À prendre ou à laisser.

En s'approchant un peu plus, Kalia fut capable de discerner deux choses ; un homme était super sexy et l'autre disposé d'une raie sur son front...


La Kirishitan était méfiante et c'était relativement logique en considérant que la terre était rouge du sang des civils décédés... Elle s'approcha alors un peu plus des individus sans être suffisamment proche pour se faire attraper. Elle était à relativement 7 mètres d'eux.


Kalia beuglait volontairement tandis que le vieillard passait tranquillement. Une fois 10 mètres plus loin, elle souffla et reprit :


Elle se mit alors à faire un signe au Tanuki, il était l'heure de s'éloigner...

J'avais tenté ma chance pour avoir un peu d'or, mais il n'y avait que l'autre femelle qui m'avait répondu, cependant je n'avais pas la statuette qu'elle m'avait demandé, je lui fit alors un simple nom de la tête alors que j'entendais ma femelle me dire de partir, c'était sans doute mieux, cette bande avait l'air d'être du genre à tanuk les étrangers.



Je commençais à partir puis je me retournais, je ne pouvais pas tenir ma langue face aux femelles.



Puis je me courais sur mes quatre pattes pour rejoindre ma femelle et le vieux, une fois à côté d'elle je lui dis.



Mais cela n'était sans doute pas leur problème, il devait faire les dernières volontés du yeux jaunes.

Ton regard était figé sur le visage d'Hideaki. Avais-tu seulement cligné des yeux depuis que tu venais de poser ta main sur son épaule ? Tu n'en étais pas sûr. Tu étais comme absorbé par cet individu, ou du moins, par les informations qu'il pouvait posséder au sujet de Nasana. Et lorsque sa réponse, négative de surcroit, fit accompagner d'un revers de sa main n'ayant que pour seul objectif d'éloigner la tienne de son corps, tu te retins pour ne pas prendre l'un de tes sabres, accroché dans ton dos, afin de lui trancher la gorge. Ton regard, c'était assombrit davantage. Mais était-ce seulement possible de rendre tes yeux plus encore impressionnant ? Ta mâchoire se contractait, signe qu'une certaine impatiente était en train de naître en toi. Cependant, tu gardais le contrôle de tes actions, comme toujours...


Tu n'avais pas bougé d'un centimètre alors que l'homme reculait de quelques pas. Tu interprétais son besoin de distances comme un signe de faiblesse. Tu détestais cela... Tu avais fréquenté des hommes de tout milieu, et tu savais que la couardise se cachait le plus souvent chez les bandits. Il se montrait bien facile de tuer des commerçants et des mercenaires, mais, la majorité se montrait effrayé face à un utilisateur de chakra... Toi qui n'accordais ton respect que selon la puissance, tu étais bien trop souvent déçu. Toujours était-il que Hideaki avait continué sa conversation, se présentant comme étant L'annuaire noire. Selon ses dires, il était capable de retrouver une personne en particulier ou bien encore des compétences spécifique. Et ni une ni deux, tu te retrouvais avec un petit agenda ouvert sous les yeux sur lequel se trouvait une liste de noms, associés à des domaines de compétence et des lieux en tout genre. Tu observas le calepin, sans pour autant le prendre entre tes mains avant de ramener ton regard sur le "commerçant". Lui, avait continué son speech qui te devenait insupportable. Tu n'avais jamais aimé les longues conversations, cela t'ennuyait et finissait par t'agacer et pourtant, Hideaki, semblait être un de ces hommes qui pouvait noyer quiconque sous les mots...


