Les heures passèrent, tu avais noté chaque détail, allant de l’élasticité de la peau jusqu’à la structure même de ce qu’il restait de chakra au sein du corps. Une fois un bilan complet établi, tu commenças divers tests. Tout d’abord, tu tentas de reproduire ce que tu avais accomplie précédemment avec les morceaux de peau factices. Tu créas alors une plaie sur la peau du patient, puis, à l’aide de
Une silhouette enfantine s'immisce dans les dialogues, sous le regard perçant d'un vieil homme soupçonneux dont la méfiance coutumière semble soudain se renforcer. Il n'a jamais été homme à accorder facilement sa confiance, et les apparences l'indisposent autant que les visages inconnus, surtout lorsqu'une chevelure arbore des nuances qui trahissent l'appartenance à un clan dont il ne peut échappe
Je comprends… Bien que j’aurais aimé que tu me fasses plus confiance sur ce coup là. Tu ne pouvais cacher ta déception, ta voix, tout comme ton regard trahissaient tes sentiments. Pour une fois que tu parvenais à faire quelque chose d’incroyable, tu t’attendais à ce que ta meilleure amie te soutienne, au lieu de cela, elle semble effrayée. Ne te faisait-elle pas confianc
Fumika était une femme douce qui avait une aura si bienveillante qu'elle semblait calmer et les nombreux stress de la pauvre Akiko... Depuis que sa mère ne pouvait plus parler, la Gaikotsu était enfermée dans une bulle de silence où elle redirigeait la faute sur elle-même. Au fond, Kanashisa n'avait jamais été à l'origine de ses problèmes et en elle, elle portait bien un lourd trauma. Il était dif
Impossible d'imaginer ce que Hinae a pu ressentir ce soir-là. Une blessure infligée par sa propre fille. Une gamine sauvée d'une terre étrangère ayant vécu de terribles sévices. Tu étais présent avec elle, le soir où Masaru avait sévi. Tu avais vu la détermination de cette Chikara pour ces enfants. Non, je ne pouvais même pas imaginer ce qu'elle a ressenti alors qu'Akiko levait la main contre sa p
Dès lors que Yukia t’en donna l’autorisation, tu te précipitas à travers les couloirs pour aller chercher ce qu’il te fallait dans une réserve non loin des urgences. Manqua une nouvelle fois de renverser l’un de tes collègues, mais pas le temps de t’arrêter cette fois, tu avais une vraie raison de courir cette fois ! Aussitôt le matériel récupéré, tu te précipitas dans l’autre sens pour revenir à