Eh oh ! Du bateau ! [Ouvert à tous]

Qu'est-ce que tu appréciais te détendre dans ce lieu calme et paisible... Un sentiment de bien être où tu te délectais de chaque seconde passée dans l'eau chaude des bains publics. Tu étais là, petite, dans ton coin et loin des autres femmes. Tu voulais un peu ta tranquillité après avoir donner de nombreux coups dans les troncs d'arbre pour perfectionner ton art au combat. Dos contre les pierres, l'angle de vue sur la populace du osen, tu inspirais et fermais les yeux, puis soupirais bien longuement.

Ton regard se portait vers le ciel et tu ne peux t'empêcher de dire faiblement.


Tu fixais le magnifique ciel azur où le soleil partageais ses quelques rayons à peine chaud, car le soir tombait petit à petit laissant place doucement au monde nocturne. Tu ne bougeais pas d'un pousse pour autant et continuais à te prélasser dans les bains. Qui sait, avec le temps tu finiras par t'en lasser et tu sortiras de là ? Pour l'instant ce ne fit pas le cas et te voilà à plonger ton corps d'avantage dans l'eau très chaude. Le niveau de l'eau arrivait en dessous de ton nez, tes cheveux détachées et les jambes à peine fléchit. Tu scrutais d'avantage le comportement des autres dames et te demandais si tu devais en faire de même ?

Tu venais de sortir la tête de l'eau après avoir tenu trente secondes en apné. La lassitude te poussait à essayer de pousser tes capacités de façon étrange. Les femmes qui restaient dans le bain te devisageaient comme si tu étais étrangère au village. À vrai dire, tu t'en moquais bien et tu te dirigeais comme si de rien était vers la sortie. Selon toi, il ne fallait pas abuser des bonnes choses. Souriante tu t'adresses brièvement aux autres dames.


Ton regard ne se portait pas vers elles, mais vers la sortie. Tu prenais ta serviette et t'enroulait dedans avant de prendre tes affaires et de te diriger vers une cabine pour te changer. Tu te sentais bien mieux avec des vêtements que sens.


Tu n'y mettais pas non plus toute ta volonté et te contentais d'être polie. Tu le faisais uniquement par politesse, rien de plus. Puis, tu sortais de là pour te diriger ailleurs. En vrai, ton ventre commençait à crier famine et tu te demandais bien ce que tu allais manger ce soir.

Tu rêvais un peu, tu étais ailleurs, l'air réfléchit, car tu n'avais pas encore décidé de l'endroit où tu allais.

Ikazuki venait de finir sa session journalière au terrain d'entrainement du village et se dirigeait vers les bains dans la perspective de se détendre .
Une fois arrivé dans au bains il alla dans les vestiaires et se déshabilla ,il mit une serviette autour de sa taille.
Une fois entré dans l'eau le rouquin laissa échapper un soupire de plaisir,les sources chaudes étaient réellement le meilleur endroit pour se détendre ;cette endroit lui rappelait les moments passés avec ses amis ;les rires ,les gaffes et les tentatives de voyurisme de ses amis qui se finissaient bien souvent en bain de sang.
pensa t-il en plongeant dans l'eau ne laissant que que la partie supérieure de sa tête dépasser de l'eau.
pensa t-il en fermant les yeux.
Il n'attirait réellement que le malheur autour de lui ;tout ceux l'approchait finissaient par disparaître .Il laissa échapper cette fois-ci un soupir de lassitude ,il avait envie d'en finir chaque jour mais il se le refusait à chaque fois , après tout qui serait-il en prononçant des discours interminables sur le devoir et les abandonner lui-même . Alors il continuera il continuera à se battre et à perdre ses proches....
Il sortit plusieurs minutes plus tard et alla se rhabiller,quand il sortit il croisa une fille dans le ventre gargouillait.

Il fit son sourire emblématique. il se mit à la détaillé discrètement comme il le faisait d'habitude avec tout les gens qu'ils rencontraient avant de dire doucement.
dit il amusé.

Proposa t-il poliment

Une belle nuit étoilée pour s’y promener en songeant à des rêves abstrait que je rendrais concret de par ma patience et m’a persévérance. Voilà qu’une drôle d’onirie qui me mène de mon quartier à la place centrale. J’avoue que la visite de ce bouffon m’avait quelque peu perturbé dans le déroulement de ma journée. Je vais devoir régler ce problème sans pour autant en avertir père. Il a bien d’autre souci à gérer pour le moment, autant le décharger un peu de tout les fardeau qu’il doit porter sur ces épaules. Tiens, je me demande d’ailleurs qu’est devenu mon petit frère de sodomite. Je n’entends plus parler de lui et ni de ce qu’il fait. Il a peut être quitter le village, une très bonne chose pour Konoha et notre famille.

