Qu'on m'apporte le petit frère

Le prodige

« Ce n'est pas nous qui marchons pas droits, c'est le monde qui va de travers. »

Cette remarque semblait bien vraie à ce moment-là. Épaule contre épaule, sensei et élève titubaient et tanguaient sur une route pourtant droite. Vous parliez de relation saine et respectueuse entre un apprenti et son maître ? Laissez tomber.

Ce soir, ils étaient deux soûlards, amis de longue date, qui essayent tant bien que mal de retrouver leur route.
Mais tout à une fin et ce qui rentre doit bien finir par sortir. Shin s'éloigna donc pour recracher élégamment ce que son corps ne pouvait plus supporter en un fluide visqueux et odorant. Super. Pendant ce temps-là, Gareki lutta pour garder son équilibre avant d'être, tel un moustique en pleine nuit, irrésistiblement attiré par la lumière qui émanait d'une fenêtre non loin. Incapable de réfléchir, il s'avança de manière hasardeuse et colla son visage sur le carreau pour observer l'intérieur de la demeure.

Publié le 01 Mars 2015 vers 01h

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Alors que mes entrailles recrachaient le jus de ce que j'avalais mon sensei fuyait regarder à travers une fenêtre. Reprenant une gorgée de mon eau de vie je le regardais au loin, il avait l'air vraiment attiré par cette fenêtre. Evidemment cet intérêt pour ce qu'il y avait à l'intérieur de cette maison me rendait curieux, et après une minute de tentatives de le rejoindre enfin j'arriva devant cette mystérieuse fenêtre, et....

A l'intérieur de cette maison où la lumière se dispersait sur mon regard, une jeune femme se changeait, elle était alors à demi-nue, il ne lui restait plus que ses sous-vêtements, mon sensei était donc un pervers, mais bon dans l'état où j'étais, j'avoue que ça m'intéressais aussi bien plus qu'une gorgée de plus de ma boisson de vie.

Alors que la jeune femme dégrafait son soutient gorge, j'avançais mon regard afin de mieux observer sa poitrine nue, mais alors que mes yeux sortaient de mon crâne afin de plonger dans son décolleté, ma tête heurta le carreau et la jeune femme nous vit tout les deux, les yeux plongé sur sa nudité, plongé sur son corps, plongé sur sa beauté.

Elle mit un drap autour de son corps et s'en ouvrit la fenêtre afin de nous crier dessus des insultes qui heurtait notre sensibilité, pourtant la seule chose qui heurtait en ce moment quelque chose en moi était ce petit bout de sein qui dépassait du drap alors qu'elle nous engueulait. Le sang coula de ma narine et je m'écria :

Dialogue de personnage
« Magni...fique. »


Dialogue de personnage
« QUOIIII ????!!!! *dit-elle* »


Dialogue de personnage
« SEEEEEINS ! *dis-je* »

Publié le 05 Mars 2015 vers 15h

Le prodige

Les ravages de l'alcool... Ou comment transformer un homme sain en une raclure vicieuse. Ils étaient là, comme larrons en foire, à épier cette pauvre demoiselle qui n'avait pourtant rien demandé.
Enfin, c'était de sa faute aussi, non . Quelle idée de se trémousser à demi nue, à cette heure si tardive ! Non ?
Gareki était trop saoul pour se rendre compte de ses gestes ou même penser de façon intelligente. Il était juste là, le nez collé sur le verre, à se perdre dans les remous de deux excroissances rebondies. Sans quitter la scène des yeux, le Junin momentanément irresponsable saisit la bouteille de son élève et s'en enfila une gorgée. Élève qui alla se cogner le front sur la fenêtre, prévenant alors la jeune femme de la présence de voyeurs. Se couvrant rapidement la chair d'un drap, elle récita divers noms d'oiseaux peu flatteurs, même cités par une voix sensuelle. Et Shin s'enfonça un peu plus, hypnotisé par les formes de la femme. Gareki lui resta plus silencieux, inerte, à la limite de l'arrêt cérébral. Ses yeux louchaient sur la poitrine de la femme qui continuait de pester, se posant une multitude de questions plus absurdes les unes que les autres, un filet de sang coulant de sa narine.

