Région forestière

Cet homme était le premier à remarquer la différence en toi, et cela semblait être une chose qui ne lui était pas inconnu. Jusqu’ici, tu n’avais que des doutes et des présomptions. Tu ne pouvais te fier qu’au ressenti de ton propre corps et celui de ton chakra. Mais il y avait une règle qui ne changeait jamais : un tel pouvoir alliait généralement un grand sacrifice. Et aujourd’hui, c’était celui

Daiki comprenait la colère de la femme, mais il aurait sans doute pu faire plus si son matériel médical n'était pas tombé suite à l'attaque qu'il avait reçu. Cela lui servirait de leçon, habituellement il n'aimait pas prendre les sacs fait exprès pour cela, mais il devait commencer à y penser. De toute façon, le médecin ne voulait pas créer de conflits alors il n'allait simplement pas réagir et si

Yuko se taisait quelques secondes. Son esprit était borderline, confus et prêt à imploser. Quel genre de pacte avait signé son mari et Shimazu auprès d'Harumune ces dernières années pour qu'il lui mente à ce point ? Pour qu'il lui ait caché cette échange ? C'était le premier à la mettre en confiance, c'était le premier à lui dire tout les mots du monde pour la rassurée. Et ce fut le premier à lui

Kohana ne s'attendait pas à cette réponse. Son facies pourtant imperturbable habituellement venait de changeait. C'était la première fois que d'autres personnes lui disait des mots aussi gentils. Vraiment, cela la perturbait énormément. Je... Elle ne savait que trop quoi dire et se contentait alors de sourire, l'air apaisé. Ne voulant pas non plus montrer de trop cette

Impossible d'imaginer ce que Hinae a pu ressentir ce soir-là. Une blessure infligée par sa propre fille. Une gamine sauvée d'une terre étrangère ayant vécu de terribles sévices. Tu étais présent avec elle, le soir où Masaru avait sévi. Tu avais vu la détermination de cette Chikara pour ces enfants. Non, je ne pouvais même pas imaginer ce qu'elle a ressenti alors qu'Akiko levait la main contre sa p

Méditation. Le bruit de l'eau qui coule, un vent léger qui souffle dans nos cheveux, la chaleur du soleil ardent nous réchauffant le cœur, les petits animaux qui jouaient ensemble et la tranquillité de la forêt. Une douce mélodie qui nous enivre et nous rappel notre ancienne maison, les monts Tsuchi. Nous profitons pleinement de cette instant paisible afin de pouvoir communiquer avec notre mère. I

Aujourd'hui, maman est morte. Ou peut-être hier, elle ne savait pas. Les informations se mélangeaient et rien ne voulait dire quelque chose. C'était peut-être hier. Tout ce qu'elle comprenait, c'était qu'elle était désormais seule avec sa sœur, Liya. Il n'y avait rien au monde qui ne la dégoûtait plus que ça si elle devait être honnête. Pas qu'elle ne l'aimait pas. Mais elle n'était pas capab

Ainsi donc, comme je commençais à le supposer, la piste de Kumiko s'arrêta à l'extrémité de la forêt. La femme louve très territoriale ne se risquerait pas à quitter son si précieux domaine ça ne faisait aucun doute. Toutefois, cette nouvelle me rassura. Okawa aurait donc réussit à sortir de la forêt en vie, seulement, dans ce cas, pourquoi n'est il jamais revenu ? A-t-il survécu à ses blessures ?

Kotaro n'avait que de lointain souvenir de Tsuyo. Son père l'avait fait vagabonder à travers tout le Yuukan en évitant le territoire Hattori. L'empire était une menace que même lui préférait éviter dans sa quête de connaissance. Cependant, ce temps était lointain et les vague souvenir ne serait guère utile au deux comparse marchand. L'image de Konoha dans le monde civil c'était dégradé et les cons

Son rire fut particulier, presque touchant à vrai dire. Bien loin du rire malveillant qu’elle avait eu quelques secondes plus tôt. Tu commençais à te demander réellement qui était réellement cette Miwaku, et si elle avait de l’importance pour Kumo. Une chose est sûre, elle en avait pour Konoha. Pour l’heure, tu décidas de ne pas t’en inquiéter, tu aurais tout le temps du monde d’en apprendre plus

La fuite était la meilleur solution afin d'éviter des victime potentielle. Akiko ne semblait plus en état après l'apparition de ce monstre, et Azami avait user ces dernières force contre. J'était le plus apte à cela et, pourtant, je ne pouvait que ressentir de la frustration à cela. Affronter ce type était l'occasion d'une vie, et je la laisser passer pour le bien d'autrui. Ce n'était pas une mau

Tchhhhhhhhhh Le bruit chaotique finit par disparaître petit à petit après une course vers une cible dorénavant lointaine. Face à un Masashi exténué, une jeune femme rousse semblait combattre la mort. Debout face à elle, Le Raikage se contenta de dire : Tu n'étais pas ici pour te mettre en danger, Uzumaki. D'un ton moins agréable, l'espiègle Kara