Qu'on m'apporte le petit frère

Le prodige

Le jeu des lumières, les musiques, les danses, les tenues... Tout était fait pour parfaire l'endroit et le métamorphoser en quelque chose d'enchanteur, de magique, et de stimulant sexuellement parlant. Les deux hommes furent bien accueillis par des boissons et de jolies serveuses qui réinventèrent le terme service de table. Adieu pudeur, Adieu ville des geishas et professionnalisme. Ce soir était une nuit à part.
Gareki ne savait même pas où donner de la tête. Entre les déhanchés aguicheurs à sa droite, les serveuses sur sa gauche et les morceaux de chair dénudées qui se trémoussaient et se dandinaient au rythme des notes... Le rêve de tout amateur de femmes. On aurait pu vous parler de leurs jolis minois mais Gareki ne s'arrêta que brièvement sur ce point, trop attiré par d'autres éléments qui pesaient beaucoup dans la balance du charme. Inerte depuis son entrée, il sentit des mains de chaque côté de ses épaules le tirer en arrière jusqu'à un canapé d'une matière douce dont il n'en avait rien à faire. Vautré sur cette assise, une première charmante créature se posta à sa droite, s'agrippant à son bras comme si sa vie en dépendait. Elle commença une conversation qu'il n'écouta qu'à moitié, se perdant dans ses deux arguments bien plus convaincants.
Vint alors sa commande sur un plateau, accompagné de deux obus posés volontairement sur ce même plateau et ne demandant qu'à être confondus avec le verre.

Les joues rosies par l'alcool et la chaleur émanant de son corps suite à cette situation, il ne put que bredouiller quelques mots, son visage suffisant largement à exprimer le reste de ses pensées.

Dialogue de personnage
« Euj.... Ah... Ga... »

Publié le 08 Mars 2015 vers 22h

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HRP : https://www.youtube.com/watch?v=H8-5fYHuSrM


Mon corps s'enlisait sous les courbure de cette femme et très rapidement je devins l'homme qu'elle voulait que je sois. Cette femme faisait de moi sa chose et je faisais d'elle le but de ma vie. Elle jouait avec mes désirs et mes passions comme une joueuse de go. Je ne ressentais plus rien, je ne pensais plus rien, je ne faisais que regarder cette délicate peau éclairée par les douces lueurs rosâtres de ce lieux.

Mon visage ce perdait, hanches, seins, lèvres, regard, je ne savais plus quoi voir, et puis ce regard, je n'en avais que trop peu parlé, mais il était si perçant, il pourfendait mon âme d'Homme et me transformait en l'adolescent que j'étais découvrant la femme dans son intégralité, et pour dire intégralité ici c'est bien l'intégralité, car le nombre de vêtements présents dans cette pièce était sûrement inférieur au nombre de bouteilles que j'avais commandé, et pourtant la plupart des vêtements étaient portés par moi-même et mon sensei.

Alors que cette dernière continuait de faire sa danse partout sur mon corps je détournais une seconde mon regard du corps de cette demoiselle pour voir où en était mon sensei, bien qu'il était quasiment au même point que moi, voir pire,... Mon self-contrôle par ailleurs venait d'être brisé au moins 10 fois, ma virilité était hissé comme un phare sur un littoral et avait sûrement agrandi mon caleçon par la même occasion, à vrai dire il n'avait sûrement pas été prévu pour,...

Alors que la jeune femme se déhanchait sur ma personne je demanda à deux de ses copines de faire une danse un peu plus,... chers à mon sensei. Pour ma part je mis un simple billet dans la petite ficelle qui cachait les parties de ces demoiselles et en mis un autre dans ma danseuse afin qu'elle me fasse la même commande. Bonne chance pensais-je en riant entre une bonne paire de seins.

