Les minutes s’écoulèrent dans un silence plutôt pesant. Étrangement, leur incursion n’avait pas été repérée par les Kumojins. Ou peut-être préparaient-ils simplement autre chose ? Mais la Kaguya n’y réfléchissait pas, elle n’en avait cure, tout ce qui lui importait était que son plan se déroule tel qu’elle le prévoyait. Au fil des secondes, l’atmosphère devenait de plus en plus chaude. Le chakra
Hidemi n'en croyait pas ses yeux. L'ennemi se mouvait à une vitesse stupéfiante, et réussissait à dissimuler son énergie avec une précision déconcertante... Elle avait l'impression d'affronter une armée de clones. Tout en repoussant les vagues de plus en plus nombreuses, elle devait garder un œil sur deux figures particulièrement étranges. Alors que l'un d'eux, le plus âgé, venait de disparaître,
Emi-sama.... S'interrompît la fumeuse. Je ferais de mon mieux, compte sur moi. Les véritables mots que Sayuri voulait prononcer était de très loin identique à ceux sortis de sa bouche. Elle aurait aimé dire à Emi, "viens, partons d'ici et donnons à Yû la vie dont elle rêve...", mais elle savait que c'était peine perdue. La Cheffe ne s'était pas p
Au loin, Kioko semblait souffrir le martyr et tandis que les deux Kumojins venaient t'indiquer qu'ils devaient partir, Hidemi s'en amusa en riant subtilement. Nous nous retrouverons donc au village, Général. L'Hattori le savait, le général de la glaive n'allait nullement apprécier cette nouvelle et elle s'en fichait complètement. Ce dont elle était certaine, c'est que
Oh ! Tu avais bien compris que le jeune maitre était à bout de force ! Tu te hâtais de te concentrer ta petite feuille sur la tête pour reprendre ta forme humaine lorsque tu sentais l'adolescent se morfondre vers l'arrière les yeux clos. Ne t'en fais si tu ne sais quoi. Fais dodo, Tirin. Tiny va veiller sur toi en attendant ! Tu lui prêtas tes genoux en guise d'oreiller
J’ai changé d’avis, tu n’auras pas ce plaisir maintenant. Cependant… Je saisis son bras, et tirais d’un coup sec, suffisamment fort pour lui déboîter l’épaule gauche. AAAAH ! Qu’est-ce qui te prend espèce de… ARRRHGH Sa phrase fut interrompue par un nouveau cri de douleur alors que je lui déboîtais tout aussi violemment l’autre épaule.