        Première question : jusqu'où un objet peut-il s'enfoncer dans un sein ? Peut-on alors s'en servir comme fourre-tout ou vide-poche ?
Seconde question : peut-on assommer quelqu'un avec ? Vu la taille de ceux du sujet d'expérimentation, on pouvait supposer que oui. Mais peut-on donc les considérer comme une arme ninja ?
Questions pertinentes pour un homme en état d'ivresse. Espérons juste qu'il ne la recroise pas une fois à jeun.

La jeune femme, probablement lassée de ce spectacle chaotique, gifla les deux pervers avant de fermer sa fenêtre et ses rideaux en ronchonnant.

Publié le 06 Mars 2015 vers 00h

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Le sensei venait de me prendre ma bouteille des mains avant que les seins qui parlent ne viennent nous chantonner les plus douces injures qu'elle put. Il ne fallut que quelques minutes pour mon cerveau afin de rester coincé sur ces deux abominables beautés qui m'hypnotisaient et faisait grandir quelque chose en moi.

Mon cerveau n'était quasiment plus irrigué tellement que mon bas-corps aspirait mon liquide vital afin de créer une croissance qui heurtait dans mon pantalon. Mais alors que la jeune femme nous engueulait, et après mes paroles, je vis son regard se baissé sur mon pantalon et voyant le mat qui se hissait elle écarquilla les yeux et cria de toutes ses forces.

Quelques secondes plus tard, une marque rouge sur la joue et la fenêtre fermée je réagissais enfin, ma virilité revenue à l'état normale, je réalisais enfin ce qui venait de se passer.

Dialogue de personnage
« Je crois que j'ai du self-contrôle à réviser M., a votre retour il va falloir reprendre l'entraînement ! »

Publié le 06 Mars 2015 vers 13h

Le prodige

La joue encore fumante du coup est rougie par ce dernier assimilé à l'alcool, Gareki se la massa brièvement avant de décider de reprendre son chemin sur au moins un mètre avant de changer d'avis et se retourner sur son élève.
Dialogue de personnage
«
C'pas a moi de t'apprendre ça... C'est... À elle. »


Il pointa la fenêtre du doigt et sentait son corps baller à gauche, puis à droite.

Dialogue de personnage
« Ou à ta mère, ta sœur, ta... chenille de compagnie.. »


Il bailla. Il commençait à fatiguer de ces conneries, c'était plus de son âge. Et puis il n'allait pas commencer à donner des cours d'éducation sexuelle ou de contrôle génital à son apprenti, tout de même ! Enfin, cette conversation sera oubliée demain matin, mais tout de même. Il n'était pas assez bourré pour parler de ça.

Publié le 06 Mars 2015 vers 14h

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Mon sensei me conseillait de prendre conseil auprès d'une tierce personne féminine à propos de mon contrôle génital, pourtant ce n'était pas ce que m'avait appris mon ancien père, il m'avait toujours dit de garder son outil bien caché sous ses vêtements et de ne le montrer qu'à un médecin ou une personne capable de m'apprendre comment le contrôler. J'avais toujours cru que mon sensei était incollable et donc qu'il était cette personne, pourtant j'apprenais qu'au contraire c'était une femme qui devait me l'apprendre.

Une mère ? Je n'en avais guère, tout autant que de sœur d'ailleurs. Et que dire d'une chenille de compagnie, personnellement j'était plutôt du type chat plutôt que chenille, mais après tout c'était chacun ses goûts et je respectais chaque personnes, plus ou moins.

