Belle-maman et beau-papa n'auront guère fait long chemin dans la vie que nous menions tous les trois. Oh désolation se fut alors pour l'enfant que j'étais ! Oh avarice se fut alors pour mon portefeuille !
Héritier de cette fortune d'infortune, je fis enfant de cette vie un terrain de jeu, mon terrain de jeu ! Argent, essence de mes caprices, m'avais donné plus de pouvoir, moi haut de tes trois pommes, qu'à ces gueux des alentours. Que je les hais, ces nécessiteux ! Quémandant l’aumône pour se débiner de la famine, je ne peux que m'esclaffer de leurs précoces situations !
Mais détrompez vous lecteur ! L'aversion de ces trois classes féodales n'est que jadis passé ! Cela est dépassé de nos jours, démodé dirais-je même ! Non mon brave ! Aujourd’hui il faut aller de l'avant ! Alors ma haine antan morcelée se rassemble peu à peu sur un seul peuple.... Meurtrier de mes ascendants.... Fils du démon de par leur pigmentation de tignasse.... Laissez moi vous présenter : les uzumaki !