Tu n'avais toujours pas décroché un mot alors que l'individu te demandait de fournir ton identité et des informations semblable à celle que tu avais aperçu sur l'agenda. Que pouvais donc s'imaginer cet homme ? Que tu allais lui offrir gentiment ce qui se trouvait être le plus précieux pour toi ? Ton anonymat ! Quelques minutes auparavant, tu t'étais retrouvé à lire des noms de multiples individus, tu pouvais donc être sûr d'une chose: ce n'était pas lui qui ferait preuve de discrétion à ce sujet... Tu allais tout bonnement l'envoyer se faire foutre et le convaincre de t'aider via d'autres moyens alors que Nagisa faisait son entrée dans la conversation, se portant garant à ma place. Alors que son sabre disparaissait, tu n'avais toujours pas détourné ton regard du Minashigo, comme si cela te semblait tout à fait normal que Nagisa intervienne de la sorte. Tu l'écoutais offrir des informations qui différait de celle que tu possédais à son égard, cependant, tu estimais que les deux versions étaient probablement fausse, ni Nagisa, ni Lara n'était sa véritable identité...


Tes yeux finis par se détacher de l'homme afin de se tourner vers les nouveaux arrivants. Un tanuki et une femme à la peau d'ébène. Cette couleur de peau si spécifique ne pouvait que te remémorer d'ancien souvenir... Tu te revoyais pénétrer dans le campement d'Iwa, sous une fausse identité, traversant les rues de ce village, accompagné par la Cheffe en titre, Risako. Mais l'apothéose de ton souvenir n'était nul autre que le fait d'avoir volé la vue à cette femme, laissé avec une cicatrice à vie au niveau du cou et d'être retourné ainsi à Kumo... Est-ce que cette jeune commerçante, qui appartenait sans aucun doute à ce clan, portait le traumatisme que sa Cheffe de clan puisse subir une telle attaque ? Un léger sourire naquit sur tes lèvres à cette idée alors que tu regardais cette femme traverser à une dizaine de mètres devant toi. Tu l'écoutais sans réellement porter attention à ses propos, énumérant la liste de ses statuettes. Mais d'un coup, ton sourire en coin se ternit. Kuraso. Hattori Kuraso.


Ton partenaire de mission, l'homme que tu avais laissé avec le genou explosé au milieu des marécages de Taki. L'Hattori que tu avais laissé pour mort, rendant officielle ta désertion. Comment cette femme pouvait-elle le connaître ? Quelle légende ? Qu'est-ce que tout cela signifiait ? Tu l'avais laissé pour mort, persuadé que des saloperies de crocodile allaient venir bouffer sa carcasse. Non, tu avais commis une erreur. Lui aussi, tu aurais dû le faire disparaître à l'aide de ton Hikariton. Ton cerveau rentrait en ébullition. Était-il possible que cette femme connaisse Kuraso avant sa mort ? Mais alors, pourquoi en parler de son vivant ? Puis quelle foutue légende ?


Tu devais agir, tu devais comprendre, tu devais en savoir davantage. Alors, tu t'adressas à cette inconnue, l'interpellant à la hâte !





Nasana devrait attendre quelques minutes encore. Tu avais désormais une autre urgence à régler et de ce fait Hideaki venait de passer au second plan...

"Toi" !? Ok, ils étaient dangereux... Ok, il n'y avait pas de politesse dans ce bas monde, mais n'abusons pas ! À plusieurs mètres de sa cible, la femme sur le départ se retourna alors avec un certain dédain.


Le regard insistant et ténébreux de son interlocuteur ne semblait nullement impression la femme au teint si particulier sur le Yuukan. Kalia n'avait jamais vraiment eu l'occasion de prouver sa force, mais elle n'était clairement pas une simple personne à protéger. La Kirishitan ne comptait pas se soumettre bêtement et attendre que son adversaire vienne la poignarder par caprice. Elle lui fit alors face, yeux dans les yeux.