Publié le 08 Mars 2015 vers 22h

Le prodige

HRP : https://www.youtube.com/watch?v=nes5TUT9vDE
Désolée du pavé XD


Frisson. Les yeux luisants et virevoltants d'un corps à un autre sans savoir où s'arrêter. Voyageant, glissant sur les peaux douces et lisses en imprégnant son corps tout entier d'une douce chaleur qui refusera de l'abandonner tant que cet univers tournera autour de lui. 
Vertiges ou hallucinations ? Rien de plus que l'effet d'un alcool fort à outrance voyageant dans un sang surchauffé par l'excitation. Et l'excitation était à son comble. Pendant que les mains fines et expertes des employées s'employaient à détendre le jeune homme, ce dernier avait abandonné toute idée de self contrôle. S'en démontrait un développement presque douloureux d'un membre qui ne demandait que plus d'attention, de tendresse et de mamours.
Le côté sensationnel n'était pas en reste. Le souffle saccadé dans le cou de cette ravissante personne qui avait décidé de prendre soin de lui ce soir n'était qu'une infime représentation physique de son état psychologique. Déraillé, déconnecté. Il en aurait oublié son nom, son élève aussi si celui-ci n'était pas encore dans son champ de vision. Sa curiosité le poussa même à délaisser un instant les demoiselles du regard pour se visualiser de loin l'entrainement de son élève. Il ricana en le voyant en si bonne compagnie mais fut bien vite diverti par l'arrivée de nouvelles danseuses qui offrirent le grand jeu. Et là, ce fut l'arrêt cérébral, le vrai.

Passé dans un monde parallèle, hypnotisé par le plaisir et l'envie, sa situation s'alterner entre envie bestiale et fascination pure. Un soupir rauque s'échappa de ses lèvres avant que sa main n'y amène le verre. Finie la passivité, il avait besoin de toucher, de palper, de savourer, d'embrasser, de goûter, de s'envoler... Et son vœux fut bien vite exaucé par les plus belles génies du monde des tentations. 
Entre deux moments de purs plaisirs et d'oublis, il parvint à apprendre la raison de l'arrivée de si charmantes femmes à ses côtés et décida d'agir en conséquence. Poussé par l'alcool qui continuait d'affluer dans son sang et trop influencé par l'ambiance du bâtiment, il se leva et gravit une table avant de clamer, verre en main.

Dialogue de personnage
« Aujourd'hui est un jour spécial. *il manqua de trébucher* C'est LE grand jour pour cet homme-là-bas, alors je vous demanderai de rendre ces instants inoubliables, si vous voyez ce que je veux dire ! »


Il avait au passage pointé son élève. Hors de question qu'il reste seul dans son coin pendant que lui était déjà passé du coté obscur de la force. Ce n'était qu'une question de secondes avant qu'une troupe d'amazones toutes plus dévêtues les unes que les autres vinrent encourager ou guider le jeune adulte qu'était son élève. Il se laissa retomber dans les bras -ou plutôt les seins- de ses gentes dames.

Publié le 09 Mars 2015 vers 00h

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HRP : https://www.youtube.com/watch?v=udcSH6aEwa8
Shin est mort donc je fais tout ce que je veux hein ! ON VA TOUT FAIRE DANS CE RP ! XD


Les jeunes amazones venaient de s'acculer sur mon corps maintenant à moitié enseveli de dizaines de corps aussi doux les-uns que les autres. J'adorais cette duce sensation de glissement au niveau de mes parties intimes, ces caresses dans mon cou ainsi que même les glissements de leur poitrine sous ma douce vue. Pourtant tout ce paysage allait bientôt partir en fumé.

Je commanda à côté de notre petite bibine de quoi nous envoyer bien loin dans l'outre-monde. Un petit bijou qui nous enverrait si loin que nous verrions ces femmes presque aussi nues que des vers, enlevant le peu de vêtements qu'il leur restait.

