Koya, la bastide du désert

Pas plus qu'un autre, je dois l'avouer... Shimazu se retrouvait en train de s'expliquer à une ennemie dans un désert inconnu ? Il n'en revenait pas. Il se mit à sourire pour répondre à la femme : Vous parlez de votre promesse de transmettre le Chakra ? J'ai cru en entendre parler... [quote moi="17"]Je crains que ce mensonge finisse par se retour

Le temps paraît long. Elle est partie depuis un bon moment. J’ai dessiné sur le sol, jeté des cailloux, volé quelques passants en attendant qu’elle revienne. Du moins, je l’espérais… j’aimerai bien avoir un peu de liquidité car ce que je vais revendre va me rapporter tout de même moins. Ils savent que ce n’est pas clean et ils diminuent fortement le prix d’achat. C’est du vol, mais je fais la même

Si je le demande c’est que je ne connais pas, quelle déduction ma belle! J’ai en effet entendu parlé de cet oasis mais je n’y avais jamais mit un pied. Ça me ch agréa et je verrai sans doute des personnes intéressantes pour me développer encore et encore. Puis, je ne voulais plus rester dans cette citadelle maudite, il y avait mieux à faire à l’extérieur pour les richesses aussi. Elle monte alo

Elle se tenait là, sur la grande place, faisant un discours des plus éloquents. Tu n'avais d'yeux que pour elle à ce moment tant tu admirais cette femme ! Tu lui étais très reconnaissante de t'avoir sauver jadis, alors qu'elle avait le choix de te laisser mourir. Tu observais tout autour de toi, les gens qui se battaient, les autres totalement apeurés par le discours. Ton point de vue ? La cruauté

La matinée s’était déroulée sans rien d’important. Un peu comme toutes les matinées qu’on vivait en fait. Il faut dire que notre maison se trouvait dans un endroit reculé de Suna. Il fallait passer par des ruelles, puis d’autres ruelles plus étroites, avant de dégager un panneau de bois pour y trouver un chemin miteux. C’était la seule porte de ce chemin. Hiroko-neesan m’avait dit qu’on se trouvai

S’il était connaisseur de la cité, il devait plus ou moins savoir de qui je parlais. Un ancien noble déchu vivant désormais dans ce trou. Ce pauvre type n’avait plus que son argent, il avait perdu tout le reste. Mais maintenant il semblait prendre un malin plaisir à nuire aux familles civiles. Enlèvement, vol, meurtre, il m’avait proposé des jobs de toute sorte lors de notre rencontre. Ce genre de

Entendu, madame. Un caprice... Le pire c'était qu'elle ne le cachait même pas ! Quelle femme au grand caractère !!! Je ne pouvais que l'admirer... Fantasmer... Elle était si proche et pourtant si loin de mon lit... Quelle déception qui me brisait le cœur ! Encore ces maudits Konohajins... Quelle plaie. Plus les paroles de la vipère se déferlaien

[url=https://shinobi-rpg.ovh/2067/p1/poursuite-du-priple.html]Suite de ce RP.[/hrp] Le réveil se voulait difficile ce matin à Matsumoto. En réalité, le poids du voyage devenait de plus en plus lourd sur mes épaules, la fatigue et la faim s'accumulaient. Je n'en étais qu'à environs la moitié et déjà, mon corps me suppliait d'arrêter. Pourtant, j'ai vécu des entrainements beaucoup plus

Le borgne n’avait daigné répondre à la demande de l’Abura. Son sourire éphémère et son silence se passaient de commentaire. Le veuf savourait la mort de Tsuge Shosu, le parrain septentrional, dans une demi-euphorie, une demie-déception : sa vengeance était enfin accomplie, bien loin de l’apothéose qu'il avait prévu. La mission importait avant tout, ils se trouvaient dans la gueule du loup. Les gal

Elle l'entendait hurler. Quel ingrat ce type, qu'est-ce que Yuko pouvait lui trouver ? Il y avait beaucoup d'hommes bien plus intéressant, mais là n'était pas la question pour le moment. Elle se mettait en route pour commencer à placer ses hommes à des points stratégiques. [quote moi="3"]Rassemblement ! On a une mission du "Boss" extrêmement importante et capitale pour ce qui adviendra de notr

Une fois à l'auberge, comme à chaque fois que je me retrouvais seule avec Sayuri, nos corps connaissaient l'extase suprême. Souvent, nous faisions venir diverse personnes pour nous accompagner dans ce moment, mais jamais ce n'était aussi bien que lorsque nous étions tous les deux. Je pouvais être moi-même, retirer mon voile sans crainte. J'aimais tellement cette femme, au point qu'elle soit là seu

Gekido avait fait la meilleure chose à faire dans ces conditions : attraper la demoiselle dans ses bras et murmurer des mots doux. Bien qu'il tenta de lui remonter le moral, Kazami poursuivit : Mais il était sensé naître à Konoha ! Dans un magnifique village entouré de son clan et de sa famille et là ... Kazami pleura de plus belle. Elle savait très bien ce qui atten