Tournoi des trois champions

J'étais, pour une fois, lever depuis un petit bout de temps. J'étais effectivement décidé à rendre rendez-vous à Gekido-sama. Je m'étais entraîner tellement sûr ses dernières années que je me devais d'y participer. Le tournoi des trois champions. J'étais sur le point de maîtriser la technique ultime de mon clan, et il était de mon devoir de représenter mon village à ce tournoi. Encore fallait-il convaincre le seul Hokage restant du village. Selon les communiqués, je devais partir le lendemain en mission pour récupérer Jin et Yasuo-sama, les deux déserteurs de Konoha.

Je me préparai donc le plus sérieusement possible dans le but d’impressionner l'hokage : tenue de ninja très puissante, elle était légère, augmentant la mobilité et possédait de nombreuses caches à armements ninja. J'y glissais nombres de shurikens et de Kunaïs et pris la direction de l'imposant bâtiment ou la totalité des affaires administratives se déroulaient.

Je pris rendez-vous avec l'Hokage auprès de la secrétaire du bâtiment et allai m’asseoir dans mon coin, nerveux. Je réfléchissais à divers moyens de montrer à L'Hokage que j'étais prêt à combattre, à représenter mon village. Prêt à détruire les ennemis de Konoha.

Agité. Ce mot pouvait à merveille décrire la nuit que venait de passer Gekido. Après avoir travaillé durant plusieurs heures sur différent projet qu'il avait en tête pour Konoha, l'Hokage était parti se coucher afin de ne pas s'endormir sur ses papiers. Cependant, contrairement à ce qu'il avait espéré -et souhaité- sa nuit ne fut qu'une succession de cauchemar, de réveil en sur-saut et coulé de sueur froide. Dans ses songes, Konoha était en flamme, les rues du village pavé par les ossements de ses habitants et les caniveaux remplit du sang -plus ou moins aggloméré- des morts. Il avait même pu voir Kazami -ou plus exactement sa tête- trôné sur un pique à l'entré du village. Quant à lui, il c'était vu au milieu des ruines embrasé de Konoha, riant à en perdre la raison... Un mauvais rêve ...

A présent assis dans son bureau, il n'arrivait pas à se remettre au travail. Il n'avait pas la tête à ça. Il ne voulait qu'une chose, sortir afin de prendre l'air. Et, alors qu'il allait s'accorder une longue pause, une personne s'invita dans son bureau et lui indiqua qu'un ninja nommé Qazea attendait en bas afin de lui parler. Que pouvait bien vouloir ce Chikara, s'interrogea l'Uzumaki. Et, bien qu'il est un rendez-vous avec cet homme, Gekido était bien décidé à prendre l'air.

Descendant les escaliers afin de rejoindre le hall, Gekido se mit à chercher du regard celui qu'il pensait-être Qazea. Il n'y avait pas grand monde dans le hall alors trouver un Chikara fut chose aisé pour le Kage Uzumaki. Et, alors que la jeune femme lui indiquait néanmoins le shinobi qui avait pris rendez-vous auprès d'elle, Gekido se dirigea vers lui. Ce dernier semblait nerveux. Anxieux. Que pouvait-il bien vouloir ?



Puis, sans vraiment attendre une réponse de sa part, Gekido commença à partir vers l'extérieur de la Tour. A l'extérieur, le ciel était bleu et le soleil jouait à cache-cache derrière lui nuage. Aucune goutte ne semblait tomber. Une promenade était donc possible.

J'attendais nerveusement en tapant du pied au sol quand une voix très masculine me fit lever la tête. Il s'agissait de Gekido-Sama, le seul hokage encore en service dans le village de konoha. Il me souhaita le bonjour et me demandai si nous pouvions aller à l'extérieur. Je connaissais ce sentiment : être opressé, ne plus pouvoir résister au monde nous entourant, avoir l'envie de s'évader. J'acquiescai du chef et suivis le chef de mon village à l'extérieur.



Oui, j'étais cullotée. Oui, je balançais une telle information de but en blanc. Nakatsu m'avait appris les stratégies nécéssaires pour gagner. Je maîtrisais toutes mes techniques à la perection. Et plus important, j'étais sur le point de maîtriser la technique ultime de mon clan. D'ici le tournoi, je serai prêt.