Procédant par élimination je toqua à la fenêtre de la madame et lui demanda avec une tête de chaton triste :

Dialogue de personnage
« Madame, mon sensei m'a dit que je devais apprendre à utiliser ma virilité avec vous, voulez-vous bien m'aider s'il vous plaît, il brûle tellement il est fort ! »


La jeune femme, effrayée par ces paroles fut choquée et commença à engueuler mon sensei de divers noms qui n'étaient pas très plaisant, mais elle n'avait pas répondu à ma question :

Dialogue de personnage
« Alors on s'entraîne ? »

Publié le 06 Mars 2015 vers 14h

Le prodige

Ce point étant réglé, ils allaient pouvoir reprendre la route !
Ou pas. Shin préféra interpeller une nouvelle fois cette innocente jeune femme qui avait déjà pourtant largement eu sa dose de stupidité. Gareki posa lascivement sa main sur son visage devant le manque de tact de son élève. Quel idiot mais quel idiot. Et le pire c'est que c'est lui qui prenait à la place de ce morveux ! Il se faisait insulter alors que Shin reluquait à nouveau la pauvre créature qui voyait rouge.
Elle disparut un instant et revint armée d'une poêle. D'un bond, elle sortit de sa pièce et donna un premier coup sur le petit pervers qui voulait découvrir son cœur. Le tout fut bien évidemment accompagné de cris.

Dialogue de personnage
« Je vais t’entraîner moi, tu vas voir ! Tiens !*BONG* Tu le sens mon entrainement ?! *BONG* Tu le sens ?! »


Gareki grimaça et se recula lentement, discrètement, avant de trébucher sur un pavé mal centré. Il vit alors le regard foudroyant de la guerrière le traverser pendant qu'elle continuait de marteler le pauvre apprenti.

Dialogue de personnage
« Shin...! REPLI ! »


Il se releva d'un bond et fit signe à son élève tout bossu de le rejoindre.

Publié le 06 Mars 2015 vers 20h

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La jeune femme venait de sortir, toujours si peu vêtue, mais tout de même en sous-vêtement cette fois-ci, armée d'une poêle, gueulant de toute ses forces tout en m’assommant à coup puissants. Mais il n'en était rien, l'alcool influait sur mon corps et la douleur s'évaporait. Et comme l'aurait dit un célèbre philosophe, ce n'est pas les coups qui heurtent mon corps qui me font souffrir mais ceux qui entravent mon cœur. En l’occurrence c'était terrible, elle ne voulait pas de moi.

Mon sensei me proposa de battre en repli, ce que j'acceptais plus ou moins en ajoutant tout en marchant à reculons à grande vitesse :

Dialogue de personnage
« Bah ouais mais bon j'ai toujours mon problème de zizi moi ! »


Puis je me résignais tout de même à tourner le dos à cette charmante amazone à demi-nue pour entamer une course zigzagué avec mon partenaire tout en riant pour je ne sais quelle raison. Alors que nous étions de retour dans le voisinage je dis à mon sensei :

Dialogue de personnage
« La nuit ne fait que commencer ! »


Tout en pensant à tout les plans machiavéliques que nous pouvions faire dans le strict village qu'était Kumo, pourquoi pas jouer un petit tour à notre Raikage, ou encore faire des farces bien farfelues. Tant d'idées s'offraient à moi, mais est-ce que mon sensei avait la force de continuer à vivre la nuit tel un vampire.

Publié le 06 Mars 2015 vers 20h

Le prodige

Après avoir fui sur quelques rues, le duo s'arrêta et chacun put reprendre ses esprits. Gareki sentit sa tête tourner sous l'effet de la course mêlée à l'effet de l'alcool et fut même pris d'un haut-le coeur, lui léguant au passage un arrière-goût pâteux et amer dans la gorge.
Levant son index avec conviction, il chercha à planter son regard doré dans celui de son élève, un oeil à demi fermé.

Dialogue de personnage
« T'en fais pas, on va régler ton problème. Et on va le régler CE SOIR ! »


Était-ce sa vue qui se troublait ? Son doigt semblait bouger tout seul.
L'élève appuya ses propos par un « la nuit ne fait que commencer » et Gareki ne put que grandement acquiescer. Son esprit fourmillait déjà d'idées abracadabrantes.

Dialogue de personnage
« On n'a qu'à écouter le vent. Le vent à touj... toujours raison. »


Et alors qu'il parlait de ça, son fameux index tournoya sur lui-même jusqu'à indiquer une direction qui lui paraissait très convenable.

