Si Nori n'arrivait plus à aligner un seul, ce n'était pas un hasard. Lorsqu'il tendait sa jarre encore à moitié pleine, ou à moitié vide. Le bel étalon en face de lui se permettait de lui asséner un coup violent dans la nuque faisant croire qu'il prenait le sake que lui offrait l'homme de la foudre de bon coeur. Puis, survint le néant, le noir... Comme s'il flottait dans l'espace temps, ne se
Et... et tu veux discuter... ¤hic¤ de quoi ? T'façon la... la papote c'est pour... pour... les gays (femmes) ! Et merde ! Maintenant c'était certain, le destin de l'homme se scellait au moment où il s'insultait lui-même. Tandis que la vipère s'éclipsait du point de vue du polchtron, le patron et deux hommes entendant cette remarque désobligeante s'avançaient vers l'Hattori.
Tu te crispais à sa remarque, cela était déjà assez humiliant de devoir te comporter ainsi, alors qu'elle n'en rajoutait pas ! Tu sentais que la cohabitation allait être extrêmement difficile au départ, toi qui avait l'habitude au calme et surtout à la solitude. Une fois que Madame finissait de monter à l'étage suivit de ta personne, tu lui faisais une petite visite très brève de l'appartem
Prenant une grande inspiration, l'Hattori fixait le barman: Sers moi un autre verre avant que je décolle. Ne serait-il pas plus judicieux de partir maintenant ? Ne serait-il pas plus judicieux que tu la boucle ? Tomi alias Willston ne cherchait pas plus loin et s'exécutait: [quote moi="12"]Je vous ressers la même cho
Sous sa capuche noirâtre, la femme se mit alors à sourire. Il n'était que peu courant de croiser un tel phénomène au sein d'un Empire dirigé par une femme. Elle observa alors l'homme droit dans les yeux et se mit à parler au sein même de son esprit : [quote moi="0"]Toi qui déteste la femme pour attiser les flammes en l'homme, je vais réécrire ta vie et échanger tes valeurs. À partir de maintena
Le Bellâtre fixa la scène. A quoi pensait-il derrière ses yeux de glace ? Nul ne pouvait réellement le savoir. Mais les choses prenaient une tournure étrange, imprévisible. Et il n’aimait guère cela. Aller voir l’impératrice pour régler ce problème ? C’était une possibilité. Bien que dans l’enfance, Raiko avait cotoyé Shizuka, cette dernière avait toujours demeuré difficilement prévisible. D’autan
Alors que la kunoichi attendait patiemment l’intervention de son jeune collège, l’aînée de la pièce prit la parole. Cette initiative remarquée annonça de façon officielle la fin de la mission. Bien que de nombreuses ombres persistaient, Kagero comprit par cette intervention qu’elle devait céder sa place à d’autres. Toutefois, n’aimant pas agir avec légèreté, elle fit suite à ces propos et assuma s
Avec le cocktail de la "maison" tous buvaient pour savoir ce que c'était, un vrai délice pour les papilles et qui donnait beaucoup trop vite mal à la tête ! Nori insultait la pauvre serveuse ayant l'alcool mauvais, Yuhei semblait un peu plus joyeux et quant à Nobuhisa, il se doutait de quel alcool le Maître des lieux parlaient et faisait semblant de le boire profitant de se rapprocher encore plus
Après le départ d'Hattori Nori, Kuraso et Raiko signaient encore les papiers concernant la reprise de tous les bars à l'exception du dernier chef-d'œuvre de notre homme. Une les informations reçu de la part du Bellâtre, les deux hommes se saluèrent distinctement. Le Miwaku faisait une révérence des plus gracieuses dans un mouvement léger inclinant la tête avec respect tandis que l'Hattori lui fais
Tss... Seulement des traces de boue en plein cagnard... Mais ça ne signifie rien. Il se dressait à nouveau furieux de ne rien trouver pour le moment. D'un pas décidé il commençait à partir en direction de la résidence des vieux. On suit ton idée, de toute façon où on en est les autres ne peuvent que faire mieux. L'Hattori réfléchissait tout de mê
Peu de temps suite à son arrivé, la seule femme du groupe sentit le besoin de s'inclinée face aux autres suite à sa présentation. Kaemon savait que trop bien pourquoi elle ressentait ce besoin, les Miwaku, tout comme les Shinayaka étaient évalués comme des moins que rien au sein de ce village, sauf que pour les femmes Miwaku, c'était encore pire. Dégoûté par ce ressentiment d'obligeance de la part
Dans cette position de supériorité absolue, le Bellâtre fixait de son regard de glace son amant de toujours. Sa lame sous sa gorge, sa vie sous son joug. En un instant, il avait le pouvoir de balayer son existence. Le cœur de l’oiseau azuré ne fit qu’un bon dans sa poitrine, tandis que sa gorge se nouait au rythme du temps. Chaques secondes rendait l’événement plus troublant encore que des sentime