Qazea se leva et alla rejoindre Gekido qui s'était immobilisé sur le seuil de la porte. Et, tandis que le jeune Chikra commençait à parler, le Kage du Village caché de la feuille, d'un air songeur, regardait le ciel bleu mais néanmoins nuageux. Bien qu'attentif à ce que disait Qazea, il avait la tête remplit d'idée d'amélioration pour le village. Il ne pensait à rien d'autre qu'à rendre son village plus beau, plus puissant. Et, même en observant silencieusement le vol d'oiseau migrateur au dessus de son village, cette idée ne le lâchait pas. Néanmoins, quelque peu distrait par ces derniers, passants haut dans le ciel et semblant se diriger vers la forêt du pays du feu, Gekido se rendit compte que le temps avait avancé. Non sans une pointe d'amusement, le Kage se mit à penser que l'hivers commençait à s'éloigner petit à petit afin de place à l'été. Bientôt, les habitantes de Konoha s'habilleront de manière légère, pensa le HoKage avec un rictus pervers affiché au coin des lèvres.

Soudain, son rictus et toute forme d'amusement intérieur disparurent après avoir entendu les propos de Qazea. Ce furent plus exactement les derniers mots prononcer par celui-ci qui arrêtèrent net le jeune homme. Le tournoi des trois champions, que certain avaient renommé le Tournoi des Trois Villages et d'autre la Coupe de Chakra. Cet événement, qui avait lieu à date fixe, allait bientôt se dérouler et Gekido l'avait complètement oublié. Avec les nombreux événements qui c'étaient déroulé au sein du village, l'Uzumaki avait eu fort à faire et c'était désintéressé de cet événement.



Gekido avait sorti cela comme pour montrer sa surprise. Rien ne l'avait préparer à cela. Et était véritablement scotché devant la déclaration que Qazea. Ce dernier se pensait près à combattre l'élite des villages militaires. Celui-ci pensait être à la hauteur des plus puissant Ninja de Konoha ou de Kumo. Qu'est-ce qui pouvait le rendre si confiant ? Était-il si puissant que cela ?



Gekido venait d'amorcer le premier pas, tant dans la discutions que dans la longue marche qui attendait les deux individus...

Je parlais tandis que Gekido-sama observait le paysage extérieur. Mon regard était d'ailleur lui même attirer par cette lumière magnifique : le temps était véritablement splendide. Je savais bien que l'Hokage écoutait ce que je lui disais, mais il avait plus l'air de se concentrer sur des affaires plus préoccupantes. Il se retourna brusquement lorsque je lui parlais du tournoi. Il avait dû avoir bien plus d'affaires importantes que ça à gérer et ne devais pas encore avoir choisis un représentant.

Il répéta ma demande d'un air surpris et eut l'air perdu dans ses esprits. Oui, je m'étais montré présomptueux. Capable de vaincre les plus puissants shinobis des deux autres village. Capacble de vaincre leurs champions. Mais j'étais sûr de ma puissance. Sûr de la technique que je maîtrisais à présent.

Je rejoignis mon Hokage d'un pas sûr de moi. J'allais lui dire ce qu'il me motivait.

C'était d'un pas lent et silencieux avec lequel se déplaçait actuellement Gekido. Il marchait droit devant lui, avec Qazea à ses côtés, dans la rue la plus longue et la plus animé de Konoha. Celle reliant l'entrée du Village au bâtiment des Kage. Cette rue était connu comme la plus marchante de tout Konoha. De toute part, on pouvait apercevoir enseigne de magasin, étal de marchant et vendeur en tout genre. Tous les habitants se retrouvaient ici pour y faire leurs achats. Qu'il s'agisse de ninja en quête d'arme nouvelle ou de simple citoyen cherchant à découvrir de nouvelle saveur, il était possible de croiser tout type de population -et de clan- dans cette rue. Et, bientôt, en plus des citoyens ou des ninjas, il serait possible d’apercevoir des policiers effectuant une patrouille dans le secteur, dissuadant voleur potentiel et assurant une sécurité supplémentaire pour les habitants de ce village. Un projet que j'espère voir aboutir d'ici peu, pensa Gekido.

Alors qu'il observait un groupe d'enfant jouer entre les passants, Gekido écouta la réponse de Qazea. Il semblait sur de lui. Il semblait croire en ses capacités et penser être la personne la plus à même de livrer bataille au nom de Konoha.



Gekido avait bien compris qu'il se pensait fort. Mais au delà de la force, qu'avait-il a apporter à Konoha ?

Nous marchions à présent côtes à côtes dans la longue rue marchande de Konoha : chaque personne pouvait venir ici pour faire ses emplettes. C'est d'ailleurs ici que j'avais acheté l'herbe qu'il me fallait pour la préparation, le soir ou j'ai invité Kazami chez moi. Un petit groupe d'enfant jouait au chat, un jeu populaire en ce moment, courrant entre les passants. Gekido-sama semblait attentif à ma réponse : il était à présent plainement concentré sur moi. Il m'étudiait, prêt à accepter ma candidature.

La moitié du combat mental était gagné. Il me dit que mon discours semblait honnête, et que ma volonté de défendre Konoha était juste. Il me demanda nénamoins pourquoi moi et pas un autre.



