors tu comprends directement que quelque chose s'est produit lors de sa mission. Tu avais beau être jeune tu n'étais pas stupide. Alors ton regard se baissa mais pas une larme ne su s'écouler de tes yeux. Tu n'y croyais pas, tu ne l'acceptais pas, tout simplement. Alors tu tournes la tête vers les deux shinobis puis en te levant tu t'adresses à eux



Ta mère te tiens alors le bras et tente de te tirer vers elle, ces deux shinobis n'avaient rien fait, ils avaient juste été chargés de rapporter la nouvelle. Alors elle te demande de te calmer, avec sa voix sanglotante.



Tu repousses alors violemment le bras de ta mère, le regard empli de colère.



Tu t'enfuies alors en courant, emportant sur ta route ton sabre que tu avais laissé tombé. Tu sors et pars en claquant la porte sous le regard impuissant de ta mère et des deux shinobis. Celle-ci pose alors sa main sur son ventre, elle était alors enceinte depuis 7 mois d'un enfant qui ne connaîtrait jamais son père. On voyait sur son visage une inquiétude énorme, elle se retrouvait seule avec deux enfants et bientôt un troisième.

De ton côté tu t'étais réfugiée près d'une rivière, posée sur le bord de l'eau tu pleures toutes les larmes de ton corps. Il t'avait promis de revenir, il ne manquait jamais une seule de ses promesses. Tu étais dans le déni total, tu pensais être dans un mauvais rêve, un très mauvais rêve...
Tu regardais le sabre qu'il t'avait légué. C'était la chose la plus importante qu'il ne t'avait jamais offerte. L'héritage complet de ta lignée, il avait posé sa confiance en toi. Mais ça n'avait plus aucun sens dans ton esprit de gamine. Pourquoi faire tout cela si n'était plus là pour le voir ? Un héritage ça ne signifiait rien à tes yeux lorsque tu avais 6 ans. Tu lui en voulais juste d'avoir manqué à sa promesse.
Alors subitement tu balances le sabre d'un geste rempli de colère. En observant sa chute tu te rends compte qu'il tombe aux pieds d'une jeune femme. Celle-ci te regarde. Depuis combien de temps est-elle là. Tu détournes alors le regard, tu t'en fiches, tu n'as envie de discuter avec personne.

Alors que tu t'entrainais en faisant ton jogging et courant depuis 15 km déjà, tu te décidais de continuer tout bonnement ta course. Rien ne pouvait empêcher ta forme de jeunette prendre le dessus et tu ne pensais qu'à ça ! Entrainement physique, encore et encore ! Tu voulais monter en grade au plus vite et devenir l'une des meilleures combattantes au corps à corps du village ! Tu pétais tout simplement le feu même si c'était plutôt la terre que tu métrisais, mais bon bref ! Ce n'était pas le sujet à aborder ! Tu décidais d'accélérer le rythme de la course, car pour toi, cela te semblait trop simple, beaucoup trop simple ! Même les coins givrés par la glace ne t'empêchait pas de courir ! Inarrêtable ! Mais alors que tu pensais passer une journée consacrer que de sueurs, tu percevais une petite fille, seule dans son coin là en bas. Elle jouait probablement. Tu t'approchais d'avantage en courant, mais tu t'arrêtais nette lorsque tu entendais cette dernière pleurer. Pas à pas tu t'approchais d'elle et voyait qu'elle lançait son katana ? A cet âge là, déjà ? L'arme atterrissait à tes pieds et tu la ramassait. La petite détournait aussitôt le regard lorsqu'elle te voyait.


Tu attendais la réponse de la fillette pour en apprendre plus sur son petit chagrin. Ou peut-être était-ce un gros chagrin ? Tu le verras bien assez tôt voyant son air colérique et fermé.

Il n'était pas banal de croiser une petite fille seule, le derrière dans la neige et qui en plus pleurait tout les larmes de son corps. Toute personne normale se serait inquiétée. C'est d'ailleurs ce que fit cette jeune femme à ton égard, elle avait même pris soin de ramasser ton arme que tu avais lancé avant de te demander ce qu'il se passait. Les larmes te montèrent encore plus aux yeux lorsque celle-ci prononça le mot " parent ". Alors avec ton regard empli de colère tu t'adresses à elle.