Publié le 08 Mars 2015 vers 14h

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Nous nous dirigions vers là où avait pointé le doigt de mon sensei, même si notre taux d'alcool dans le sang nous dérivait un peu de notre objectif, nous avions la force d'esprit de toujours revenir à bon bord et de se battre pour aller au point fixé.

La où le vent souffle serait notre destination, peut-être était-ce parce que nous étions bien trop bourré pour avoir le vent en face de nous sans tomber ou peut-être parce que ça permettait à nos rots et relan de s'évader loin de nos personnes. En tout cas nous allions avec le vent, les cheveux frétillants, prêt à accepter la moindre connerie qui se pointait sur nous.

Et en parlant de connerie en voilà une tient, alors que nous marchions là, il y avait ce petit bar de strip-tease dont on m'avait tant parlé, n'était-ce pas une bonne occasion de rentrer là-dedans sans passer pour un pervers en manque de façon exponentielle ? Bien sûr !

Dialogue de personnage
« J'veux aller aux p*tes ! DIRECTION LA-BAS ! »

Publié le 08 Mars 2015 vers 19h

Le prodige

Il suffit de parler d'un « problème du zizi » pour que la réponse s'offre d'elle-même ; telle est la magie détenue par l'alcool. Suivant le regard de son élève, Gareki repéra ladite réponse qui se présentait sous la forme d'un bar. Encore un bar ? 
Oui mais pas n'importe quel bar ! Le bar qui fait envier tous les hommes mariés et fidèles, le bar qui réveille les instincts primaires d'un être humain -cette règle s'applique plus encore pour une personne en état d'ivresse. Le bar où danser sur le comptoir est chose normale et où vous faire voler votre verre par une de ces fameuses danseuses qui veut vous prouver que si, c'est plus amusant de boire un shooter quand il est tenu par une paire de seins.
Gareki tapota l'épaule de son élève.

Dialogue de personnage
« Si tu veux t’entraîner, c'est l'endroit parfait ! »


Et sans plus attendre, les deux compères s'élancèrent vers le bâtiment dont on pouvait supposer l'ambiance chaleureuse d'un simple regard sur les ombres qui se déhanchaient devant les fenêtres.

Publié le 08 Mars 2015 vers 21h

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Je rentrais dans ce bar à pas si bousculé que j'en tapa le bord de la porte et m'excusa en lui faisant un bisou, ô douce bordure de porte je m'excuse. Ils nous avaient prit notre bouteille alors je m'empressa d'aller passer les commandes, un corps à soif M. !

Alors que nous étions assis à la table les femmes se trémoussaient, j'en voyais des blondes, des brunes, des rousses, hmm des rousses. Il y avait même des femmes métisses, des femmes basanées, des femmes ébènes, des femmes et encore des femmes... J'étais au paradis.

Alors que je commandais mon verre, ce dernier arriva accompagné de la folie que je m'étais commandé, le menu spécial soirée pimentée, nous avions pleins pleins de femmes pour nous et nous pouvions faire tout ce que nous voulions avec, après tout les ninjas avaient les meilleurs rabais sur tout les bars,... YEAH.

Mes yeux se plissaient et j'observais toutes ces demoiselles, petite à gros seins, grande fine, larges hanches, petit fessier bien ferme, il y avait trop de choix. Mais pourtant mon coeur allait vers cette femme à la couleur légèrement palote qui avait de jolis cheveux blonds ainsi qu'une paire de seins et des hanches à en défier toute concurrence, elle était sexuellement magnifique.

Elle versa un peu d'alcool entre sa poitrine et me secouait ces derniers sur mon visage, j'étouffais, mais j'étouffais de plaisir, entre l'alcool qui venait rassasier mon petit manque de 10 minutes sans alcool et les seins qui venaient rassasier mon ENORME manque de femmes pendant 19 ans, j'étais comblé. La jeune femme ne s'arrêtait pas et je me prêtais au jeu, je léchais tout le liquide présent sur sa délicate peau et en redemandait, mais que faisait mon sensei pendant que je criais :

Dialogue de personnage
« C'est le pied ! »

Publié le 08 Mars 2015 vers 21h