Ce fut sans surprise que Gekido refusa l'accès au village aux deux diplomates de Kiri et leurs proposa de
discuter dans la seconde annexe diplomatique de Konoha, située à l'écart du Village. Evidemment, la proposition de l'Hokage n'avait rien d'extravagante compte tenu des événements qui c'était dérouler une année auparavant avec la visite de la Okasan de Kumo. Visite qui c'était terminé en un duel entre le Hokage et un
déserteur du nom de Chikara Sayan. Une bien piètre vision offerte au diplomate de Kumo, qui n'avait plus fait reparler d'eux par ailleurs.
N'ayant guère le choix si elle ne voulait pas rentrer chez elle aussi vite, les deux jeunes femmes -aux atouts démesuré- acceptèrent la proposition de Uzumaki Gekido. Ainsi, le cortège se mit en route. Il fallait pas aussi longtemps pour rejoindre cette annexe que celle de Kumo mais elle était situé néanmoins assez loin de village -et ce afin de prévenir de toute attaque sur Konoha afin de vaine négociation.
Celle qui c'était présenté comme Gaikotsu Kioko -et qui semblait aimé parler- commença à
féliciter le Kage de l'efficacité de son système de filtrage aux portes. Evidemment, par courtoisie envers celle qui lui avait adressé la parole, il répondit:
« Il est vrai que ce système à fait ses preuves. Néanmoins, ceux souhaitant réellement intégrer Konoha -ou simplement commercer avec notre village- s'identifie sans poser de question. »
Et, alors que la dénommé Kioko expliquait à Gekido qu'un tel service de sécurité n'était guère obligatoire en sa présence -et qu'elle était venue à Konoha afin de discuter d'un échange- une nouvelle tête rousse fit son apparition. C'était le courrier de Gekido qui venait l'avertir que Taram était posté à l'annexe et que, puisqu'il avait mis un temps fou à la retrouver, il devait trouver Shinji à présent afin de le mettre en alerte.
Une fois cela dis, le petit roux repartit en direction du village permettant ainsi à Gekido d’enchaîner sur :
« Un échange. Tiens dont. Et de quel nature ? »
Gekido avait encore dans la tête la proposition de l'Okasan.