Le petit bijou arrivant, je me leva de la table, prit les quelques feuilles qu'ils nous avaient laissé roulé dans un délicieux papier brun et le glissa dans ma bouche proposant le même à mon sensei. Je prenais un briquet et allumait d'abord le sien par respect puis ensuite le mien car j'étais impatient de goûter à ça pour la première fois.

Dialogue de personnage
« SMOKE WEED EVERYDAY ! »


J'humais cette douceur dans mes poumons alors que les jeunes femmes glissaient sur mon corps et qu'une me prenait le pétard des mains afin de le mettre entre ses lèvres et de me cracher la fumée sur mes lèvres. Très sensuel comme mouvement, j'adorais. Mon cerveau devenait lourd, très lourd, je sentais le poids de mon crâne, je me laissais glisser pendant que les jeunes femmes glissaient sur moi et laisser leur fesses glisser sur les douceurs de mon visage.


Yare yare, comment allait se terminer une telle soirée de débauche.

Publié le 09 Mars 2015 vers 21h

Le prodige

Pour la première fois de sa vie, Gareki vint à se comparer au soleil. Il était là, à l'aise, et observait graviter autour de lui de nombreuses planètes et satellites ronds et attrayants. Certains venaient risquer leurs surfaces lisses et douces en l'effleurant, d'autres plus éloignés cherchaient malgré tout leur part d'attention en changeant d'axe de rotation ou en s'entrechoquant avec leurs voisins.
Que demander de plus ?

La réponse vint d'elle-même, guidée par la main de Shin et représentée par un petit cône en papier. Normalement, il aurait hésité. Normalement, il serait resté professionnel. Mais aujourd'hui, il s'en empara sans hésiter et coinça cette roulée magique entre ses lèvres. Voyant le briquet suivre, il se pencha jusqu'à atteindre la flamme et déclara les hostilités. La première vague offensive frappa son palet, sa gorge puis enfin ses poumons, les remplissant d'une fumée blanchâtre à l'arôme subtil. Un avant-gout de ce qui l'attendait.

Après quelques secondes à contenir son souffle et à s'imprégner des saveurs de la plante, il libéra ce que ces poumons contenaient en un soupir de plaisir. Sa gorge, peu habituée à ce genre agression fumigène, réagissait pas un picotement qu'il oublia bien vite grâce à une nouvelle inspiration. Le temps s'arrêta, la vie s'arrêta, plus rien ne compterait ce soir-là.

Publié le 10 Mars 2015 vers 12h

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Mes lèvres se collaient à ce doux connes de feuilles aux arômes herbeux, mes yeux éclatants, la salive lourde, me sentant tout à coup apaisé, endormi, moi-même. Mes mains glissaient sur le corps des jeunes filles et l'une vint replacer cette dernière dans sa petite culotte, au niveau de ses fesses. J'aurais dû être choqué, mais mon esprit était bien trop embrumé pour réagir explicitement. Du coup je me contenta de maintenir la taille de mon glaive.

Mes yeux se perdaient dans l'horizon, mes sens s'affolaient, mon imagination explosait. Je voyais le monde d'une nouvelle couleur, je me voyais tout à coup trop paisible pour quoi que ce soit. Et alors que je sentais que c'était le même cas pour mon sensei un petit bruit retenti et les filles finirent leur danse, laissant leur corps et leurs mains glisser sur nos parties et mon visage en guise d'au revoir. Il ne nous restait actuellement que nos yeux pour pleurer et un portefeuille vide.

Je me leva de la banquette, regarda mon sensei qui était sûrement encore sous le choc des derniers instants avec cette gente féminine des plus gracieuses et des plus rafraîchissante et je lui dis:

Dialogue de personnage
« Suite de la soirée c'est par ici, ou là, je sais plus,... »


Je me dirigeais vers l'endroit cité, les lumière avaient changé du rose à des couleurs plus traditionnelles et les filles nu s'étaient transformé en un lointain souvenir afin d'être remplacées par une large brume humide et chaude qui me rappelait la suite de la soirée avec un doux réconfort.

