Ancien village des Kirishitan

Quelques minutes passées, cela suffit pour que je puisses faire mon entrée. Je m'immisce dans la pièce de cette maison délabrée, totalement saccagée. Ce petit Miwaku avait encore fait des siennes... Mais pour l'heure ce n'est point mon soucis essentiel. M'accroupissant lentement, d'un geste habile sur le visage huileux de cet homme je vins déposer une caresse. [quote joueur="618.2"]Ton h

Iroji était donc le sujet à éviter, je le notais dans un coin de ma tête, et continuais la progression en tenant fermement la petite dans mes bras. La pauvre, elle avait beaucoup subit pour son jeune âge, mais bientôt cet affreux cauchemar toucherais à sa fin. Elle en a trop vu, elle a besoin de manger et de se reposer... Cela ne répondait pas réellement à la question,

Vous avez pas le droit ! Oh non, pauvre petite poissonne ! Te voilà prise dans un filet et tu ne pouvais t'en défaire... L'homme pouvait donc t'immobiliser à sa guise et cela ne te plaisait encore moins ! Blblblblblblblblblblblblblblblblblblblbl ! Momo s'approchait de toi pour te prendre dans ses bras, mais en guise de réponse mécontente tu lui

Car ... J'en ai marre de bouffer tes stupides plantes. Soudainement, le regard de l'homme se mit à changer, il semblait se remplir de folie et d'incompréhension de son entourage. Qu'était-il possible d'espérer d'un enfant élevé dans la haine de sa propre patrie ? D'un gosse qui incorporait plusieurs personnalités en lui afin de pouvoir gagner en force ? Absolument rien. Hao

Le roux Nukenin n'avait nullement confiance en son ancien maître, il le connaissait suffisamment pour ne pas croire au hasard... Pour ne pas croire qu'il agissait sans plan en tête... Que voulait-il ? Que faisait-il ici ? Sugishi ne le savait pas. L'ancien Konohajin ne souhaitait que participer à la création de la plus grande technique de ce monde, mais la présence de Akuma était une véritable sou

Bordel... Ce n'était pas le... plan... Je... C'est différent qu'avec elle.. Lors de sa précédente fois, Hao s'était souvenu d'une entente et d'une sorte de coordination... Cette fois-ci, il avait l'impression d'être immobilisé dans une tourmente infinie. Il le savait, il avait besoin que la chose se calme et il devait lui remettre un collier autour du cou... [quote moi=

Ce drame ne peut être conté. Les atrocités que vécut l'écarlate ce jour-ci, marquèrent sa psyché à jamais. L'extermination méticuleuse de sa tribu lui enseigna une rude leçon : toute paix est fragile. Il est donc illusoire de croire que seule de bonnes volontés et une diplomatie chaleureuse suffisent à assurer une félicité pérenne. Non, le monde était cruel et Chihiro venait de le comprendre. Vict

Tout est chaos. Voilà le sentiment profond qui traversait la Mitsuna de part en part. Elle qui, d'ordinaire, appréhendait le monde avec une facilité déconcertante, se retrouvait à présent dans un désarroi sans pareil. Malgré ses efforts pour se raccrocher à la raison, la violence des événements la plongeait irrémédiablement dans une immense incompréhension. Pourquoi une telle attaque ? Pourquoi se

Zacley s'était lancé sur les soldats ennemis. Les hommes-bleus que certains appelées les hommes-poisson, allez savoir pourquoi faisaient face vaillamment. Ils défendaient après tout leurs terres, leur sol ancestral, leur culture et même leur existence. Leur paix avait été troublée par la volonté dominatrice du peuple de l'au-delà. Les Kirishitan produisaient une quantité innombrable de technique à

Aoi ne s'était jamais déclaré comme un combattant, il avait toujours préféré la boisson au combat. Pour dire, il n'avait même pas imaginé vaincre un gosse de cette façon. Il le savait, son adversaire était déjà blessé avant le début du combat. Pour autant, il avait vu en ce fait, la chance de pouvoir vaincre. Lorsqu'il se retrouva au dessus du jeune, il se mit à dire : [quote moi="1"]Tch, tu vi

Kaito était faible. Trop faible et sûrement bien dorloté par ses parents. Dans mon cas, je connaissais parfaitement la nature de mon père et celui-ci n'hésitait nullement à être désagréable et particulièrement sévère. Pour être franc, je le trouvais trop pratiquant et je commençais même à haïr cette religion qui, indirectement, provoquait malveillance chez mon paternel. Le bruit du ventre de Kaito

Sawako venait d'assister au meurtre du vieillard, de la légende qu'était Hakizura... Quelque peu choqué, non pas par la vue du sang et de la chair déchiquetée, mais par le fait qu'un enfant de treize ans puisse ôter la vie d'un être humain sans laisser paraître la moindre once de sentiment... C'était donc ça qui rendait les élèves du dénommé Hakizura si... légendaire ? Le fait qu'il ne soit nul au