Montagnes de Tetsu

Les yeux de l'homme dégoutait la jeune Miwaku. Un long frisson parcourait pour la deuxième fois son échine. Elle ne sentait vraiment pas à l'aise avec l'individu, enfin... ce n'était pas le premier homme et le dernier qui lui procurait cette sensation particulièrement désagréable. La main de Fuu ne restait jamais loin de son tanto, tandis que l'autre lui servait à manger en cours de route. Une

Puis, survint le choc après le dernier hurlement de désespoir du jeune sekken. Son épée se plante violemment dans l'épaule de droite de Bakedôrô, tandis que le poing destructeur du monstre finis en pleine tête du jeune épéiste. Avec la force des propulseurs l'impact est beaucoup plus violent, entrainant les deux être à l'arbre se trouvant non loin de là. MEURT ! Voilà

J'ai faim ! Je veux manger. Plus je m'approche de l'odeur et plus mes papilles s'affolent pour goûter ce fumer. Je m'approche et je sens toujours mes pas qui font trembler le sol. Je ne suis pas discret, mais ce n'est pas grave. C'est l'heure du souper et ça c'est plus important ! Oh ! De la viande ! Quelque chose que j'aime autant cuit que cru ! Ces bipèdes sont drôlement doués pour faire cuir de

Les hauteurs froides des montagnes, nous permettaient d'avoir une vue sur l'ensemble de la région. Autant sur Cha, que sur les plaines verte de Kusa avec un panoramique afin de voir une possible approche de troupes ennemies. Nous avions eu l'information par un de nos éclaireurs que plusieurs bataillons du village Kimiko se déplaçaient depuis les terres hostiles du désert de Kaze. Les informateurs

En été dans les montagnes de Tetsu, Daiki regardait le paysage, avec toute sa petite famille, il y avait sa tante, son père et 3 cousins. ils étaient au sommet d'une montagne, installé avec deux tentes. Il avait toujours grandi ici, mais apparemment il était né dans un village appelé "Konoha" ou quelque chose comme ça. Il ne le connaissait pas, il n'y était jamais allé et n'irais probablement jama

La fête battait son plein, j’étais totalement vidé, je me reposais un instant à même le sol et j’observais le reste de mon clan. Il se pendait dans une orgie de chasse, certains avaient des flèches plantaient dans les fesses, d’autres assommaient des femelles pour les amenaient dans leurs huttes et le plus drôle, il y avait une bataille de caca. A la base c’est une méthode de dissuasion pour ne p