Il y a peu de monde sur la place alors qu’il est encore assez tôt ou tard selon sa propre perception du temps. Bref, je veux me trouver un endroit tranquille afin de réfléchir et de manger un plat raffiné afin d’agiter les papilles gustatives. Il faut chercher et bien chercher, après je sortirais aux abords de Konoha pour y faire quelques trouvailles peut être pour ma collection.

Je continue à vagabonder quand je vois une jeune fille que je reconnais, une Chikara et je la vois avec l’un de ces roux horrible que j’ai juste envie de saigner comme un porc très le gêner pour qu’il agonise longuement. Je chasse ces sales idées et je m’avance vers eux le sourire aux lèvres. En l’approchant, j’avais entendu le mot manger… une bonne aubaine pour les accaparer un peu de temps.



Je dis cela en les regardant d’un grand sourire.



Tout sonne faux dans ma gentillesse, on ne me connaît que comme ça, le parfait fils de Tensai responsable et loyal.

        En terrasse, cibiche en lèvre, produit de Dionysos en main, ton regard s'étalait sur toute la gueuserie qui t'entourait.



        Le loufiat qui fut ici à cause de l'impécuniosité qu'il subissait, excuse en bouche s'en alla remplir ta requête. Qu'il fut bon de se faire servir après une journée comme celle-ci pensas tu.



        Était-ce bien ton interlocuteur de ce matin qui se reflétait sur tes iris ? Escorté de deux jeunes gens, le bipède a la chevelure flavescente arborait un sourire bien hypocrite que tu n'avais guère eu chance d'entrevoir auparavant.

        Peut-être que la gourgandine à ses côtés en fut la cause ? Sacré Jundo alors...

Ikazuki était une personne facile à aborder et à parler et avait la mauvaise habitude d'accorder sa confiance trop vite ,mais quand cet homme ;un chikara d'après ce qu'il voyait l'avait approché un frisson parcourut son échine et il s'était instinctivement mis en position de défense .Cette homme n'était pas nette ,son sourire lui rappelait ses sourires forcés à lui sauf que cet homme lui,faisait froid dans le dos.
Ikazuki le détailla une seconde; il leur avait proposé de venir diner avec lui,ça serait impoli de refuser mais en même temps quelque chose lui disait qu'il fallait refuser et prendre ses jambes à son cou.
Non ! Il était Ikazuki Uzumaki il n'avait peur de rien ,et de plus c'était un ninja de konoha ,que pouvait-il lui arriver en sa compagnie.

Il désigna la jeune femme à ses côté .

Le rouge sourit et lui tendit la main.

Dit-il poliment.

Alors que tu t'apprêtais à aller te restaurer un drôle de rouquin t'adressait la parole et te fit remarquer le gargouullement de ton estomac. Tu étais un peu déboussolée et gênée que quelqu'un t'aborde de cette façon. Gentiment, tu lui renvois sa politesse, il ne te paraissait pas bien méchant.


Tu n'avais pas le temps de refuser l'invitation qu'un autre drôle de phénomène vous surprend tout les deux...


Tu restais sans voix face à l'entrée théâtral du nouveau gugus. Il vous proposait à tout les deux de venir manger avec lui, mais encore une fois l'envie ne t'en disait rien... Pour la seconde fois tu t'appretais à exprimer ton ressenti, mais le roux te devançant acceptant et parlant pour toi.

Il se présentait à toi, alors que tu ne demandais rien. Quelle situation embarrassante ! Ta sociopathie t'obligeait à imiter les autres pour t'intégrer et avoir un semblant de vie sociale.


Et tu lui rendais sa poignée de main un peu trop fortement. Ce n'était pas volontaire, tu avais tendance à ne pas comprendre que tous ne possédait pas une force identique à la tienne.

Enfin, maintenant te voilà prise au piège à devoir accompagner ces deux-là... Pour parler et échanger de tout et de rien... autour d'un repas que tu aurais aimé prendre seule. La seule réflexion qui te vint à l'esprit était celle que les habitants masculins de ce village devaient être misogynes pour ne pas te laisser t'exprimer depuis le début. Imitant les deux hommes, tu marchais légèrement en retrait dans l'espoir d'avoir une ouverture pour t'échapper et fuir leur compagnie.