Tu faisais référence à cette arme que tu venais de balancer par terre. Ça n'était qu'un stupide bout de ferraille à tes yeux, et c'est pourtant tout ce qu'il te restait de lui. Ton comportement pouvait paraître flou aux yeux de cette jeune fille, mais tu étais simplement triste, en colère. Tu tournes alors ta tête vers elle, la première chose que tu remarques en la regardant sont la couleur de ses cheveux. Si tu avais été dans ton état normal tu n'aurais pas manqué de lui demander la raison d'une telle couleur, mais ça n'était pas dans ton humeur actuelle d'être taquine. Alors tu soupires avant de t'adresser à cette femme toute transpirante.



C'était tout simplement trop difficile à réaliser pour une enfant de 6 ans. L'accepter serait encore bien plus dur.

Ca y était ! Tu saisissais ce que l'enfant venait de subir. Au mot parent la petite semblait s'agacer d'avantage et te fixais d'un œil mauvais. Ses paroles ne faisait que confirmer tes pensées et l'enfant pensait que les adultes étaient des menteurs:


De ton poids lourd tu t'asseyais à côté de la gamine chouineuse en lui tendant son arme le regard plutôt sévère. Il faudrait qu'elle comprenne tôt ou tard que si son père n'était plus de ce monde, elle n'avait d'autre choix que d'accepter ce triste destin ! Tu l'observais dans le silence avant que cette dernière ne te répondait de manière positive ou négative. Tu n'allais pas être des plus tendre pour le coup, mais il fallait bien qu'elle se fasse une raison. Bien entendu, tu connaissais ce qu'elle endurait actuellement, mais tu te taisais sur ce point là. Qu'elle réaction allait-elle avoir ? Tu te le demandais bien.

La jeune femme s'asseyait à côté de toi, tu croisas son regard plus qu'intimidant tandis qu'elle te tendait ton sabre tout en te demandant ton nom. Qui c'étais celle-là ? Elle se prenait pour qui d'ailleurs ? Ça c'était ce que tu pensais, mais son regard te poussa à agir plus docilement... De ta voix faible tu lui daignes lui donner ton prénom.



Tu sèches tes larmes avec ta manche avant de reprendre ton sabre. Tu le tiens dans tes mains, le regarder te rappelle énormément de souvenirs. Tu détournes ton regard triste vers l'étrange jeune femme avant de lui poser une question à ton tour.



Elle ne semblait pas te vouloir du mal. Mais son regard était tel que tu te sentais intimidée. Tes larmes avaient cessée dès lors qu'elle t'a demandée d'arrêter de te plaindre. N'avait-elle aucune empathie pour toi ? Tu n'avais rien demandé à personne, tu souhaitais juste être seule. Pourtant pour une raison que tu ignores, tu sentais comme une aura familière à proximité d'elle. C'est sûrement la seule chose qui faisais que tu n'étais pas encore partie en courant.

Enfin elle se calmait de pleurer et son regard emplit de haine et de colère disparaissait petit à petit. Tu commençais à relâcher ton regard sévère en lui souriant avant de reprendre:


Disais-tu les yeux fixant le fleuve gelé. Elle te demandait le tiens et tu ne tardais pas à lui répondre aussi. D'ailleurs, tu pensais qu'elle serait surprise de savoir que vous faites toutes les deux parties du même clan.


Maintenant que la présentation était faite, tu te devais de discuter sérieusement avec la petite.




Tu n'aimais pas particulièrement parler de tout ça, surtout de ton passé, mais pour faire comprendre à cette petite tu te le devais. Pour le moment, tu attendais de voir sa réaction d'enfant.

Tu en avais pourtant rencontré un bon nombre, mais jamais tu n'avais vu cette jeune fille aux cheveux verts, et elle était plutôt reconnaissable à vrai dire. Mais qu'importait, elle n'était pas là pour te parler du clan mais pour te faire accepter la vérité. Elle semblait d'après ses dires qu'elle avait vécu quelque chose de similaire. Tu te doutais bien que tu n'étais pas la seule au monde à être dans ce cas. Mais tu t'en fichais des autres, plus important ça ne pouvait simplement pas être possible.



Tu prenais un air tout à fait sérieux, tu croyais fermement en ce que tu pensais, puis au fond de toi tu avais ce présentiment que ne t'avais pas quitté depuis qu'il était partit.



