Deux marchands à Tsuyo

Soupira le Kitto face au manque de réaction de son partenaire. Enfaite il pensait même que ce dernier s'entichait encore plus de la "Merveille de Tsuyo" pour reprendre ces mots plus tôt dans la soirée. Si c'était une femme ordinaire, il aurait certainement laisser son collègue. Mais les konoha-jin avait affaire a une mercenaire. Et Ryu ne semblait pas disposer de tout ces moyen intellectuel maintenant.

L'extraction n'était pas non plus une option. La mission n'était pas terminer au sein de la citadelle. Éliminer Miyuka attirerait sans doute l'attention en plus de griller sa couverture pour une simple suspicion? Kenshin pouvait t'il compromettre la mission ainsi? Il n'avait pas encore souffler mots. Mais qui sait ce qu'il se passerait une fois seul? Si elle était bien une menace, il ne pouvait pas fermer les yeux. Abandonner un collègue n'était pas envisageable dans de tel condition et, Anbu oblige, devrais sans doute faire en conséquence.



Essayant de paraître plus enjoué, il emboîtant le pas au deux tourtereau. Sous ses trait détendu. Kamel essayait de terminer dans quel traquenard il se jetait.



Noyer le poisson et sautait dans le plat en même temps. Cette visite a Tsuyo risquait de le marquer plus longtemps que prévu.

Malgré sa réticence évidente, Kazuma mordit à l’hameçon lui aussi. Bien, il ne me restais plus qu’à les conduire chez moi et… le destin se chargera du reste, si on peut dire. Je me contentais d’un énième rire après la réponse du dit marchand et lui répondis enjouée :



Pendant plusieurs minutes, nous traversions un à un les quartiers de Tsuyo pour nous retrouver un lieu rempli de maisons d’apparences plutôt luxueuses. De grands jardins et une architecture qui paraissait légèrement plus moderne que les autres bâtiments de la ville. Je ne tardais pas à entrer dans l’enceinte de l’une d’entre elles et invitait les deux hommes à me suivre. Difficile pour eux, du moins surtout pour Kazuma, de croire que je vivais vraiment ici, un mercenaire n’avait certainement pas l’opportunité de se payer un endroit pareil.



Leur dis-je avec un grand sourire alors que j’ouvrais la porte d’entrée. Je les laissais pénétrer à l’intérieur avant de les suivre à mon tour. La décoration ne dépaysé pas avec le reste de l’habitation, un bel endroit, idéal pour élever une famille, mais sûrement pas la demeure d’une quelconque mercenaire. Je pris cette fois le pas en entrant dans le salon, je jetais d’ailleurs un coup d’œil rapide à l’étage tandis que nous passions devant l’escalier et y aperçu de la lumière, ce que je ne notifia pas sur le moment et tenta de distraire mes invités en les invitant à s’asseoir à la table du salon.

Sourit Kenshin aux mots de son compagnon de route, sans se douter du pourquoi réel de son action. Mais quand même. Partager une bonne bouteille en la plus charmante des compagnies, cela ne se refusait pas? Et Kenshin suivait ensuite Miyuka, ou plutôt restait à ses côtés en lui tenant la main, profitant de cette balade au clair de lune, pour finalement déboucher sur ce qui semblait être un quartier riche.



Lâcha t’il avec un regard admiratif à l’intention de la Uzumaki et toujours ce sourire un peu béa à chaque fois que son regard se posait sur elle. Et en entrant dans une des habitations, il ne manquait pas de noter la touche de richesse de l’endroit avec une moue appréciative. Cela avant de s’asseoir gentiment à la table à côté de Miyuka bien sûr dont il ne détachait que rarement son regard.



Dit Watanabe avec un large sourire. Et en effet, il n’avait vu qu’un seul verre à l’auberge pour accompagner son repas, ni plus ni moins. Un marchand qui s’enivrait en sachant qu’il se levait de bonne heure le lendemain cela n’aurait pas été sérieux!