Allant dans les vestiaire je me déshabilla et interpella mon sensei qui ne semblait pas comprendre la suite du menu :

Dialogue de personnage
« Aller à poil ! »

Publié le 10 Mars 2015 vers 18h

Le prodige

Malheureusement, toutes les bonnes choses -et surtout les meilleures- ont une fin. Alors qu'il s'imaginait finir sa vie entouré de ses jolies créatures aux formes parfaites, ces dernières piétinèrent ses rêves de leurs talons et partirent en se trémoussant, le laissant seul avec ses envies, sa roulée et son élève. La déchéance d'un homme. Après une dernière latte, il plongea le mégot dans un fond de verre qui trainait là depuis deux bonnes heures et soupira. C'était trop tôt, trop brusque. Trop... Beau. Me regard dans le vague, Shin l'interpella pour la suite de la soirée.
Qu'allait-il se passer encore ?
D'un geste maladroit, il se leva, trébucha sur un tapis, se releva et tituba derrière son élève. Les lumières devinrent plus douces pour leurs yeux usés et dans la brume semblaient danser encore les silhouettes graciles des femmes de joies. Il faisait chaud. Il faisait lourd. Il faisait humide. Des sources chaudes, ici ? Apparemment. Marmonnant un « A vos ordres M'sieur » déplacé à son élève, Gareki entreprit de retirer son haut, ce qui lui prit bien une minute avant de différencier sa manche de son col et d'extirper sa tête. Puis suivirent le reste de ses vêtements qu'il entreposa en boule dans un casier.

Dialogue de personnage
« C'est parti ! »


Enjoué, oubliant d'ores et déjà les minutes passées en bonne compagnie, il quitta les vestiaires sans la moindre pudeur en direction des sources chaudes. Mais les sources chaudes étaient-elles une si bonne idée pour deux hommes ivres et défoncés ? Telle est la question.

Publié le 12 Mars 2015 vers 15h

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Mon sensei commença à enlever ses vêtements un à un sans pudeur, à vrai dire j'en avais fait de même, mais de ce point de vu j'arrivais facilement à observé son anatomie, et que pouvais-je dire d'un tel engin. Petit, grand, fin, boursouflé, je ne savais quoi en dire, il était tout à son image, trop simple pour être intéressant, j'étais trop bourré pour ne pas réagir alors d'un soupir je souffla un léger :

Dialogue de personnage
« Dommage,... »


Mon sensei était bel homme, bourré de cicatrice tout comme moi mais très bel homme, son corps était taillé par le sport et le combat et ses muscles saillant étaient bien plus puissants que les miens, j'étais jaloux. Me dirigeant vers la grande baignoire faîtes de pierres et d'une eau purement magnifique et brumeuse, je me dirigea automatiquement vers cette dernière. Disposant ma serviette sur ma tête afin de ne pas la mouiller, je glissais mon corps dans l'eau bouillante doucement et lisait :

Dialogue de personnage
« Se baigner après l'abus d'alcool est dangereux pour la santé. »


Dialogue de personnage
« Hmpf,...Rien a foutre. »


J'invitais mon sensei à me rejoindre d'un ou de deux coups de mains dans le genre "Aller viens, viens, on est bien bien bien,...." Donc le message était :

Dialogue de personnage
« Allez viens, on est bien ! »

Publié le 12 Mars 2015 vers 19h

Le prodige

Il lui semblait avoir entendu son élève parler sans trop entendre ce qu'il disait, répondant alors d'un « ouais, ouais » passe partout laissant entendre tout son intérêt d'homme ivre pour les paroles de Shin, et préféra contempler le lieu. S'il s'attendait à un tel décor, ici... !Typique mais classe, sobre mais élégant... Pour sur, s'il n'avait pas été si alcoolisé, il en aurait été impressionné. Mais pas là. Là, il en était à se demander pourquoi l'eau mouillait et comment pouvait-elle être si chaude. Source naturelle ou artificielle ? Il n'en savait rien et bien que ça n'avait pas d'importance, se posa cette fameuse question quelques secondes avant de s'en désintéresser pour questionner son élève sur le tableau.

