Zone industrielle

Kazumi était en mission aujourd’hui. Rien de grandiose étant donné notre statut actuel à Kumo, mais cela permettait de forger des liens avec la population et puis aussi d’assurer au Raikage que nous tentions de nous intégrer dans le village. Moi, je n’avais rien de prévus au début, puis subitement quelqu’un et venu me chercher directement à mon domicile pour une histoire de maladie subite chez un

Oui ! Je suis sûr que Kyota saura résoudre mon soucis. Ne vous en faites pas, ça n’est rien de bien grave. Ça ne sera qu’un épisode à passer, après ça je pourrais me consacrer pleinement à notre intégration. Tu ne pouvais pas y faire grand-chose, mais tu n’étais pas prête à en parler à quelqu’un d’autre que Kyota ou Kazumi. Premièrement car tu n’étais pas assez forte pour

QUOIIIIIIII ! Déjà être tard comme ça ! La panique ! La panique ! Oh mon dieu ! C'était déjà l'heure du bain ! Tu t'agitais dans tous les sens complètement déboussolée ! Moi devoir vite rentrer ! Tu finissais par te calmer un peu avant de répondre à la question de Paphayate: [quote moi="5"]Si moi être ici, moi pouvoir rentrer sans soucis. Just

A peine le temps d’acquiescer sa petite phrase que le shuriken part en direction des deux hommes et se plante dans la gorge de l’un d’entre eux. Tu applaudis de manière sarcastique en rigolant et regardant le second partir dans un bâtiment. Tu soupires en constatant que tu allais devoir jouer au chat et à la souris et lances un petit regard amusé à la Hattori. [quote moi="12"]Quel dommage en ef

Il t’expliqua alors ce qu’il prévoyait de faire, il avait bien compris que ton choix était déjà tout fait, il ne tenta pas de t’en dissuader, ni même d’en discuter. Non, il savait ce que tu ressentais, il le comprenait. Tu le raccompagnas alors jusqu’à la porte d’entrée, ouvrant celle-ci tu lui dis doucement : [quote moi="3"]Merci… Kyota-sama. J’apprécie votre attention envers moi, je préférera

Tu regardes l’énergumène qui se trouve à quelques mètres de toi. Tu l’observes attentivement et tu vois qu’il est vraiment très très bizarre son comportement son allure ses vêtements il a vraiment un accoutrement que tu qualifies D’horrible. Tu le scrutais d’un peu plus près son chapeau en forme de cône, le maquillage sur son visage, ces dents aussi jaune que ses yeux et le tout ressortant avec

L’odeur de cannelle douce est sucrée. C’est la première chose que j’ai sentie tandis que je reprenais conscience après une longue nuit de sommeils. Je sentais mon corps s’étirer, replaçant chaque os de mon corps vieillissant en place. Mes yeux s’ouvrant sur la plus belle des femmes au monde. La mienne. Kazumi… Je souriais sans même m’en rendre compte alors que je me blottissais contre elle, doucem

Azamuku était parti à son tour, laissant Takai seul avec la Miwaku. Cette dernière retira lentement son masque et le Hattori put enfin contempler son visage. Il était peu sensible aux charmes de la gente féminine, mais ça ne l'empêchait pas d'être capable d'apprécier la beauté d'un visage. Elle était sans doute l'une des plus belles femmes qui lui avait été donné de rencontrer. Nul doute que même

L'entrainement est déjà terminé ? Tu ne voulais pas que cela cesse et tu aimais l'enseignement du peu d'expérience que pouvait posséder cette drôle de dame ! En tout cas pour une femme, elle était plutôt forte. Elle te proposait de vous retrouver demain soir à la même heure. Avec grand plaisir, madame ! Amusée par le fait que tu l'appelais "madame

Je vais te laver la bouche avec du savon... Ca te remettra les idées en place je pense! Je repousse le Miwaku qui commençait à prendre ses aises en se frottant à moi avec son sens de l'humour des plus bas et je me défais des liens qu'il venait de me faire aux poignets. Je n'ai jamais vu ces nœuds et très sincèrement je pense que je n'ai pas envie de les revoir un jour au

Tu regardais encore la zone que tu avais bien sinistré. Après les avoir aidé, tu devras aller voir Yomei avec les membres de l’unité, celle-ci étant au complète, tu te demande la réaction qu’il va avoir en y voyant un Hattori et un Kaguya mais tu n’en avais que faire. Tu regardais les profils selon leurs capacités et non leurs appartenances clanique. Il a bien intérêt à le comprendre, tu n’étais p

Le travail était finit, il était si dérisoire de se défaire des petites frappes qui pensaient avoir de la puissance et du pouvoir au sein de Kumo alors qu’il n’était rien que des fourmis à la merci d’un fourmilier. Soshi s’assoit sur un cadavre comme si il s’agissait d’un trophée. Tu n’en faisais pas de même, tu avais du respect pour les morts même si ils n’étaient que de la vermine. Il te faudra