Le vieillard vint alors tenir la main de la femme qui semblait bougrement sérieuse. Pour dire, elle semblait être prête à user de sa botte secrète... Elle soupira alors :

La femme c'était retourné à ton interpellation des moins polies. Tu avais pu voir, ne serait-ce qu'à son regard, qui d'ailleurs, notons le, tentait de pourfendre le tiens, que cela ne lui avait guère plu. La politesse en dehors de la hiérarchie Kumojin n'était pas une chose que tu pratiquais des plus couramment. Peut-être cela était dû au fait que tu te sentais supérieur à bien de nombreuse personnes. Toujours était-il que la commerçante demandait à être payé pour le service demandé. Quoi de plus normal direz vous ? Tout travail mérite salaire. Ton regard se posa sur Hideaki, hésitant, impoliment à lui demander de fournir la pièce. Mais tu ne le fis point, préférant faire quelques pas sur ta gauche et te baisser en avant afin de faire les poches d'un des mercenaires qui se trouvait raide mort sur le sol.





Tu venais de dire cela en pointant de ton menton Hideaki. Lui qui venait de prendre la vie de ces inconnues, rendant leurs économies inutile. Finalement, n'était-ce pas une bonne action que tu étais en train de faire en empêchant l'assassin de voler l'argent de sa victime et en la redonnant à autrui ? Qu'importait... Tu lançais la bourse, qui se trouvait bien légère malgré tout, en direction de la femme à la peau d'ébène. Tu ponctuas ton geste de ta parole :

Je me doute quand même qu’elle m’a donné un nom bidon. De toute façon, la plupart le font. Je prends le soin de modifier moi-même les informations quand j’en apprends plus sur eux. Et surtout… J’aurais voulu les infos sur l’autre. Nous semblons avoir un alignement assez proche, sa patience en moins.

J’aurais voulu en finir vite. Ils me donnent ce que je veux, merci, au revoir et sans doute à jamais. À mon avis, si je recroise les deux sans leur “Nasana”, je risque d’en baver. Je devrais peut-être prévoir du renfort lors de notre prochaine rencontre, s’il y a. À la place, les deux perturbés s’attardent sur la basse classe. Des vendeurs de statuettes. En itinérant. Avec une enfant, un vieux et un rat. Qu’est ce qu’on en a faire d’eux ? C’est jusqu’à que je vois le palot être vivement intéressé par un prénom. Hattori Kuraso. Ce gars avait des liens avec l’empire de Kumo ? Je ne sais pas qui il est, mais autant s’attarder pour écouter l’histoire. Et je n’ai toujours pas ce qu’il me faut pour commencer mes recherches de toute façon.



J’écarte d’un des chariots le marchand blessé au dos. Si quelqu’un doit se mettre confortable pour écouter un récit, c’est moi. Je me murmurai à moi-même tout bas.



Je souris d’amusement quand je vis le tatoué me regarder avant de ramasser la bourse d’un des cadavres. Vas-y, je te prie. Pas besoin de ma permission. Qu’est-ce que j’en ai à faire de quelques piécettes. Tant que ce n’est pas moi qui paye, je m’en fiche.

L’histoire a intérêt à être divertissante.

Kalia souriait lamentablement, mais elle bouillonnait intérieurement. Elle se mit alors à regarder Rakun avec un air larmoyant et elle fit totalement désarmée lorsque le vieillard se mit à jouer du banjo. Elle s'était étrangement imaginée que l'homme mystérieux se serait débarrassé d'elle sans même lui jeter cette misérable piécette d'or. Pour dire vrai, l'histoire de Kuraso n'était qu'une histoire surexploitée et réinterprétée dans le seul objectif de faire pleurer les chaumières. Elle avala sa salive tandis que l'autre jouait de son instrument à plusieurs mètres...


Elle chercha alors un endroit pour s'affaler pour finalement poser son derrière sur une roche avoisinante. L'odeur de cochon grillé offrait un cadre idéal à ce conte moderne... En regardant l'homme au front de fessier, la Kirishitan prit la parole en baissant légèrement la tête tout en préservant un contact visuel :


Bon, il n'y avait quasiment rien de vrai. Kalia préféra écourter.