Je me tus après une telle explication. Celà pouvait sonner prétentieusement, mais je n'avais fais que répondre à sa question. Lui dire mes chances de gagner.

Sur cette longue rue qu'était la rue marchande de Konoha, Gekido ne passa pas inaperçu longtemps. Après quelques minutes de marche, les passants commençaient à le dévisager tout en ce demandant s'il était bien le dirigeant de ce Village. Après tout, il était rare de voir l'Hokage de Konoha se promener ainsi dans les rues de son village. Surtout sans escorte. Cependant, le jeune homme aux cheveux rouge avait véritablement besoin de ce bol d'air et, bien qu'il aurait aimé faire ce tour à pied seul, la compagnie de Qazea ne le dérangeait pas plus que cela. Après tout, malgré la présence du Chikara, il prenait plaisir à être dehors.

Et, tandis que le jeune chikara commençait à se venter de ses origines guerrières, Gekido changea de regard mais préféra ne pas regarder Qazea de peur qu'il ne comprenne que certain acte passé n'était toujours pas digéré. le Kage du Village de Konoha n'aimait guère qu'un Chikara se vente d'appartenir à une famille de tueur. Alors, avec une pointe d'ironie, il répliqua:



Gekido n'en voulu pas en dire plus. C'était à ce garçon de trouver la réponse à cette énigme.

J'avais oublié quels inconvénients il pouvait avoir d'être un hokage. Après quelques minutes de marche, les passants s retournèrent sur le passage de L'Hokage. Ces personnes devaient certainement se demander si il s'agissait réellement du dirigeant de leur village. Pour les ninjas, ils étaient beaucoup moins surpris : on le voyait plutôt régulièrement.

Alors que je lui parlais de mes origines guerrières, il se rembrunit, refusant de croiser mon visage. Le maître m'expliqua qu'il y avait une différence entre guerrier et combattant. Je réléchissais à toute allure, ne sachant que dire. Une idée apparut dans mon esprit. Je tentais de parler du problème sans rentrer dans les détails, de peur que je me trompe.



J'espérais que ça marcherai. Avec un peu de chance, c'était la réponse qu'attendait mon Hokage.

Alors que Qazea commençait à expliquer ce qui, selon lui, différenciait un guerrier d'un combattant, un jeune garçon sortit d'un magasin d'arme en pleurant et manqua de rentrer dans le Hokage. Celui-ci, non sans avoir pris note du comportement étrange du garçon, commença à pénétrer dans le magasin. Et, alors qu'il se trouvait au seuil de celui-ci, il répondit



Avant quelque peu, afin de dégager l'entré de la boutique, le Chef du Clan Uzumaki reprit ensuite la parole:



Autour des deux hommes, une multitude d'arme était exposé. Il y en avait pour tout les goûts et tout les styles. Saï, Nunchaku, Katana, Ninjato, Bo ou même Trident. Ses armes, forgées à la main, étaient de bonne qualité.

Alors que je résumais rapidement à mon maître la différence entre les deux notions abordées, un jeune garçon sortit du magasin d'arme en pleurant, évita de justesse son hokage et me bouscula brutalement. Gekido pénétra dans le magasin en m'expliquant qu'un gerrier est un boucher élevépour la guerre, qui aimait tuer et faire de nombreuses victimes. Il continua en m'expliquant qu'un combat se bat pour une cause qui lui semble juste, et qu'il ne répandra que le sang nécéssaire.

Je fus éblouis par la bonne qualité de toutes les armes qui nous entouraient : Saï, barre, katana, bo, trident, Kunaï : tous étaient de magnifiques qualité. Il me demanda de répondre à une question. Sij'y arrivais, il me donnerai une arme, sinon deux.


Je réfléchis quelques instants à ses paroles, attendant une réponse qu'il n'avait pas l'air prêt de me donner tant que je ne répondrai pas.

Brillant de mille feux, les armes exposées par l'armuriers appelaient a se faire utiliser. Criant leurs envies d'être manipulé par des puissants, ces instruments de mort avaient revêtus leurs habits de noblesse. Cependant, il ne fallait pas de fier aux apparences, ses instruments d'acier servant la mort ne rêvaient que de faire couler le sang et déchirer la chair de leur adversaire.

Amusé par la question de Qazea, Gekido se mît a rire. Il était vrai que cette récompense pouvait sembler bizarre. Presque injuste si le jeune Chikara trouvait une réponse correcte à la question de son Kage. Cependant, le Chef du Village Caché des Feuilles avait une raison bien a lui procéder ainsi. Il voulait démontrer au Chikara plusieurs choses. Des choses importances a ses yeux.



Puis, après avoir écouté attentivement la réponse de Qazea sur ce qu'était un Ninja, Gekido lui lâcha: