Genji n'avait pas bougé pendant toute la tirade de Kaiya. Assis, les bras toujours croisés, les yeux à demi plissés, il avait observé. Écouté. Ressenti. Et quelque chose en lui, une braise jamais totalement éteinte, venait de reprendre feu. Le vieux shinobi, au regard durci par trop d'hivers et trop de trahisons, vit dans les mots de la Kaguya non pas des promesses creuses, mais un écho de sa prop

Le mal qui avait touché Soshi semblait ne pas vouloir prendre fin, et tant qu'elles n'auraient pas retrouvé sa mère, il ne faisait aucun doute que la situation de la jeune femme n'allait pas aller en s'améliorant. Le voyage eut lieu pour la majorité sur le dos de Kazuko. La Miwaku était étonnée de voir la force et l'endurance dont pouvait faire preuve la Okasan, et blottit la tête dans son cou, el

Après plusieurs minutes à essayé de capté cette silhouette. Commençait à douté de son état d'esprit. Il était quasiment sur de ne pas être sous l'emprise d'un genjutsu. Cette art horrible qui lui laissé de mauvais souvenir. Et pourtant, son instinct lui criait qu'il y avait quelqu'un qui l'observer. Pire encore, elle lui demandait de... les rejoindrais !? Cette voix avait résonné dans son esprit a

Plusieurs semaines après le départ de Daiki et Heiwa, cette dernière fit son retour et vous informa que ton camarade médecin et elle avaient du se séparer, laissant le Kitto seul à la recherche d’Hinae. Un choix discutable, car être seul était un danger qu’il valait mieux éviter en ces temps incertains pour les vôtres. Inquiet à son sujet, il fut alors décidé d’envoyer une petite escouade à sa rec

L’homme s’était présenté, Uzumaki Kenshin, comme si ce nom devait suffire à l’apaiser, ou même la convaincre de baisser sa garde. Pourtant, rien dans son visage ne réveillait le moindre souvenir. Pas un fragment, pas une scène floue d’une époque passée à Konoha. Sayuri ne le suivit pas immédiatement. Il s’éloignait déjà, comme s’il était certain qu’elle allait le suivre. Ce genre d’assurance,

Ichihime resta immobile un long instant après que Seishiro eut détourné son regard vers la tente. Le vent fouettait encore la poussière, collant des particules sèches aux pans de sa veste. Autour d’eux, le camp respirait à peine, des silhouettes qui dormaient d’un œil, des murmures étouffés, des pansements sombres qui marquaient la peau et la chair des survivants. Tout cela formait comme un tablea