Obscurité ou Lumière ?


Empire Hattori, Région de Ta

Année 10 | Hiver
La lanterne du désespoir
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Quel est cet endroit où il est ? Il ne s'en souvient plus. Depuis combien de temps ? Il suffit de regarder le nombre de marques greffées à l'aide d'ongle sur le mur. Il fait à la fois frais et humide ici. Pas de soleil, donc pas de lumière. De quoi se cache-t-il ? De qui voulez-vous qu'il se cache. Il attend seulement comme à son habitude que des passants arrivent par ici. Se jetant inconsciemment dans la gueule du grand méchant loup. Une légende raconte même que tout ceux qui lui font confiance perdent leur chemin et se retrouvent dévorer à la fin. Pourquoi faire de telles horreurs ? Par simple plaisir de satisfaire les voix dans sa tête qui le pousse à agir de la sorte.
Bientôt il entend le son de bruits de pas venir non loin de sa grotte, camouflée depuis des années. Il a faim, mais pas n'importe quel faim, celle de voir pleurer et hurler sa potentielle proie qui marche toujours dans sa direction. "Si c'est une femme, amuse toi. Si c'est un homme tue le bien plus rapidement." Elles te parlent encore, jamais elles ne se taisent ?

Dialogue de personnage
« C'est à Bakedôrô d'en JuGeR... Alors TaIsEz-VoUs, mesdames. »

Pourquoi autant de voix féminine s'adressent à lui ? Il pense entendre les voix de sa mère et de ses sœurs, lui qui est le seul et unique garçon de ses vieux souvenirs...

Dialogue de personnage
« VoUs N'aViEz aUcuN DrOit sUr Bakedôrô ! Et poUrTanT VoUs m'AvIeZ aBanDonNée CoMme lEs LâCHes QuE vOuS ÊteS. »

Il rit, elles rient avec lui. Les pas s'approchant d'avantage, il est temps pour le désespéré de sortir de sa "cachette". Il jouera de son tour favoris à qui se présentera devant lui.

Publié le 19 Mars 2021 vers 08h

La lanterne du désespoir
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Tic, tac, tic, tac... le temps tourne au son des pas qui ne sont plus qu'à quelques secondes de lui. Le Minashigo sort de sa cachette, une lanterne verte à la main, vêtu d'un kimono rouge, cachant le maximum de cornes avec ses cheveux et usant d'un léger foulard camouflant ces quatre autres yeux. Il s'approche lentement de ce qui semble être deux demoiselles plutôt charmantes. Elles voyagent certainement depuis un long moment déjà et leur vigilance est peut-être moindre. Les victimes parfaites pour lui.

Dialogue de personnage
« Bien le bonsoir mesdames, vous semblez perdues. Puis-je vous être utile ? »

Et oui, lorsque Bakedôrô n'est plus seul, il peut parler distinctement sans montrer une once de folie. Du moins, tout au début d'une rencontre avec des inconnus. Extenuées les pauvres femmes acceptent l'aide que leur propose ce drôle de gentleman.

Dialogue de personnage
« Je vous propose de passer par cette grotte. Elle est liée avec le village voisin et puis je peux vous éclairer avec ma lanterne. Qu'en dites-vous ? »

Les deux jolies dames ne se doutent de rien et si elles le savaient, elle rebrousseraient leur chemin aussi vite qu'elles étaient venues. L'araignée tisse son file lentement mais doucement attirant ses futures proies dans un piège qui leur sera mortel.

Dialogue de personnage
« Formidable, je vous conseil de ne pas perdre la lumière verte de vue. »

Ils entrent tous ensemble dans cet endroit humide et froid, plusieurs chemins s'offrent à eux et seul l'homme bête connait les lieux. Après tout, c'est son chez lui, donc pas étonnant que ce lieu lui était familier.

Publié il y a moins d'un mois

La lanterne du désespoir
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Elles le suivent ou plutôt la lumière qui jaillit de sa lanterne. Elles ne se doutent pas de ce qui les attend. Le fourbe s'amuse à emprunter plusieurs fois les même chemins pour les épuiser d'avantage avant de pouvoir se jouer d'elles. L'une d'entre elle n'en peut plus après une heure de marche (à tourner en rond). Elle est rousse, les yeux bleu, de petite taille et particulièrement fine et jeune. L'autre se sent apte à continuer, mais ne veut délaisser son amie. Une jolie brune, yeux vert, un peu plus grande et plus dodue que sa camarade.
Le jeu peut donc commencer à partir de maintenant, dès lors où la jolie rousse s'assoit à même le sol. Bakedôrô continue alors de marcher sans écouter les deux femmes. Aussitôt les insultes fusent lorsque celui-ci s'éloigne emprunter un chemin à droite et éteint sa lanterne pour ne plus être repérer.
La panique monte chez les deux jeunes demoiselles et la plus téméraire d'entre elle prend le risque de s'éloigner de sa comparse. NaÏvEs... Les voix dans la tête du Minashigo rient de voir la situation se dégrader pour les pauvres proies. C'est la jolie brune qui vient se jeter dans la gueule de l'homme-bête. Il la laisse s'approcher et passer par là où lui passait juste avant. Ce dernier effectue quelques mudras avant de saisir la pauvre femme et de l'éclater contre les parois rocheuses de la grotte. Ces gestes bruyants et disgracieux ne rassurent pas du moins du monde l'autre femme assise encore à l'autre extrémité du couloir voisin.
Du sang... partout... Il glousse en prime du boucan qu'il fait se rapprochant à pas lourd de la prochaine victime. Le fait de s'agiter autant cela lui retirait son foulard ne masquant plus sa véritable nature.