Le changement de milieu était difficilement ignorables. Surtout que l'auberges choisis par Kotaro n'était pas des plus luxueuse. Il avait choisis un lieu proches du marché et des quartier pauvre pour le coté pratique de leur couverture. Ainsi que de l'obtention d'information sur leurs indique. Hors, les voila déambulant dans un quartier bien plus aisé de la citadelles de pierres. Bien que la structure des bâtiment ne changeait que peu. C'était surtout la taille et l'entretien des bâtisse qui trahissait ce besoin de luxe en plus des décoration.



Au vue du comportement de Watanabe, il était évident que ce dernier ne travaillerais que contre une belle rémunération. Ou si le client était une charmante demoiselle en détresse évidement. Difficile de savoir s'il jouait un rôle ou était sérieux. Même pour le Kitto, il ne pouvait être sur. Bien qu'il commençait cependant à ce doutait du personnage avec lequel ils faisaient équipes maintenant.

La demeures par contre le fît tiquer d'autant plus. Comment pouvait t'elle se payer ce genre d'habitat? S'il avait jouait le jeu du marchand crédule capable de penser que le mercenariat était lucratif à ce point. Il n'en pensait mots. Son instinct lui criait qu'il sautait littéralement dans un piège. Ryû était sous influence d'une quelconque façon et il ne voyait pas de moyen de le libérer sans griller sa couverture. Encore et toujours, il allait devoir être patient.

L'intérieur ne contrastait pas avec l'extérieur. Une maison plutôt luxueuse qui semblait avoir était conçus pour une familles. En tout cas, elle n'aurait aucun mal à accomplir cela. Par contre, tu n'était pas Kenshin qui n'avait d'yeux que pour sa merveille de Tsuyo. Tu lançait des regard un peu partout le plus discrètement que tu pouvait. Et ne manqua pas de noté une faible lueur provenant de l'étage. Cependant, l'Uzumaki sembla vouloir vous end détourner a raison?



Alors que vous vous installer dans le salon, Watanabe rappela qu'il ne voulait pas trop boire pour le marché de demain. La bonne excuse. Il souhaitait peut-être pas boire car il avait d'autre projet en tête se fripons.



Sans atteindre, tu pris de servir la jeune femmes ainsi que ta propre personne. Tu n'avait pas encore but et connaissait ta limite. Sans trop forcer, il y avait moyen de faire parler cette kunoichi mercenaire. Tu l'avait noté à son arrivé. Elle avait déjà consommer une certaine quantité et en jouant sur cela. Peut-être espérait t'il la percer à jour.



Trinquant avec cette dernière, il enchaina rapidement après quelque gorgé de la boisson.



Il avait montrait un certain intérêt pour le dessin un peu plus tôt et supposer que son choix n'éveillerait aucun soupçon. Après tout, il pouvait encore lui tiré le portrait et autant faire ça dans un décor adapté. une occasion d'en apprendre plus sur ce qu'elle évitait de leurs dire.

J’avais l’avantage de tenir plutôt bien l’alcool, même si comme je l’avais mentionné, celui de Tsuyo était bien moins fort que ce que j’avais l’habitude de boire. Avec celui-ci, j’allais approcher de mon cinquième ou sixième verre, difficile de savoir, tout ce que je pouvais dire c’est que j’avais chaud. Non seulement à cause de l’alcool, mais aussi à cause de l’excitation qui montait en moi. Souriante, je répondis alors calmement à Kazuma :



Difficilement imaginable que ce soit le cas après tout, et à l’exception de Watanabe qui avait l’esprit ailleurs, je n’étais pas étonnée que son camarade vienne me poser la question, il y avait de quoi avoir des doutes. Je répondis alors avec un sourire sur mon visage.



