Topics de Kitto Kyoko

Sous le soleil de l’Été, Kinchū gardait son calme paradoxal habituel. En dépit des ses nombreux habitants, certains quartiers de la capitale avait cette atmosphère calme, presque sans bruit. Ici, chacun vaquait à ses activités sans trop prêter attention aux gestes de son voisin. La vie se déroulait sans accroc, dans la paix. Tu étais là, au sein de l’un des quelques terrains d’entraînements milit

Tsuyo, bastion militaire et centre névralgique de la logistique impériale. Quelle que soit votre destination, le passage par la Citadelle était obligatoire si vous voyagiez en train. C’est ici que tu avais décidé d’embarquer afin de retourner à Kinchū. Transportant désormais l’épée gigantesque de Wattan, tu passais difficilement inaperçu, si bien que tu abandonnas l’idée de te faire passer pour un

Un silence tendu s’installa. Kohana levait lentement la tête vers sa sensei avec un éclat de défi qui dansait dans ses prunelles, attisé par les mots de Kyoko. L’idée d’un pari… d’un affrontement, même symbolique, faisait battre son cœur plus fort. Pas de peur, mais de l’adrénaline. Elle bascula lentement son épaule, laissant glisser l’épée de son dos jusqu’à sa main avec la souplesse d’un mouveme

Alors que les sens de la Chikara étaient encore exaltés de l'aventure qu'elle venait de vivre, Liya reconnu instantanément Chikara Heiwa, cela faisait un moment qu'elle ne l'avait pas vu mais cette dernière était assez connue pour être une figure mémorable de Konoha, elle s'en rappelait ainsi aisément. Liya regarda Kyoko, en signe d'approbation, la tension était véritablement palpable. Kyoko ét

Konohanasakuya… Un simple nom, résonnant au fond de toi comme un écho. Des souvenirs, les tiens, puis ceux d’un autre temps. Passé et présent s’entremêlaient dans tes pensées, une femme, une seule, des cheveux blonds, remodelant le monde pour le bien de sa propre civilisation. Un ordre, un cycle, une boucle, des guerres, des morts, des vainqueurs et des perdants. Puis fin

Ce n’est pas de mon ressort. Je ne suis qu’exécutrice, pas juge. Ils ont, sciemment ou non, caché d’anciennes kunoïchi, ce qui constitue un crime plus que suffisant pour de nombreuses punitions. Néanmoins, puisque vous vous êtes finalement rendues sans faire d’histoire j’imagine que cela pourrait jouer en leur faveur. L’Empire était strict, mais c’était nécessaire car la

Une heure passa, et tu jugeas qu’il était temps pour toi de reprendre la route. L’hospitalité de la Kitto avait été plus qu’appréciable, et tu pouvais désormais continuer ton périple sous un temps plus clément. Par la même occasion, tu te dis qu’il était peut-être profitable de demander à la vieille dame si elle savait quelque chose à propos de l’endroit que tu recherchais. Tu avais une vague idée

L’Okasan, tout aussi maîtrisée que son hôte secrète, suivit son exemple sans précipitation. Elle se leva avec grâce, dans un mouvement fluide, presque chorégraphié. Chaque geste empreint de cette élégance cultivée pendant des années. Aucun mot ne fut échangé, mais tout dans son attitude transpirait la maîtrise. Elle s’inclina ensuite, offrant à la femme face à elle une révérence parfaite, mesurée,

Les réponses de la Kitto n’étaient pas sans laisser un sourire marqué sur le visage de Shina. Guerrier et dirigeant n’étaient pas deux choses incompatibles, au contraire, qu’il y avait-il de plus respectueux qu’un Roi qui se bat pour les siens ? Kyoko ne semblait pas réaliser que la réalité était parfois toute autre, l’on ne décidait pas devenir dirigeant, l’on le devenait malgré soi. C’était la m

La mention du poids du corps ne faisait que confirmer quelque chose, elle ne pourrait pas le transporter comme bon lui semblait. Cette chose pesera son poids et Saori devra trouver un moyen de contourner ce problème. Merci pour ces aiguilles, elles me faciliteront grandement la tâche La Chikara avait toujours été fascinée par le poison Hattori et les merveilles, comme

Quelques minutes plus tard, dans l’arrière-boutique plongée dans une semi-obscurité, Chikara Hikaru attendait. Officiellement, il s’agissait de le protéger, d’évaluer les risques après l’attaque, mais en réalité on jaugeait son cas : avait-il franchi une limite ? Fallait-il le juger ? Il savait pertinemment que non. Les témoins étaient nombreux, il n’avait fait que se défendre, sans excès. Pourtan

Je ne suis peut-être pas aussi cruelle que ma réputation à l’extérieur ne le laisse à penser ? Dis-tu avant de pousser un long soupir. Sa mort ne t’apporterait rien et Miyuka n’était plus aussi dangereuse que par le passé. Celle que tu connaissais n’aurait tout simplement pas perdue aussi aisément face à une embuscade. Non, elle était plus fourbe et plus maligne que cela