Arène des combattants

Faiblesse. Miséricorde. Pardon. Lâcheté. Pour décrire un clan, il était possible d'user de nombreux mots, mais Nowaki se sentait que peu concerné par les quatre mots débutant ce message. Malgré tout, cet homme était assez faible pour être ridicule au point de se prosterner pour exiger un pardon. Non, ce n'était pas ça. Le Hattori était mesquin et il attendait toujours quelque chose. Certainement,

Alors que Aohime semblait lui mourir dans les bras, quelqu'un réagit enfin à l'annonce de vente. Une jeune femme qu'elle n'avait encore jamais croisé. Elle n'avait pas vu grand monde sans son cachot de toute façon. En tout cas, cette jeune femme à l'allure très sûre d'elle, s'avançait dans sa direction et déclara qu'elle allait acheter ou plutôt récupérer les deux kiri-jin. Kioko ne pu retenir une

Nowaki était dans l'état qu'il désirait. Il ne possédait même plus la force de prononcer la moindre parole. Une civière n'allait pas tarder à venir le récupérer pour le remettre d'appoint avant le prochain combat. Bien évidemment, le Kirijin n'en attendait pas plus. Il souhaitait simplement connaître son sort. Il était peu probable qu'un homme souhaite du Kaguya comme combattant. Il n'avait que p

Les mots de Reiko furent de trop, il préféra les ignorer. Les dictons ne sont bons qu'à commettre indéniablement les erreurs de nos aïeux et l'histoire des Hattori était suffisamment longue pour trouver un exemple notable. Le combat était, quant à lui, bien plus intéressant. Un Kaguya en défaveur donnant ce qu'il peut pour dorer son blason et un poisson au summum de sa puissance. L'être marin a