Les réponses de la Kitto n’étaient pas sans laisser un sourire marqué sur le visage de Shina. Guerrier et dirigeant n’étaient pas deux choses incompatibles, au contraire, qu’il y avait-il de plus respectueux qu’un Roi qui se bat pour les siens ? Kyoko ne semblait pas réaliser que la réalité était parfois toute autre, l’on ne décidait pas devenir dirigeant, l’on le devenait malgré soi. C’était la m
Ils n’étaient que peu nombreux à voir le mal-être de la Reine. Tant de têtes étaient tombées face à Chizue sans qu’elle ne verse une larme… et pourtant, parfois, le passé brisait la carapace et perturbait ses émotions. Femme forte depuis trop jeune, elle n’aspirait plus aux mêmes rêves qu’enfant. Aujourd’hui, elle ne faisait que survivre, en tentant maladroitement de faire perdurer l’héritage des
Encore une fois je fis face au rejet. Depuis ma naissance notre famille n'a cessé de me repousser, même enfant.... Un semblant de tristesse m'avait envahi aux paroles de ma chère soeur.... N'étais-je voué qu'à être un monstre aux yeux de tous ? Personne n'a su comprendre mes agissements et ma nature profonde. Les derniers souvenirs que j'ai de ma tendre soeur, cette chaleur de nos corps collés...
Un coup d'oeil suffisait à faire comprendre à la blonde qu'elle avait décampé si rapidement qu'elle n'avait pas pu s'informer correctement sur la situation exacte du fort Aifu. Bien évidemment, elle se doutait que ce dernier était tombé, mais elle n'avait pas su en informer sa supérieure. Grosse boulette. Sourire stupide à ses lèvres, elle parla à voix basse. [quote moi="0"]Je suis désolée.[/q
Le théâtre des plaisirs... Est-ce que ce lieu existait encore ? Se demandait l'Okasan. Bien évidemment qu'à son époque ce genre de maison clos pullulait le quartier quartier des plaisirs. Plutôt ironique de retourner quasiment à la case départ, non ? Kazuko espérait que ce vestige soit bel et bien vide et inutilisé. Sinon, elle serait contrainte de se rajouter du travail supplémentaire à traquer l
Au loin, Kioko semblait souffrir le martyr et tandis que les deux Kumojins venaient t'indiquer qu'ils devaient partir, Hidemi s'en amusa en riant subtilement. Nous nous retrouverons donc au village, Général. L'Hattori le savait, le général de la glaive n'allait nullement apprécier cette nouvelle et elle s'en fichait complètement. Ce dont elle était certaine, c'est que
J’ai changé d’avis, tu n’auras pas ce plaisir maintenant. Cependant… Je saisis son bras, et tirais d’un coup sec, suffisamment fort pour lui déboîter l’épaule gauche. AAAAH ! Qu’est-ce qui te prend espèce de… ARRRHGH Sa phrase fut interrompue par un nouveau cri de douleur alors que je lui déboîtais tout aussi violemment l’autre épaule.
Encore un énième discours ennuyeux de la part du Kirishitan à l'imagination débordante, ce blabla incessant n'était plus qu'un simple sifflement aux oreilles du Kumojin en mission. Il se fichait radicalement des propos tenus par ce dernier et son esprit était occupé à une chose bien plus importante... Bien que l'homme était actuellement le protecteur officiel de la Okasan, il n'était pas ici pour
Ce que tu peux être morose ! Pas le moindre effort, en DEUX ANS. Il a de la chance, je n’étais pas une ingrate, mais l’idée de le faire passer par delà la falaise m’a traversé l’esprit de nombreuses fois… [quote moi="11"]Moi ? Irrésistible ? Allons… ça se remarque en un coup d’œil que tu préfères les hommes. Puis ton caractère… Cela cacherait-il un certain plaisir à se