Le jeune Kotaro avait craché son venin et malgré cela, il ne se sentait que plus lourd encore. Lourd de haine, contre eux, contre lui, contre les autres konohajin. Contre tout le monde. Hikaru tenta certainement d'apaiser le jeune homme, mais la colère flouée son discernement et laisser le jeune Genin ronger pour une colère dont il ne trouvait ni la source ni la victime. Dans cette histoire, les Uzumaki n'avaient rien perdu, ils avaient pour une grande partie encore le soutient de l'opinion du village, n'avait jamais était châtier. Gekido et Kazami, les amants maudit eux même avait fuit après que leurs coups d'état ne soit un échec. C'était donc ça l'élite de Konoha, l'élite des Uzumaki. Ils avaient fui. Il ne serait jamais jugé. Il n'y aurait jamais de vengeance contre ceux qui avait commanditer tout ceci, et les légères punitions donné a ceux qui avait exécuté les ordres n'étais, au goût de Kotaro, qu'une vaste blague faite pour que les chikara ne se nourrisses que de fausses justices. Lorsque vous touchez le fond, vous vous accrochez à la moindre lueur, même si celle-ci est factice.
Mais alors que le jeune garçon continué de ressasser ce qui le tourmentait, voilà qu'Azukiyo refit son apparition avec des paroles dures à entendre. Une vérité glacée et glaçante qu'Hikaru avait tentait de lui faire parvenir lui aussi, mais sous une autres forme. TOUT les uzumaki n'était pas des lâches et des traîtres. Certains n'avaient rien à voir, n'avaient même pas connaissance du coup qui se préparer. La femme d'Azukiyo était elle-même une Uzumaki et jamais Kotaro ne pourrait imaginer que la femme d'un tel homme eu l'idée ne serait-ce que de porter préjudice au clan de son époux. Elle n'était certainement pas seule. Alors comment ? Pourquoi ? Parce que certains étaient dangereux et fou. Parce que certains étaient idiot. Parce que certains étaient bon. Cela faisait beaucoup de pensée conflictuel et contradictoire pour un garçon aussi perdu que Kotaro a l'air actuel, mais les graines d'une rédemption avait été planté. Il y avait de bons Uzumaki... La boulangère n'avait certainement jamais voulu cela, l'épicière non plus. C'était un fait, certains avaient épousé en dehors de leurs clans et ces gens-là ? Entaient-ils réellement coupable ? N'étaient-ils pas eux aussi des victimes potentiels de cette attaque. Que cela soit par vengeance et suprématie d'un clan, les couples inter clanique avait étaient prit pour cible tout autant que le clan Chikara lui-même. Kotaro restait alors silencieux... Du moins jusqu'à ce que le chef ne viennent prendre la commande de la table en apportant un plat déjà commandé par le Haut gradé.
« Hum... N'importe quoi, le plus épicé possible s'il vous plaît. »
Kotaro était le fils d'une femme bien que douce, plutôt explosive et ses nombreuses missions en dehors du village n'avait fait qu'augmenter sa culture culinaire des autres régions du monde. Dans le désert d'où était originaire le père de Kotaro, la nourriture épicée était commune et c'est une chose que Mei avait toujours prit à coeur d'inqulquer à ses enfants. L'acceptation des autres et de leurs cultures, le mélange et le vivre-ensemble... Quelques choses que Kotaro avait pour l'instant perdues de vue. Il ressassai alors sans cesse le conflit que les paroles sages de l'homme lui avait infligeait. Il restait alors silencieux alors que son cousin discutait d'armes et autres. Son plat arrivant, il ne fut pas déçu lorsque son nez se mit à piquer. Le serveur le mit en garde, mais Kotaro n'écouta pas réellement, lui assurant que cela irait qu'il n'y avait pas de soucis. Avant de prendre dans son bol, Kotaro joignit ses mains, remerciant les dieux de lui accorder ce repas et de la présence des deux personnes qui était là avec lui. Mine de rien, pouvoir s'exprimer sans entrer durement juger lui avait fait du bien.
« Merci Hikaru... T'es vraiment un frère. Merci à vous aussi Azukiyo-san... Je ne peux pas dire que je ne déteste plus les Uzumaki comme par magie, parce qu'à l'heure actuelle... Je leurs en veux encore pour le meurtre de mon père et de tous les nôtres, pour ne pas s'être dressé contre les leurs, pour ne pas les avoir dénoncés.... Mais... je pense... Enfin... Je pense que certains Uzumaki ont eux aussi perdu dans cette tragédie... Je... Je suis désolé pour ce que j'ai dit plus tôt. »
Il n'y avait que les idiots qui ne changer pas d'avis après qu'on leur ait présenté des argument recevable non ?