Elle se mit alors à s'éloigner en reculant lentement vers le vieillard. Selon la réaction des individus face à elle, elle se défendrait ou s'éloignerait...

Je commençais à sentir mon sens d'animal s'affoler, je n'avais pas du tout confiance en cet humain avec ses taches plein la tanuk. Je ne sais pas si c'était mon sens d'animal, ou tout simplement mon expérience de ce monde, mais je ressentais de la dangerosité en le regardant.

Je restais alors sur mes gardes tout le long de l'histoire de la femelle, me préparant à accueillir n'importent lequel des trois humains à m'aide de mes dragonballs ! Alors que l'histoire était terminé je faisais comme la femelle, je me tanukais en avant en reculant tout doucement, nous n'aurions pas du nous arrêter.



Intérieurement je priais le grand Kogan pour que cette histoire ce termine et que nous puissions reprendre notre chemin tranquillement...

La situation était devenu vraiment étrange en quelques minutes, je venais de me faire reluquer par un animal ? Il venait vraiment de me dire que j'étais bien roulé ? J'étais tellement sur mes entrefait que je restais là sans savoir quoi lui répondre, alors que la Kirishitan commençait son récit, j'étais soulagée de constater qu'elle ne faisait pas partie de Konoha, elle avait donc eu cette intelligence de quitter ce village d'hérétiques elle aussi.

Alors que tout le monde semblait absorbé par l'histoire, je me plaçais dans le dos de l'homme à la couronne, me préparant à l'égorger au moindre geste suspect. Je ne comprenais pas pourquoi Genichi avait perdu aussi rapidement l'objectif Nasana, alors qu'il me menacer de mort à ce propos il y a quelques heures. Il ne pensais même pas à leur demander. Alors qu'ils reculaient essayant de fuir lentement, je pris la parole.



La description était approximative, mais s'ils avaient croisé ce genre de fille il nous le dirait.



J'espérais vraiment que Genichi ne vienne pas foutre mon histoire en l'air avec son impulsivité, il était plus facile d'attendrir les gens pour avoir des informations que de les menacer, ceux si était clairement des serviteurs de la lumière, la bonté fonctionnerait sans doute avec eux, contrairement à ce chien pilleur de cadavre que nous venions de rencontrer.

Ton regard était posé sur la femme qui cherchait un endroit où se poser afin de débuter son histoire. Le vieillard qui était resté en arrière-plan, commençait à jouer de son instrument. La scène semblait des plus loufoques. Tu venais de payer des troubadours avec l'argent de mercenaire fraîchement assassiné, afin que ceux-ci te racontent l'histoire de l'homme que tu avais laissé pour mort, et le tout dans un cadre macabre... À peine le récit de la Kirishitan débutait, que tu savais déjà qu'elle parlait en connaissances des faits réelles. Elle venait d'évoquer les marécages, l'endroit même où tu pensais que Kuraso allait finir dévorer par un crocodile. Puis vint ce qui t'acheva, les lasers... L'attaque que tu avais utilisée à son encontre... Tout concordait... Bien que les qualités d'oratrice de cette femme étaient des plus douteux, tu ne pouvais que reconnaître une partie de vérité dans son récit... À cet instant, tu le savais... Tu le savais que tu ne pouvais laisser vivante une telle personne. Qu'adviendrait-il si l'histoire se propageait aux quatre coins du Yukan ? Qu'arriverait-il cela arrivera aux oreilles de Kumo ? Il se lancerait à tes trousses. Il te traquerait, comprenant que tu avais déserté. Peut-être était-ce déjà le cas, mais rien ne te permettait de le savoir. Mais une chose était certaine... Cette histoire... t'amènerai inéluctablement des ennuis.


