Vérité, ô vérité

Le choix était donc fait. Si Tsubomi ne changeait pas d’avis en cour de route, le dôjutsu devrait être détruit sous peu. La Kitto faisait suffisamment confiance à la Chikara pour qu’elle ne lui demande pas de le faire dès maintenant. Étant donné les deux gardes à la porte, il valait mieux arriver qu’un tel évènement n’arrive pile dans la même semaine où la Kitto est passée à la morgue. Les deux chûnins commencèrent à repartir, elle arrivèrent alors à l’entrée de l’hôpital où Hegi salua alors la jeune médecin.



Elle savait bien que Tsubomi n’allait probablement pas oser demander quoique ce soit. Mais avec le temps, un jour peut-être aura-t-elle besoin d’un coup de main, l’on ne sait jamais de quoi est fait le lendemain après tout. Hegi fit un léger signe de tête, puis finir par quelques mots juste avant de quitter l’hôpital :