La scène était presque cérémoniale. Mais c'était, à cette époque, le mal de Seijuro. Il s'était lui-même renfermé dans une carapace qu'il ne parvenait pas à fissurer seul. Et pourtant, il était ridicule pour un shinobi de s'être autant porté sur le deuil d'une personne au point de s'enfermer dans un étau de brime n'ayant aucune cesse, à aucun moment. Effleurer du doigt la sortie de cette malédicti
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