Portes du village

C'est vrai que d'avoir quelqu'un pour m'exercer au genjutsu ne serait pas de refus. Si sa ne te dérange pas bien sûr. M'étais-je alors exprimer à la suite de Taram. Il est vrai que m'exercer seul à l'art du genjutsu était assez difficile et mes proches n'apprécier pas trop de me servir de cobaye à divers jutsu. [quote moi="0"]Je pense qu'il vaut mieux ce contenter d'u

Le combat au corps à corps n'était décidément pas fait pour moi. Je n'aimer pas vraiment avoir à blesser autrui sans raison mais les entrainement de combat pouvait être très souvent violent. Pendant l'échange de coup, Taram m'avait parler de l'importance de ne pas se laisser dominer. Oui, je sais Avis-je alors répondit lorsque ma respiration me le permis. Ma petite r

Une équipe avait été réclamée par le Hokage Gekido Uzumaki pour une mission spéciale. Seijuro n'était pas particulièrement motivé pour cette dernière, mais il décida tout de même de se rendre au point de rendez-vous. En réalité, il n'avait pas même été convié directement, il avait simplement tendu l'oreille entre deux supérieurs qui discutaient autour d'un bol de riz dans le village. Suite à cela,

L'équipe de traque arrivait à Konoha. Une fois les portes franchies, Len ressentait un profond soulagement. Il saluait les gardes, plutôt fier de n'être pas rentré bredouille. Pas de dérapage, tout était parfait. Shimazu lui faisait remarquer que ce n'était pas une heure pour déranger un kage. Le brun approuvait de la tête et signifiait : [quote moi="0"]Tu as parfaitement raison Shimazu. Mais o

Je n'arrivais pas à m'exprimer correctement, à dire à ma coéquipière que je tenais à elle. Son regard me fit comprendre qu'elle avait compris malgré mes divagations, et je lui en étais reconnaissant. Je conaissais cependant et je savais qu'elle ne répondrais pas à ça. Elle étais timide malgré son ardeur et ne se perdais pas en sentiments. Elle me répondit par contre à mes propos sur le tournoi :

Rapidement, Kazami fut rejointe de Shinji et Len, deux de ses coéquipiers pour la mission. Un peu anxieuse, la jeune femme rougit légèrement avant de répondre : Non-non tu n'es pas en retard Shinji .. Je-c'est très bien ! Jouant sur ses talons, la rouquine scruta encore une fois les rues du village. [quote moi="0"]On attend encore Qazea et on pourra y aller ! [/quot

Je vois, il faut donc recruter! Si je vois quelqu'un intéressait soit sur que je le mènerais vers toi! Taram accompagna Seishiro en dehors du poste d'Eda. D'accord, au revoir Taram! Seishiro écouta les dernières paroles de son maître. Je ne l'oublierais pas, à bientôt ! Puis Seishiro partit.

Lorsque j'arrivais tranquilement devant les portes du village, Shimazu nous répondit qu'il avait à faire et que je devais me souvenir de notre promesse. Je soupirai. Kazami était quelqu'un d'important pour moi. Je la protégerai même si il ne me le demandais pas. Shimazu partit aussi vite qu'il était apparu. Ne cherchait-il pas à m'éviter ? Ou peut-être que quelqu'un lui avait donné rendez-vous ? J

Elle ne voulait pas perdre la face devant ceux qu'elle considérait comme ses subordonnés. Sa réponse qui visait simplement à remettre en cause ses compétences prouvait bien le manque de crédit qui pouvait lui être accordé dans ce bureau. On l'avait en effet vaguement informé du départ d'une espoir sur les traces de Jin et de Yasuo, mais ils auraient très bien pu ne pas revenir avant plusieurs sema

Arrivés aux portes du village que je gardais actuellement, les deux ninjas adoptèrent un comportement différent. La jeune Kazami adopta un tempéramment froid et un vague hochement de tête cordial tandis que le jeune Chikara lança un regard compatissant à Kinkatsu. Kinkatsu répondit par un regard haineux lorsque le ninja partit devant. Après tout, il était un ninja autant voir plus expérimenté que

Nous venions de quitter le bâtiment de l'Hokage et nous nous apprêtions à sortir du village. Et oui, nous. Je m'étais enfin rendu compte que nous étions une équipe, et non pas des ennemis. Notre mission était clair, voire même jouissive : il fallait que nous retrouvions deux nunekenins, dont un qui était l'ancien Hokage et le second qui était l’enflure qui avait fait perdre toute envie de vivre à

J'étais à mon nouveau lieu de travail, le poste de police, non loin des portes du village. Je n'étais pas peu fière de cette promotion, j'étais même plutôt reconnaissante envers mon Hokage. C'était un vrai signe de confiance. J'entrais dans mon bureau et commençais à installer mes affaires. J'ouvrais la fenêtre pour aérer un peu et laissais quelques instants à peine, mes cheveux naviguer a