Je ne manquais pas de rire à nouveau. J’avais la sensation que la suite des évènements allait être intéressante, si toutefois j’avais vu juste au sujet de nos deux marchands. Nous n’avions pas été particulièrement discrets à notre arrivée ici, c’était un moyen de signaler mon retour à mon… colocataire. Alors que je buvais le verre qui m’avait été gentiment offert, nous ne tardions pas à entendre des bruits de pas provenant de l’escalier…

Quelques minutes plus tôt tu avais entendu de nombreux bruits provenant de l’étage du dessous alors que tu étais tranquillement en train de méditer. Tu te dis que c’était sans nul doute Miyuka qui avait trouvé le moyen d’encore amener l’un de ses collègues de boisson jusqu’à ce qui était aujourd’hui chez toi. Tu l’avais pourtant prévenue, mais la Uzumaki se montrait souvent… négligente. C’est pourquoi, alors même que tu commençais à descendre les marches, tu commenças à dire :



Mais ta phrase fut coupée lorsque ton regard se porta sur ses deux invités, sur l’un des deux en particulier. Tu poussas ce qui ressemblait à un soupir avant de continuer à descendre calmement l’escalier. Sans regarder vers la Uzumaki, tu lui dis :



Tu finis de descendre les quelques marches et te retrouva à quelques pas du petit groupe. Tes yeux se posèrent sur l’un d’eux, l’échange de regard dura quelques bonnes secondes. Tu avais reconnu cet homme en dépit de sa perruque ridicule, et tu n’avais aucun doute que lui aussi, ne lâchant pas ton sérieux, tu lui dis alors :



De l’autre côté de la pièce, la Uzumaki se mit à entrer dans un véritable fou-rire qui dénotait sérieusement avec l’ambiance qui s’était installée dès l’instant où tu arrivas dans la pièce. Visiblement plus qu'amusée, elle ne manqua pas d’ajouter :

Répondait joyeusement Kenshin tant à Miyuka qu’à Kotaro. Déjà parce que tout amoureux qu’il était, il tenait à rester sobre. Essentiellement pour « l'après soirée » qui se profilait et qui promettait d’être délicieuse. Comment résister à ces petits yeux si adorables et ce charmant sourire après tout? Elle était si belle… tout à son observation des courbes parfaites du visage de Miyuka, Watanabe ne faisait pas grand cas de la conversation. Si ce n’est quand elle parla de son employeur. Bon. Il avait très bien compris qu’ils se trouvaient actuellement chez lui, puisqu’elle n’avait pas cherché à tenir cette information secrète. Mais après tout peut être que son employeur n’était autre que la personne qu’ils recherchaient? Leur contact? Voilà qui serait une coïncidence des plus formidables!



Répondait il toujours souriant. Mais quand il vit descendre le dit employeur, son regard se posa d’abord sur Kyoko puis sur Miyuka. Alors ça il l’avait pas vu venir… bon… ne paniquons pas…. Ils étaient de simples marchands. Il se leva donc pour saluer en inclinant le buste.



Mais elle semblait bien plus s’intéresser à son camarade. Kenshin avait pourtant beaucoup plus de charme que lui enfin! Bien qu’il n’avait d’yeux que pour Miyuka. Ce fut vraiment quand il entendit le nom de Kotaro prononcé qu’il reprit un peu ses esprits. Elle l’avait reconnue… la situation devenait complexe… « réfléchit mon vieux Kenshin! Réfléchit! Miyuka est si jolie…non! Euh… ah! Idée! »





Dit il d’un ton léger et détendu. C’était la seule idée qu’il avait trouvé pour ne pas plus griller leur couverture qu’elle ne l’était déjà…



Il se mit à rire. Parce qu’en fait ils étaient précisément assit chez elle à boire un verre sans même l’y inviter. C’était assez osé de sa part, mais ça pourrait peut être désamorcer une situation. Et malgré son apparente légèreté, Kenshin avait les muscles tendus prêt à bondir et dégainer son sabre en cas de besoin.

Tout allais s'enchainer très vite. Déjà que la tournure de la soirée ne plaisait pas au Kitto. Qui cependant s'en accommodait afin de conserver au mieux leurs couverture. Il était maintenant bien difficile de dire si cette dernière tenait encore la route au yeux de l'Uzumaki. Cette maison ne lui appartenais donc pas à elle mais plus à son employeur qui ne tarderais pas à les rejoindre. Ce qui semblait être le cas au vue des bruit de pas venant de l'escalier, aperçus un peu plus tôt. Le Kitto n'y porta pas immédiatement son attention bien qu'il jeta un bref regard.

