Comme une impression de déjà vu.

Hina riait à la réflexion du petit Kamui. Celui-ci savait ce qu'il voulait et partait sur des Karaï Ramen. Ma femme préférait la volaille et choisissait des Toriniku Ramen et pour ma part je partais pour des Gyuniku Ramen. Le serveur prenait alors la commande de la table de trois.


Après avoir prit, il se dirigeait au cuisine tandis que l'enfant balançant ses pieds dans le vide posait quelques questions indiscrètes. Si ce genre de demande me mettait mal à l'aise, l'amour de a vie elle savait quoi répondre.


Prenant un air un peu plus triste et une voix à la fois douce, mais emplit de tristesse elle ajoutait:


Je lui prenais sa douce main affichant un air un peu plus sérieux et pour ne pas m'inquiéter d'avantage, elle me souriait timidement toujours de son air mélancolique.


Ouais, c'était pas trop le genre de sujet à aborder, mais le petit bonhomme n'y était pour rien d'être de nature curieuse. Je décidais de changer de conversation avant que ma jolie femme ne déprime un peu plus sur sa condition... Elle adorait et aimait plus que tout s'occuper des enfants.


Je ne savais pas si c'était une question adéquate au vu de son âge, mais e n'était pas mon genre de parler de choses dans le but de gagatiser les mômes.

Il comprit rapidement qu’il avait mis les pieds dans le plat et fait une petite moue pour montrer qu’il se sentait mal de les avoir mis dans l’embarras. Il pensait simplement qu’il était possible pour eux d’avoir des enfants au vu de leur comportement avec lui. Il comprends la manoeuvre de changement de sujet du Uzumaki et suis le mouvement. Il reste pensif pendant un petit moment et penche la tête sur le côté d’un air perplexe. Il n’avait jamais réellement pensé à ce qu’il voulait faire quand il sera plus âgé. Il se contentait de suivre les ordres qu’on lui donnait pour l’instant. Bien que calme sur le moment, il avait tendance à se bagarrer à l’académie et le fait d’être déjà un peu mis de côté n’aidait pas et il ne partageait pas les mêmes occupations que les autres.


Il était loin de se douter que ce petit objectif ne sera pas possible d’une part et que cette facilité lui coûterait plus de problèmes que de louanges dans l’avenir.

Le petit discours du petit Uzumaki attendrissait encore plus le visage de ma femme envers l'enfant.




C'était plutôt adorable de la part d'un môme de vouloir rendre tout l'amour qu'il recevait d'une personne en l'imitant. La commande finissait par arrivée et bientôt les délicieuses odeurs des bouillons, ainsi que de la viande et des épices parvenaient jusqu'aux narrines.




Puis, je saisissais mes baguettes et commençais à manger. Ma vie faisait de même après la distribution des boissons de chacun. Comme à chaque fois, c'était délicieux et malgré mon tempérament de brute, des larmes de joies coulaient le long de mes joues tant c'était bon.

Il ne savait pas vraiment ce qui lui valait autant de compliments, pour lui, c’était naturel de rendre ce qu’il avait reçu. Il apprenait les choses de la sorte à la maison. Mais il rendra les sourires aux deux adultes en souriant à se cramper les joues.



Il savait que se balader avec de parfaits inconnus était fortement déconseillé, mais son petit côté morose de tout à l’heure lui aura fait oublier cette règle simple.



L’inverse aurait pu être mal donc c’est tant mieux diront nous. Le arçon regarde la commande arriver et son regard s’éclaircit à la vue du bol, il en avait l’eau à la bouche rien qu’en sentant l’odeur. Il joint ses mains et semble faire une petite prière avant de commencer à manger. La première bouchée en tout cas semblait lui plaire.



Eikichi versait quasiment des larmes en mangeant, étrange pensa le garçon. Il penche la tête en se demandant si son plat était peut-être trop épicée pour lui, chose qui lui paraissait impossible puisque son bol était rouge fluo par rapport à l’homme.