Tu regardais la femme et le tanuki faire quelques pas en arrière, tentant de s'échapper d'une situation qu'ils jugeaient probablement ennuyeuse pour eux. Quel genre de personne aimait se retrouver à discuter au milieu de cadavres ? Le genre de personne qui te ressemblait probablement. Tu étais prêt, prêt à attaquer... Mais Nagisa venait de te rappeler tes priorités, Nasana... Toi qui ne voyais que l'histoire de Kuraso avait oublié que potentiellement, ces troubadours possédaient des informations concernant une fillette portée disparu. Tu desserras ton poing, au moins le temps de recevoir une réponse de ces individus. Bien que tu étais curieux de ce qu'ils pourraient penser de toi et de la crédibilité de la question posé par Nagisa. Comment expliquer le fait que tu préféras débuter par te faire conter une histoire d'un Hattori que de demander s'il n'avait pas vu ta fille ? Cependant, tu restas tapi dans le silence, du moins, pour le moment... Préférant attendre de voir sur quoi déboucherait cette situation avant de passer à l'attaque...

Kalia s'arrêta net et se retourna alors :


Elle se mit alors à regarder l'homme à la couronne étrange et à la trace de raie au-dessus du visage.


Elle observait l'individu, lui prouvant qu'elle ne le craignait pas.


Kalia savait dorénavant que les individus ne se connaissaient pas et elle craignait que le Minashigo étrange joue le faible pour mieux tuer ses cibles... Soudainement, elle se mit à sourire :


Pauvre enfant, elle se retrouvait seule dans un monde aussi brute... En disant le mot "monstre", Kalia fixa soudainement le Minashigo.

Les bras croisés, je ne peux m’empêcher de lâcher un début de rire quand j’entends la “prêtresse” mentir en demandant des infos sur leur “fille”. Cette femme est des plus hypocrites, son esprit doit être inversement proportionnel à sa beauté extérieure. Qu’on ne me vienne pas dire que cette “église de la lumière” est quelque chose de propre. Mais je note une chose de plus : Nasana se dirigeait donc vers Konoha. Une Kitto, un homme relié au Hattori et une jeune fille en route le village caché. Très intriguant. Puis ce pauvre “mari” qui serrait et desserrait le poing. Il doit être à deux doigts d’exploser. Tant qu’il me laisse tranquille, il peut exploser comme il veut cela dit.

Mais mon esprit prend du recul sur la situation. Tout ceci à l’air d’être une scène comique disposée à me divertir. La soi-disant sainte, qui essayait de soutirer par le mensonge. L’homme tatoué qui se retient de faire un massacre, sans doute pour cacher un secret lié à ce Kuraso. Une barde qui veut à tout prix risquer sa vie pour une pièce d’or… Et un rat. L’univers me gâte d’une pièce des plus pouffante. Enfin… C’était jusqu’à qu’elle devienne un théâtre de l’absurde avec cette noiraude. Je me dois d’intervenir.

Je me lève avant d’approcher doucement d’elle, les mains dans les poches. Les gens se croient tout permis, de nos jours. Je me dois de l’éduquer un peu. Lui faire comprendre sa place.



Je fais un pas.



Un autre.



Et un autre.



J’avance encore.



Je suis à quelques pas de la Kirishitan.



Je m’arrête devant elle, toujours les mains dans les poches. Je me penche vers elle, avec un sourire moqueur.



Je me redresse pour la regarder de haut. Vermine. Ces gens-là ne se rendent pas compte de la chance qu’ils ont eu à la naissance. Je lui boufferais bien son chakra si je n’étais pas certain que son rat et la fausse sainte nitouche me sauterais dessus.



Je la fixe dans les yeux avec un regard mort. Comme si elle n’était littéralement rien. Un asticot aurait plus de valeur. Une souche pourrie, plus de beauté. Ma mèche de cheveux tombant devant mes yeux, plus d’intérêt. Ma voix se fait plus grave, plus profonde alors que je lui applique la vérité de ce monde, comme j’applique le fer rouge pour torturer mes débiteurs qui ne payent pas.



J’ouvre les bras, mains ouvertes, invitant la manieuse de brindille à faire le premier pas.