Difficile de savoir si tu étais bornée, dans le déni ou si tu ressentais vraiment cela. Après tout son corps n'avait pas été ramené au village, ou du moins pas encore. Tu ne voulais pas y croire sans le voir. La jeune femme te trouverait probablement agaçante, mais que voulez-vous. Comment expliquer à une gamine qu'elle ne reverrait jamais son père si elle ne l'accepte pas ? Il fallait passer par des moyens plus... rude. Et la jeune femme savait probablement ce qu'il en était.

Ouais, évidemment elle n'était qu'une enfant et acceptait une réalité aussi cruelle allait être extrêmement difficile pour elle. Tu soupirais et réfléchissant à comment tu pouvais lui faire comprendre la chose, tu te levais avant d'ajouter:


Traiter le mal par le mal. Tu étais peut-être trop sévère avec cette petite, mais cacher les choses à une enfant était plus cruelle que de dévoiler la vérité. Tu ne savais pas si elle te suivrait, mais ce que tu lui montrerais pourrait aussi bien la chambouler que de la laisser de marbre.


Tu fermais donc ta bouche, regardant cette petite puce perdue. Elle n'était seulement qu'à la première étape de la théorie de Kubuleru-Rossu: celle du déni, c'était-à-dire le refus de voir la personne qu'on aime partir pour un monde meilleur. Pourtant, si des ninjas étaient venus confirmés le décès de son père, cela reflétait la triste réalité du monde ninja. Selon toi, la seule solution un peu brutale pour le lui faire comprendre était de la mettre devant les faits, si l'un des corps sans vie était celui qui appartenait à son papa.

Cette curieuse jeune femme t'invita à la suivre. C'était plutôt étrange, on t'avait toujours appris à ne pas suivre les inconnus en temps normal. Mais sans réellement savoir pourquoi, tu ressentais un mélange de crainte et de confiance envers elle. Elle émettait quelque chose de fort, tu ne comprenais pas vraiment ce ressenti. De plus, il s'avérait qu'elle te parlait sans le moindre tact. Comme si tu n'étais pas une fillette de 6 ans. Cela avait clairement son effet, tes parents t'avaient toujours "caressée dans le sens du poil", ils étaient doux et attentionnés envers toi, mais comme la plupart des parents ils avaient tendance à te couver un petit peu trop. Si bien que tu avais pris cette habitude de toujours avoir raison. Une mauvaise habitude. Cette femme ne te laissait pas vraiment le choix, non elle tapait direct et fort. Tu te relèves alors tout en regardant cette jeune femme. Elle ne devait pas avoir plus de la vingtaine, probablement moins. En tout cas ça n'était pas une adulte, c'est probablement pour ça qu'elle ne te parlait pas comme eux.



Pauvre Wattan, elle avait mit les pieds dans une conversation sans fin. Ça n'était pas son genre de lâcher l'affaire aussi facilement. Encore moins aujourd'hui lorsqu'il s'agit de son père. C'était une chance que Kyoko ne soit pas encore levée lorsque les deux shinobis sont venus faire leur rapport. En effet, les entendre discuter n'aurait fait que la conforter dans son idée. Malheureusement Wattan était certaine de trouver son cadavre, emmener Kyoko aura été la mauvaise idée du jour.

~ Quelques temps plus tôt ~











~ Now ~

Tu la regardes avec insistance, tu es prête à apprendre la vérité en la regardant en face. Voir le corps inerte de ton père te convaincrais sans nul doute. Tu attends qu'elle se relève pour qu'elle te guide vers l'endroit où l'on amène les corps de shinobis décédés en mission.

Au moins, une fois là-bas vous aurez toutes les deux la véritable information, il ne restait plus qu'à savoir si cette histoire de papa disparu était vraie ou non. Après tout, la petite devait même pas avoir atteint sa dixième année. Ce que tu t'appretais à faire pouvait être mal prit, voir créer un conflit avec sa mère du moins. Boarf, tu ne la connaissais sans doute pas, ne connaissant déjà pas sa fille donc bon, qu'est-ce qui pouvait bien t'arriver de plus ? Après une longue marche dans la neige, vous arriviez toutes les deux à l'emplacement des corps retrouvés.