Quel surprise de constater que l'employeur. Enfin, l'employeuse de l'Uzumaki plutôt, était une personne qu'il reconnu immédiatement. Le duo de marchant n'avait finalement pas eu une excellente chance pour le coup. Kitto Kyoko faisait donc son entré tout en l'appelant par son prénom. Chose qui ne manqua pas de le surprendre.



Alors que Miyuka éclatait de rire pour une obscure raison, c'est Kenshin qui prit les devant pour aller à la rencontre de la nukenin de Konoha. Il n'était pas si obnubiler par la belle rousse finalement.



Restant assis, il fît également signe à la nouvelle arrivante de ce joindre à eux tout comme Kenshin l'invitait.



Un marchand avec un sosie ninja serait le comble. Il pouvait ce faire des ennemi sans même le savoir.



Le choix de parler de Konoha n'était pas anodin. Chiba était proche de la frontière de la république et il n'y avait pas de raison de ne pas commercer avec le village militarisé. Bien que la forêt pouvait en dissuader plus d'un en plus des bandit qui proliférait. Enfin, Miyuka avait biens sous-entendu que le sinformation provenant de cette région pouvait l'intéresser plus que nos simple produit marchand. Autant détourner son attention sur ce sujet là.

Un sosie ? Oh, c’était peu banal comme excuse. Je voyais bien dans le regard de la Kitto qu’elle était plus que sceptique. De mon côté, je cessais de rire un peu tandis que je m’approchais lentement de Watanabe. Profitant que l’homme continue de jouer son rôle, je joue le mien et me montre même à nouveau plutôt tactile à son égard. Et tandis que je suis à quelques centimètres de lui, il ne tarderait pas à sentir le kunaï dans le bas de son dos.



Une chance pour lui aujourd’hui, la Kitto était perspicace et me connaissait déjà plutôt bien. Je n’aimais pas tourner autour du pot et des menaces étaient généralement suffisante pour faire cracher la vérité, et ce même à un shinobi entraîné si ce dernier se trouvait dans une situation délicate. Malheureusement, ma camarade avait visiblement des intentions bien différentes à leur égard.



Le léger rictus sur mon visage disparaît peu à peu tandis que je m’écarte du dit Watanabe pour me retrouver non loin de la Kitto. Sans cacher ma déception, je dis alors :



Leur petite histoire était bien ficelée, je dois bien l’admettre. J’étais tombée dedans pendant un long moment, mais une couverture est toujours difficile à jouer lorsque l’on commence à répondre à trop de questions. N’importe quel marchand ayant un minimum de conscience paierait une escorte, pour la simple raison que la vie sauve valait plus qu’un quelconque bénéfice. J’avais donc deux options, soit ils étaient sacrément stupides ou inconscients, soit ils étaient le résultat de mon plan génial, n’en déplaise à la Kitto. Cette dernière les regarda et ajouta alors :

Kenshin sentant Miyuka se rapprocher de lui, laissa son cœur s’emballer. Elle allait l’embrasser c’était sur! Ou pas… ce fut finalement la pointe d’un Kunaï qui vint se poser dans le bas de son dos. Il ne devait pas paniquer quoiqu’il en soit. Il avait encore ses mains libres de toute façon sous la table. Et son couteau de combat dans son kimono. Il pourrait bien l’attraper quitte à se prendre un coup de Kunaï. Alors il préféra jouer la carte de l’humour. Elle n’allait tout de même pas planter son amant? Elle l’aimait elle aussi?



Dit il avec un léger sourire mutin.