Dialogue de personnage
« MeS sOeUrS, jE l'Ai FaIt PoUr VoUs ! »

Lâchant un rire cristallin. La femme rousse le regarde, ses yeux emplit de terreurs, de détresses... de désespoir. Sa victime précédente était morte bien trop rapidement, la tête éclatée. Bakedôrô aime prendre du bon temps en se divertissant.

Dialogue de personnage
« n'AiE pAs PeUr, Je Ne Te FeRaIs AuCuN mAl, AH AH AH AH AH AH ! »

Le rire hystérique fait fuir immédiatement la jeune demoiselle.

Publié il y a moins d'un mois

La lanterne du désespoir
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Bakedôrô s'amuse à faire tourner en rond sa proie qui tente de s'échapper de son trou à rat. Malheureuse, elle ne trouve pas la sortie, pleurant et suppliant de ne pas se faire tuer. Mais maintenant qu'elle connait le petit jeu macabre de Minashigo, celui-ci ne peut la laisser partir. Pourquoi ? Elle donnerait l'alerte sans hésitation et cela serait fort embêtant, car l'homme-bête sait très que ce serait des ninjas qu'il devrait accueillir. L'animal fait exprès de conduire sa future morte dans un cul de sac. MaGnIfIqUe ! Ses pleurs, cette tristesse, cette torture qu'il lui procure. Il tremble d'excitation, de savoir ce qu'il lui peut lui faire subir d'avance ! Quel être infâme, abjecte ne méritant que la mort. Tout d'abord, son bras devient à nouveau "normal", puis il s'avance tel l'incube qu'il est jusqu'à la jolie rouquine. Il caresse ses longs cheveux avant de voir son regard de ses six yeux. Il hume son parfum de jasmin avant de lui embrasser le front.

Dialogue de personnage
« Je ne te fErAiS pas de mal JoLiE chose. »

Bakedôrô tente de rester le plus normal possible dévorant sa future victime des yeux. Elle était parfaite, parfaite pour une mort LeNtE et AgOnIsAnTe... Il s'approche d'avantage, écrasant de son poids la pauvre demoiselle prise dans ses bras. Elle tente de partir en se débattant.

Dialogue de personnage
« Je vois... Toi et moi ce n'est pas possible, pAs VrAi ? »

Il l'attrape son bras avant de le lui tordre, puis la saisit par la taille. Horrifiée, grimaçante de douleurs et suppliante encore, voilà comment s'occuper de sa femme selon les dires de son père autrefois. Dans son élan de psycho délire, il allonge la femme rousse par la force l'écrasant une nouvelle fois de tout son poids. Sa respiration est en détresse, elle cherche de l'air, mais ne peut réellement mourir étouffer. Il n'est pas assez lourd, il la fait juste souffrir encore plus. Lentement il s'amuse à glisser sa langue de dessous des lèvres de la pauvre rouquine jusqu'au début de sa poitrine.

Dialogue de personnage
« TeLlEmEnT mAgNiFiQuE ! »

C'est l'heure du repas. Seules ses sœurs savent ô combien de temps il n'avait plus manger. Elles rient, encore et toujours en le poussant à littéralement dévorer sa proie. Il pète totalement et se met à la bouffer vivante sans aucune pitié. La jeune femme hurle, tente de se débattre encore et encore, mais rien ne le fait bouger et même ronchonner. La douleur de cette dernière la fait s'évanouir tant elle ne peut plus rien supporter et succombe quelques heures plus tard en se vidant entièrement de son sang. Il ne reste plus que la moitié, du moins, le haut de son corps, ses bras et sa tête. Les yeux roulées vers le haut, le visage crispé de douleurs et de désespoir.

Dialogue de personnage
« Qu'ElLe FeMmE mErVeIlLeUsE... Hi hi hi hi hi ~ »

Publié il y a moins d'un mois