Ouais, enfin pas tout à fait, tu venais de légèrement mentir, mais ce n'était qu'un minuscule détail pour accompagner la demoiselle. La petite Kyoko insistait fortement auprès du gardien pour aller voir si son père était là. Il vous emmenait toutes les deux jusqu'aux corps. Il y en avait deux, deux fraîchement amenés et vous ne tardiez pas à savoir la vérité. Tu fixais l'enfant lui faisant signe de soulever les draps pour voir si l'un des deux était son père.


Tu patientais de voir si elle avait le courage de le faire ou non, si elle voulait absolument connaitre la vérité...

Tu suis alors cette jeune femme un moment à travers les rues du village. Au fur et à mesure de vos pas tu sens ton coeur battre de plus en plus fort. Avais-tu peur de la vérité ? Que se trouverait-il finalement au bout du chemin ? Quelques minutes plus tard vous pénétrez dans un bâtiment avec une ambiance... pesante. Le gardien était d'ailleurs très étonné de vous voir entrer toute les deux, spécifiquement toi à toi très jeune âge. Ça n'était nullement un lieu destiné aux enfants. Mais Wattan tenta de convaincre cette homme, et ton regard insistant et tes mots ne faisaient qu'en rajouter une couche sur les épaules du pauvre gardien.



Des mots bien étranges de la part d'une si jeune fille. Devant votre insistance commune le gardien finit finalement par céder et vous conduis dans une autre pièce. Deux tables sont devant vous sur lesquelles sont posés deux corps. La vue de ces draps blancs t'angoisse. C'est n'est pas comme si tu avais déjà vu des personnes mortes auparavant... Ce fut pire encore lorsque Wattan te demanda de vérifier sous les draps... Tu t'approches doucement, hésitante, angoisée. Tu atteints le premier corps, tu tends le bras pour te saisir du drap mais tu ne le relèves pas, ton bras est comme paralysé. Et si c'était ton père la dessous ? Comment allais-tu réagir ? Puis tu fronces les sourcils, tu veux savoir ! Tu soulèves alors le drap, laissant apparaître un corps sans vie qui t'es complètement inconnu. Tu ne fais même pas attention à sa couleur bleuté et tu reposes le drap sur son visage. Un cadavre ne semble pas t'effrayer plus que ça, ou peut-être que tu ne réalises pas vraiment ce que tu es en train de voir. Tu t'approches alors du second... Intérieurement tu pries pour avoir raison. Beaucoup moins hésitante tu te saisis à nouveau du drap avant de le relever... Tu aperçois un visage avec les deux globes occulaires manquant, surprise tu recules en poussant un léger cris et le drap retombe sur le cadavre. Wattan penserait sûrement qu'il s'agit de ton perd, alors tu reprends ton calme avant de la regarder.

Alors que tu regardais l'enfant soulever les draps l'un après l'autre, tu te demandais ce qui t'était passer par la tête ? Elle avait moins de dix ans, bordel ! A ta grande surprise, le corps de son père n'était pas là. Tu regrettais que la petite passait par une épreuve aussi dru, mais au moins elle comme toi vous en aviez le cœur net. L'homme devait être encore en vie. La fillette te disait vouloir sortir, pas étonnant avec le spectacle qu'elle venait de voir. Ton instinct maternelle te poussait à la prendre dans tes bras et de la sortir au plus vite. Le gardien comprenait la situation et te faisait comprendre que tu n'étais pas encore assez adulte dans ta tête pour avoir emmener une enfant ici. Tu lui lançais un regard mauvais pour lui faire comprendre qu'il ne valait mieux pas qu'il l'ouvrait. Une fois à l'extérieur de la bâtisse, tu déposais la petite cherchant à la voir dans les yeux. Soupirante tu lui disais:


Pour continuer ton enquête et aider l'enfant, tu lui demandais la chose suivante.


Tu avais tes raisons de réagir ainsi, mais ne préférais pas les évoquer devant la petite.


Ouais, fallait pas oublier que tu emmenais une gamine de même pas dix piges dans une morgue... "Salut, moi c'est Wattan, on ne se connait, mais j'ai emmené votre gosse à la morgue pour voir si son père y était. A et puis, j'aime pas le me songe donc dites nous la vérité sur sa disparition en prime, ce serait sympa." En fait, la question ne se posait même pas. Si l'un d'entre eux étaient ninja, tu allais en prendre pour ton grade. Bon après tout, tu avais déjà l'habitude avec Hiruzen de temps à autre... une personne de plus ou de moins...