Ikazuki posa son regard sur la blonde à ses côté et remarqua son inconfort dans un groupe ,il l'avait senti au moment où elle lui avait serrer la main un tout petit peu trop fort . Il eut envie de la rassurer mais il n'était pas très fort dans le domaine de la compréhension des sentiments des autre et puis il n'était pas psychologue non plus il comprendra jamais tout le monde .
Oh tant pis ! Il verra bien ce qui se passera ,alors faisant comme à son habitude il passa son bras autour de l'épaule de la blonde et fit un sourire sincère.
plaisanta le rouquin en riant doucement .
Il reprit son sérieux avant de reporter son regard sur la blonde à ses côté.

Tu ne savais pas trop comment réagir à ce qui ressemblait à une blague provenant de cet inconnu.




Te forçais-tu à rire. Comment réagirait les autres à ta place ? Est-ce qu'ils auraient un fou rire ? Est-ce qu'ils ne rigoleraient pas, tout simplement ? Difficile de savoir.


Surjouais-tu pour accentuer et essayer d'être à l'aise en présence du duo. Manque de bol pour toi, tu pouvais dire adieu à ton échappatoire au moment où le grand Uzumaki passait sa main sur ton épaule. Ce n'était pas de ta petite taille que tu pouvais te défaire facilement de cette emprise. Alors, tu continuais à jouer le jeu.


Seul ton estomac criait famine par la suite. Tu avais les crocs, mais tu n'étais pas capable de te décider ce que tu voulais béqueter.

Ikazulki posa ses yeux sur la petite blonde à ses côté et eut un petit sourire . Cette fille n'était vraiment pas douée pour les intérractions avec d'autre personnes ,cela se voyait comme le nez au milieu de la figure ;son rire un peu trop forcé et le malaise qu'il sentait émaner d'elle à chaque seconde.
Il eut un petit rire ;et si il s'amusait un peu avec elle ? La "décoinsé" un peu afin qu'elle ait plus de facilité avec les autres quand elle voudra ne pas se retrouver toute seule en période de fête ;le moment de déprime assuré . Il le vivait à chaque fois.
Il rapprocha son visage de la petite blonde et lui sourit doucement.

Il écarta légèrement son visage et regarda droit devant lui .
demanda t-il en se remémorant ses souvenirs d'enfance.

Tandis que le grand blond qui vous accompagnait continuer à discuter dans le vent depuis le début, tu écoutais attentivement ton camarde te poser des questions en plus d'approcher son visage du tiens.


Haussais-tu les épaules. Après s'il connaissait un endroit sympa loin de cet étrange Chikara... L'Uzumaki s'écarta de toi et cela te soulageais bien, le contact quelque qu'il soit n'était pas fait pour toi.


Ou du moins, tu restais le plus loin de la foule quand tes "amis" t'obligeaient à les suivre dans ce genre de lieu.


Alors, pour ne pas être entendu par l'autre homme, tu pointais ton doigt dans sa direction et tu chuchotais au roux.

Ikazuki haussa un sourcil mais c'était tout à fait logique ,aucun chikara n'est jamais venu au festival du quartier Uzumaki ,ils ne savaient pas ce qu'ils rataient ;la musique , les attractions, l'atmosphère agréable et détendue ,la nourriture,les feux d'artifice et surtout le kagura que présentait chaque année une famille du clan . Il se souvenait de la prestation de son père la nuit précédant son départ . Il eut un petit sourire mi-triste mi-heureux à ce souvenir.
Il posa ensuite son regard sur la petite blonde et lui sourit.
il eut un sourire moqueur avant de continuer.dit-il en ébouriffant les cheveux de la blonde .
Il fronça les sourcils quand la blonde désigna le blond devant eux qui il devait l'admettre a une quantité monstrueuse de salive pour pouvoir parler autant .blagua le roux en se retenant de pouffer de rire.
Il eut soudainement une idée et eut un sourire malicieux en regardant la blonde.
dit-il en prenant le blonde dns ses bras ,et sans attendre sauta sur un toit . Il se mit ensuite à sauter de toit en toit .hurlait-il oubliant presque les habitants qui le regardait.
Il arrivèrent quelques minutes plus tard devant le restaurant et il laissa la blonde puis il entra dans le restaurant invitant la blonde à le suivre.