Ajoute t’il quand à lui dévoiler ce qu’il lui cachait. Fort heureusement, la situation déjà complexe se déliait un peu grâce à l’intervention de la Nukenin. Elle demandait à Miyuka de ranger son Kunaï. En revanche sa question laissait le Uzumaki perplexe un moment. Devaient ils lui dire si oui ou non c’était bien la personne qu’ils cherchaient? Et comment savait elle qu’ils le cherchaient surtout? Alors Kenshin choisissait de répondre à sa question par une autre dans un premier temps.



Demandait il.

L'histoire ne semblait pas totalement claire. L'existence d'un sosie pouvait sembler improbable. Mais on ne pouvait nier la possibilité de tels cas. Les Kitto n'avaient pas de particularité physique définie, et un visage pouvait ressembler à un autre. Peut-être qu'une fausse moustache aurait changé la donne ? Dans tous les cas, Kotaro devait décider rapidement s'il restait sur cette histoire ou s'il abordait le problème d'une autre façon, car la situation évoluait très vite.

L'Uzumaki avait brièvement rejoint ton compagnon alors que vous discutiez avec son employeuse, et leurs remarques vinrent vite dessiner de l'inquiétude sur le visage du marchand.


Mimant de l'inquiétude exacerbée, tu notais cependant un détail des plus importants dans les propos des déserteuses. Elles "attendaient" des Konoha-jin. Comment étaient-elles au courant de l'envoi de ninjas de la Feuille ici ? L'une des possibilités était l'implication directe de leur contact, qui était donc largement compromis. Tu ne lui faisais pas vraiment confiance à la base. Les individus extérieurs au village pouvaient facilement se retourner contre ce dernier. Une autre hypothèse plausible était également l'implication directe d'Hegi. Après tout, sa propre fille se tenait face à eux. Ton compagnon prit une nouvelle fois les devants, et étonnamment, le Kitto continua de jouer les plus expressifs maintenant. Le couverture avait peut-être déjà sauter, mais le doute subsister et il était plus sage de le faire durer un maximum. Un combat n'était pas vraiment une option souhaitable.


Il porta son attention sur son camarade. Kazuma n'était pas Watanabe et il semblait clairement perdre son sang-froid.


Poussant un profond soupir, il ne tarda pas à reporter ton attention sur la menace. Miyuka avait donc rejoint son "employeuse" maintenant et semblait être fière de son résultat. Tout cela était un jeu pour elles ? Les deux femmes formaient un très étrange duo.


Ils se mit ensuite à maugréais comme quoi one ne l'y reprendrais plus. La prochaine fois, il ne sera pas radin et paiera pour une protection plus conséquente que son simple partenaire de voyage.

La scène avait quelque chose de désespérant. Leur petite comédie t’agaçait et tu n’avais pas envie de perdre de temps avec eux. Les deux « marchands » étaient clairement démasqués, et pourtant ils s’évertuaient à réfuter tout lien avec Konoha et même leur propre identité. Tu ne croyais pas une seule seconde à cette histoire de sosie. Pourquoi ? Tout simplement car le timing était trop parfait pour qu’il ne s’agisse pas de lui. Un marchand qui est le portrait exact d’un Kitto que tu avais déjà vu plusieurs fois, juste au moment où vous tentez d’attirer des Konohajins à Tsuyo… C’était trop improbable. Tu poussas alors juste un long soupir avant de répondre aux deux hommes :



Sur ces mots, la Uzumaki commença à s’agiter, visiblement confuse à l’idée de te voir rentrer dans leur jeu aussi facilement. Chose qu’elle n’hésita une nouvelle fois pas à exprimer :



Tu la regarda alors et laissa planer un léger silence durant quelques secondes. Alors que tu tournais à nouveau ton regard vers les deux hommes, tu ajoutas :



Sous-entendis-tu pour parler de Konoha. Faire venir des Konohajins à Tsuyo n’était pas un hasard. Tu savais qu’ici ils ne pouvaient rien te faire, du moins ils n’oseraient pas. C’était risqué pour eux deux en premier lieu, mais surtout, Konoha ne pouvait pas se permettre un incident diplomatiques avec Tsuyo, simplement à cause d’une nukenin. Toutefois… le contraire n’était peut-être pas tout aussi vrai…