Bakedôrô s'amuse à faire tourner en rond sa proie qui tente de s'échapper de son trou à rat. Malheureuse, elle ne trouve pas la sortie, pleurant et suppliant de ne pas se faire tuer. Mais maintenant qu'elle connait le petit jeu macabre de Minashigo, celui-ci ne peut la laisser partir. Pourquoi ? Elle donnerait l'alerte sans hésitation et cela serait fort embêtant, car l'homme-bête sait très que ce serait des ninjas qu'il devrait accueillir. L'animal fait exprès de conduire sa future morte dans un cul de sac. MaGnIfIqUe ! Ses pleurs, cette tristesse, cette torture qu'il lui procure. Il tremble d'excitation, de savoir ce qu'il lui peut lui faire subir d'avance ! Quel être infâme, abjecte ne méritant que la mort. Tout d'abord, son bras devient à nouveau "normal", puis il s'avance tel l'incube qu'il est jusqu'à la jolie rouquine. Il caresse ses longs cheveux avant de voir son regard de ses six yeux. Il hume son parfum de jasmin avant de lui embrasser le front.
« Je ne te fErAiS pas de mal JoLiE chose. »
Bakedôrô tente de rester le plus normal possible dévorant sa future victime des yeux. Elle était parfaite, parfaite pour une mort LeNtE et AgOnIsAnTe... Il s'approche d'avantage, écrasant de son poids la pauvre demoiselle prise dans ses bras. Elle tente de partir en se débattant.
« Je vois... Toi et moi ce n'est pas possible, pAs VrAi ? »
Il l'attrape son bras avant de le lui tordre, puis la saisit par la taille. Horrifiée, grimaçante de douleurs et suppliante encore, voilà comment s'occuper de sa femme selon les dires de son père autrefois. Dans son élan de psycho délire, il allonge la femme rousse par la force l'écrasant une nouvelle fois de tout son poids. Sa respiration est en détresse, elle cherche de l'air, mais ne peut réellement mourir étouffer. Il n'est pas assez lourd, il la fait juste souffrir encore plus. Lentement il s'amuse à glisser sa langue de dessous des lèvres de la pauvre rouquine jusqu'au début de sa poitrine.
« TeLlEmEnT mAgNiFiQuE ! »
C'est l'heure du repas. Seules ses sœurs savent ô combien de temps il n'avait plus manger. Elles rient, encore et toujours en le poussant à littéralement dévorer sa proie. Il pète totalement et se met à la bouffer vivante sans aucune pitié. La jeune femme hurle, tente de se débattre encore et encore, mais rien ne le fait bouger et même ronchonner. La douleur de cette dernière la fait s'évanouir tant elle ne peut plus rien supporter et succombe quelques heures plus tard en se vidant entièrement de son sang. Il ne reste plus que la moitié, du moins, le haut de son corps, ses bras et sa tête. Les yeux roulées vers le haut, le visage crispé de douleurs et de désespoir.
« Qu'ElLe FeMmE mErVeIlLeUsE... Hi hi hi hi hi ~ »