Dialogue de personnage
« C'est quoi cette pancarte ? »


Se penchant légèrement, il faillit glisser du rebord et secoua énergiquement ses bras pour ne pas chuter. Une fois rétabli, il se laissa glisser lentement dans l'eau chaude non sans tirer une drôle de tête en sentant le liquide chaud parcourir sa peau. Et une fois la sensation de chaud-froid atténuée, il soupira et se détendit. L'eau au-dessus de la taille, ses mains vinrent clapoter à la surface de l'eau sans trop qu'il ne le remarque lui-même, créant de vagues remouds. Et puis... Il pensa.

Dialogue de personnage
« Pourquoi on est là, déjà ? »


Quoiqu'au fond, il s'en fichait. C'est donc à peine s'il écouta la réponse -si réponse il y avait.

Publié le 12 Mars 2015 vers 20h

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Mes yeux se perdaient dans les houles que faisait mon partenaire, posté dans l'eau, claquant l'eau avec le creux de ses mains, était-il un idiot ou tout simplement trop alcoolisé pour comprendre ses gestes, j'imaginais que cette solution était bien plus plausible, mais je n'excluais pas la seconde.

Tout à coup ce dernier me posa une question, une interrogation qui pouvait facilement être interpréter comme les résultats de l'équation que faisait alcool + stripteaseuses. Une longue soirée permettait d'oublier le début de cette dernière, mais à quoi bon oublier lorsque nous n'avons déjà que trop tristement perdu le droit de nous remémorer,...

En tout cas je répondais à sa question par une réponse que je n'écoutais pas moi-même, je le disais, mais je ne savais pas ce que je disais, sûrement était-ce intéressant, même s'il y avait plus de chance que ce ne le soit pas vu la profondeur de la question qu'avait posté mon compagnon de bain.

Plongeant peu à peu dans les douceurs de ce bain que je prenais auprès de mon sensei, je regardais celui-ci se prélasser, nu, dans cette eau qui était sûrement naturelle. Une lourde chaleur s'échappait alors que quelques bruits vinrent à arriver dans le vestiaire. C'était une jolie jeune femme ainsi que son amie, sûrement travailleuses dans le bar qui partageait les mêmes locaux vu leur centre de gravité situé environ 30 centimètres devant leur nombril. Arrivant dans le bain, ignorant moi et mon partenaires, elles discutaient, le pubis visible, sans aucune pudeur comme nous le faisions.

Ce bain était devenu plus chaud tout à coup, mais aussi un petit peu plus publique, ce qui enlevait cette touche de romantisme qu'il y avait dans mon acte d'emmener un homme avec moi, seul dans une grande marre d'eau. Les deux femmes quand à elles se fichèrent très royalement de notre présence et n'hésitèrent pas à faire ce qui leur plaisait et à nager dans le peu d'eau qu'il y avait. Personnellement je ne dirais pas où étaient fixés mes yeux par inintérêt le plus complet, mais tout ce que je peux vous dire c'est que ces deux femmes avaient l'habitudes de la présences d'hommes aussi alcoolisés que nous. Allant à l'autre bout du bains ces dernières gloussaient tout en discutant et semblaient finalement, après tout, s'intéresser à nous. Après était-ce parce qu'elles étaient déçu de la taille pas très affriolante de la dague de mon sensei, ou étaient-elles attirées par mon espadon ?! Nan j'imagine qu'elles riaient de voir deux hommes totalement torchés prenant un bain de minuit et fixant leurs attributs avec tant de fidélité dans le regard.

