Il remerciais l'Hokage. Cet homme avait, à priori, perdu la raison. Il ne pouvait être que fou pour remercier l'homme qui venait de piétiner son seul souhait, son seul et unique dernier désir d'homme vivant. Néanmoins, cet acte de folie fut immédiatement suivit d'un autre. Plus fou encore. Ses mots, dictés par la rage, la rancœur et l'amertume, furent comme l'étincelle de précédent une explosion.
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