Topics de Kirishitan Utsuro

Après plusieurs minutes à essayé de capté cette silhouette. Commençait à douté de son état d'esprit. Il était quasiment sur de ne pas être sous l'emprise d'un genjutsu. Cette art horrible qui lui laissé de mauvais souvenir. Et pourtant, son instinct lui criait qu'il y avait quelqu'un qui l'observer. Pire encore, elle lui demandait de... les rejoindrais !? Cette voix avait résonné dans son esprit a

Méditation. Le bruit de l'eau qui coule, un vent léger qui souffle dans nos cheveux, la chaleur du soleil ardent nous réchauffant le cœur, les petits animaux qui jouaient ensemble et la tranquillité de la forêt. Une douce mélodie qui nous enivre et nous rappel notre ancienne maison, les monts Tsuchi. Nous profitons pleinement de cette instant paisible afin de pouvoir communiquer avec notre mère. I

Finalement chaque conseil n'avais été point perdu, chacun de ces soldats respectait bien la règle qu'il avait imposé a l'époque, la discrétion il n'y avait rien de mieux. Il laissait chacun des membres lui souhaiter un au-revoir, avant de reprendre une cigarette et d'en fumer une nouvelle reprenant la lecture des rapports qui lui avait été donné et qui était proche pour certain d'un débilité sans

Entendu Ryu. N'oubliez pas que nous sommes sans Hokage à cet instant et que les décisions vous appartiennent tout autant... Je saluais l'Okasan avant de me diriger vers la porte. J'avais une autre affaire à régler, tout aussi urgente que la situation actuelle. Je dois y aller. J'ai à faire. Le temps de sortir, de fermer la porte, je continuais de

En écoutant les explications de l'homme, l'Okasan acquiesçait simplement d'une gestuelle de la tête. Déposée délicatement à même le sol elle vit le brave prendre son arme en main et secourir le maître du village de la feuille dans l'instant qui suit. Kitsune, a-t-il dit ? Et s'enfermer à double tour ? Elle ne pouvait se lever, mais le Konohajin semble avoir fait le néce

Bien que la jeune prenait des risques, Shimazu se savait suffisamment influent pour la protéger des Sunajins. Il en était certain, l'alliance avec Suna était importante et Konoha devait préparer un potentiel conflit avec un Kumo grandissant... Bien que la cheffe du village semblait l'omettre, l'Empire venait de conquérir Kiri pour des raisons ambigües et bien que cette décision semblait être accep

[i]Les deux ANBU et Tetsuko reprirent donc leur chemin, sous une chaleur harassante ou le vent balayait le sable, fouettant vêtements et sans doute visage de la Uzumaki. Pour les ANBU, leurs masques les protégeaient un peu. La chaleur faisait danser comme des images floues sur le sable brûlant, alors que le soleil était au plus haut dans le ciel. Ryu avançait sans se plaindre à l’affût du moindre

Elle était prête, elle s’était entraînée et avait revu son protocole comme à son habitude d’une manière devenue automatique et presque robotique. La forêt n’était même pas un problème à ses yeux, elle qui l’a connue, l’a cherchée et s’est finalement familiarisée avec, la transformant en véritable terrain de jeu mortel. Elle savait que la traversée allait être longue et pourtant, c’était sûrement

Au signal de l'Anbu, ils partirent d'un seul mouvement. Cette sensation, qu'elle avait déjà eue à sa première mission mêlant les Rihatsu, la reprit. Un mélange d'appréhension, d'excitation et d'impatience. Très bien. Elle une présence derrière elle, et avant qu'elle ait le temps de saluer la personne, cette dernière partit à toute vitesse, focalisée sur son objectif. A

Les choses ont bien changé. Je rêvais de servir Konoha de n’importe quelle manière. Le monde s’était assombri depuis le départ de la Prêtresse et j’ai fini par rencontrer Oni, cet étrange Jônin qui m’a fait comprendre l’importance de la nouvelle génération. Les aléas de la vie, les guerres internes ou encore l’absence de ces amis déchus m’ont amené vers un chemin bien différent : l’Anbu. Une place

Bien... Son les dernier mots que l'aveugle prononça avant de détourner ces pensée de l'autre patiente. Les dernier mots le travailler bien plus. "Inutile de s'apitoyer" avait-elle dit. l'aveugle comprenait très bien le sous-entendu. Aller de l'avant, continuer à vivre cette vie, embuche après embuche. Les deux individu était finalement très différent. L'aveugle n'avait plu

Il faisait nuit et froid. Aucune lumière apparente dans cette obscurité qui nous rongeait. Si pour plaire nous n'avions que notre beauté, elle s'envolait déchirait par la puissance d'une flèche qui aurait pu nous coûter la vie. Tapis dans l'ombre, nous observions les éclats de la lune ce soir là. Mère nature nous offrait un spectacle de grandiose, nous laissant dans un conflit des plus déplaisant.