Topics de Miwaku Genichi

Jaune, Nasana avait évoqué la bonne couleur. Tu ressentis une vague de satisfaction en l'entendant. Ta théorie se confirmait, elle était capable de ressentir les chakras environnants. Une nouvelle palette de possibilité s'offrait à toi. Et le risque de finir mort avant d'atteindre ton objectif s'amoindrissait. Finalement, tu avais bien fait de récupérer cette gamine étalée au milieu de la route av

La gamine te posa cette simple question : est-ce que ton équipe et ta sensei te manquait... Tu ne savais nullement comment répondre, car tu n'en étais pas certain au fond de toi. Tu avais appris à vivre de longues périodes sans les voir, tu avais toujours été un solitaire, et n'avais jamais eu de penchant réellement affectif pour les gens. Tu moins, c'était ce que tu laissais paraître. Mais la réa

Tu avais ordonné à Nasana de tenter de survivre au sein d'une nature hostile et dont le climat était plus que rude, pendant trois jours minimum. Bien évidemment, cela aurait pu tout simplement s'arrêter à ce niveau-là, mais comme tu lui avais précisé dès le premier jour de votre rencontre: elle allait souffrir et subir un entraînement qui n'était pas prévu pour une fillette d'une dizaine d'années.

Tu avais plongé tes yeux dans les siens, conscient que cela représenterait la dernière chose qu'il verrait. Conscient que ton unique attaque allait lui être fatale. Tu n'appréciais pas sa mort. Tu aurais davantage préféré que celui-ci rejoigne ton plan. Pour autant, lui semblait avoir voulu prendre l'ascendant sur toi, mais pire que ça, il avait désiré gardé une trace de toi. Cela, tu ne pouvais l

Je vois! Perce que je suis un Hattori, vous me jugez directement, comme un tueur sanguinaire. Honnêtement je n’en ai rien à foutre de ces connards totalement dépassés dans leur temps. Je ne vous ferai aucun mal et même si je ne suis pas en état. Si un garde de la frontière ose vous approchez. Je lui éclate le tronche ! En voilà quelque chose de pas commun. Cette fille a

Il n'y avait aucune bonne solution, aucun choix qui ne satisferait jamais la situation qu'il avait créé entre lui et son ami. Caché dans l'eau, le courant électrique le faisait souffrir. Il se retenait de ne pas surgir. Le temps lui paraissait horriblement long, mais vint le moment ou ce dernier se dissipa. Au lieu de sortir, il patienta encore. Un choc se fît entendre. Quelque chose avait frappé

De nouveaux questionnements m'étaient offert concernant Soshi. Comment le lapin aurait-il pu lui apposer de tel sceaux ? C'était impossible, comme venait de le dire la caméléon, c'était un Hattori ! L'idée semblait incongrue, mais le lapin l'était également, alors où s'arrêtait la limite du possible avec un tel individu ? [quote moi="1"]Je ne peux pas plus t'aider Soshi... Je t'ai offert toutes

Nous avions profité durant une bonne heure des remous et de la fraîcheur qu'offrait la rivière afin d'ôter l'intégralité de la saleté et notre odeur amère. Mais également, de revigorer nos muscles au vu des nombreux kilomètres qui nous restait à parcourir. Je devais avouer que j'aurai bien profité davantage, mais, si nous ne désirions pas reperdre l'avancé que nous avions réussit à récupérer, il n

Courir dans des conditions plus qu’agréables faisaient passer notre course pour une promenade de santé,m. Ça me faisait un peu penser à mes entraînements dans la montagne à toujours repousser plus loin les limites pour atteindre une endurance qui me permettait de garder un rythme très élevés pendant des heures entières. Comme quoi, ne pas se laisser vivre avait tout de même de sérieux avantages. J

L’absence de réponse fut loin d’être une surprise pour le Bellâtre, surtout venant de la part d’une fanatique. Par principe, les croyances n’étaient pas un problème… C’était même un art de la conversation habile et bien connu de la vipère. Le souci était la religion. Prêtresse oui, mais prêtresse de quoi ? Quelles valeurs prêchait-elle ? Et surtout, qu’elle place occupait-elle auprès de l’

Oui un sacré bout de femme...la prochaine fois je payerai, une sale habitude de ne jamais rien payer vu que je gérais ce genre d’établissement. J’avais accumulé une certaine fortune don je ne me servais pas. Je m’installais dans un vrai lit... c’était assez confortable mais j’allais éviter de m’y faire de trop et je m’endormais en souriant aux dernières paroles de Genich

Il écoutait un court instant et me demandait de le suivre vers un endroit plus discret sans doute. On rejoignait un parc et il s’asseyait au sol, j’en fis de même pour l’écouter. Sa connaissance du monde était normal, il avait sans doute dû le parcourir en ces deux années d’absence. Il parlait des trois possibilité. La seconde et la troisième serait moins risqué. Ce mettre à dos konoha lors de not