Topics de Hattori Nokutisu

Encore une fois je fis face au rejet. Depuis ma naissance notre famille n'a cessé de me repousser, même enfant.... Un semblant de tristesse m'avait envahi aux paroles de ma chère soeur.... N'étais-je voué qu'à être un monstre aux yeux de tous ? Personne n'a su comprendre mes agissements et ma nature profonde. Les derniers souvenirs que j'ai de ma tendre soeur, cette chaleur de nos corps collés...

... La sélection naturelle. Ahahah. Quel idiot. Mais Otojiro n'était pas plus intelligent que Busaiku. Il omettait le détail suivant : Lui aussi se trouvait dans le bateau dont la coque avait cédé sous l'impacte de la brute épaisse. Quelques Kaguyas en ont profité pour se faufiler à l'aide du Suiton, d'autres tentaient dés

Alors que tu pensais rejoindre les morts, quelque chose ou plutôt quelqu'un tentait de te maintenir en vie. Tu pouvais sentir tes joues chauffés par les délicates baffes que tu recevais. En prenant une grande inspiration, comme si tu revenais d'entre les morts, tu pus entrouvrir un oeil. Tout était flou et la clarté de la lune t'éblouissait. Tu n'étais pas certain d'entendre clairement, mais tu av

[i]Hiroo fronça les sourcils à cette nouvelle. Il avait donc des infos sur ceux qui avaient fait échapper les Kaguya? Étonnant qu’on ne l’ait pas mis sur le coup. Un manque de confiance? Une préférence pour la discrétion? Plus sûrement ouais… mais son efficacité n’était pourtant plus à prouver. Il avait réussi à ramener le Cafard après tout. Ça en avait fait chier plus d’un cette histoire d’ailleu

Vous m'avez surpris. Ce serait trop demander de sonner la prochaine fois ? Je pouvais abaisser ma garde. Il s'agissait d'un messager de type masculin. Quel dommage, mais quel soulagement à la fois aussi. Je prenais la lettre et commençais à la lire à voix haute. [quote moi="4"]Vous êtes convoqués par l'empire. En tant que shinobi, nous allons devoir solliciter vos compé

[i]~~ Une petite heure plus tard… ~~[/center] Les couloirs du fameux hôtel sont remplies par de multiples hommes richissimes, accompagnés par leur « femme » du soir. Beaucoup sont ivres, l’heure est tardive, la plupart des clients se dirigent tranquillement vers leur chambre après avoir probablement passé une soirée plus qu’agréable dans l’un des nombreux lieux de vie de la ville. M

Sentant sa tête posée contre mon torse, je ne pouvais m'empêcher de la prendre dans mes bras en lui carrssant sa chevelure. Je te l'ai dit... Je ne veux plus être loin de toi et j'irais là où tu iras, Nana. Je lui déposais un doux sur son front la serrant d'avantage contre moi. Dans un geste lent, je la tournais légèrement pour qu'elle puisse o