Dialogue de personnage
« COUCOU les mignons ! »

Publié le 12 Mars 2015 vers 21h

Le prodige

Après quelques secondes, minutes, ou peut-être heures à faire mu-muse inconsciemment avec l'eau pendant que son regard doré analysait le périmètre, Gareki sentit son corps se détendre et soupira d'aise. Ses coudes se posèrent sur le rebord du bassin tandis que le reste de sa personne s'installa plus confortablement.
Repos. Paix.
Il sentit ses paupières s'alourdir et son corps s'engourdir lentement, assommés par cette séance de relaxation. Il aurait pu s'endormir, il aurait peut-être même bien voulu. N'était-ce pas mérité ? N'avait-il pas assez veillé ? Son énergie débordante de tout à l'heure s'évaporait avec l'eau chaude du bain. Allait-il s'endormir là ? Allait-il se noyer dans cette eau pure ? Son élève serait-il assez conscient malgré l'alcool pour lui sauver la vie ? Finirait-il ses jours ici, au chaud, la tête dans l'eau ? Quand sera alors retrouvée sa carcasse vide d'âme ? Sa peau aurait-elle pris une teinte rougeâtre après tant de temps passé dans une source chaude ? Finirait-il là, comme un homard dans une casserole ?

Le destin lui envoya une bouée -enfin, une paire de bouées- pour le ramener à la surface avant qu'il ne soit trop tard. L'arrivée de deux charmantes jeune femme dans le plus simple appareil donna un véritable coup de fouet à son être tout entier. Il jeta un regard perplexe à son élève, se demandant si tout cela était prévu dans son programme mais ses yeux globuleux et voyeurs répondirent instantanément à cette question muette.
Reportant alors ses prunelles ambrées sur les deux sirènes, il remarqua que ces dernières faisaient déjà trempette sans la moindre pudeur ni même gêne. Elles gloussèrent même face aux regards insistants de ce qui du paraître deux hommes passionnés.
La discussion fut ouverte par une technique d'approche comme une autre et Gareki aurait presque voulu partir, considérant avoir été torturé suffisamment longtemps par de pareilles déesses pour une simple soirée. Mais non. Son visage ne voulait pas se tourner, ses yeux ne voulaient pas quitter ces petits poissons frétillants.
Elles gloussèrent de nouveau en se regardant.

Dialogue de personnage
« Regarde, ils sont timides ! C'est Chou.(fit la première)
Vous avez perdu votre langue ? (renchérit la deuxième) »

Publié le 14 Mars 2015 vers 12h

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Nous étions tout deux dans cette position qui nous ravissait, dans l'eau chaude où nos tourmentes s'évaporaient dans la vapeur de ce bain. Mon coeur était pourtant, lui, accroché à deux appuis, ou plutôt quatre. Nous observions tout deux les jeunes femmes et d'un coup rapide je dévisagea les deux. Il ne me suffit que de quelques secondes après leur approche afin d'ajouter à mon sensei :

Dialogue de personnage
« J'prend la rousse, *puis tout doux* C'est elle qu'a les plus gros seins. »


Je me mis, moi aussi, à nager en direction de ces demoiselles, et arrivant à porté de main de ces dernières, je m'élança sur ma cible, arrivant, blottit dans sa poitrine comme un bébé qui attendrait qu'on lui donne la becquée. Très rapidement l'une des jeunes filles, la rousse, touché par ma respiration à la fois chaude et odorante à l'intérieur de son corps commença à réplquer :

Dialogue de personnage
« Tu sautes des étapes mon chou ! Commence à me parler de toi avant de te faire plaisir. »


Dialogue de personnage
« On peut pas faire les deux en même temps ? »


Pendant ce temps là je regardais l'avancée de mon partenaire de bar, allait-il lui aussi tenter sa chance avec l'autre demoiselle qui était tout aussi belle à un point qu'il m'arrivait d'hésiter sur mon choix. GAMBATE pensais-je dans ma tête si fort que je l'eus peut-être marmonné sans faire exprès.

Publié le 14 Mars 2015 vers 13h