Fumika était une femme douce qui avait une aura si bienveillante qu'elle semblait calmer et les nombreux stress de la pauvre Akiko... Depuis que sa mère ne pouvait plus parler, la Gaikotsu était enfermée dans une bulle de silence où elle redirigeait la faute sur elle-même. Au fond, Kanashisa n'avait jamais été à l'origine de ses problèmes et en elle, elle portait bien un lourd trauma. Il était dif
Impossible d'imaginer ce que Hinae a pu ressentir ce soir-là. Une blessure infligée par sa propre fille. Une gamine sauvée d'une terre étrangère ayant vécu de terribles sévices. Tu étais présent avec elle, le soir où Masaru avait sévi. Tu avais vu la détermination de cette Chikara pour ces enfants. Non, je ne pouvais même pas imaginer ce qu'elle a ressenti alors qu'Akiko levait la main contre sa p
Dès lors que Yukia t’en donna l’autorisation, tu te précipitas à travers les couloirs pour aller chercher ce qu’il te fallait dans une réserve non loin des urgences. Manqua une nouvelle fois de renverser l’un de tes collègues, mais pas le temps de t’arrêter cette fois, tu avais une vraie raison de courir cette fois ! Aussitôt le matériel récupéré, tu te précipitas dans l’autre sens pour revenir à
Outre sa capacité à enseigner, Takehiko-sama avait la fâcheuse tendance à parler… beaucoup. Il fallait être bien attentif pour ne rien rater. Même si tu n’étais pas tout à fait d’accord avec tout ses dires, car ta logique te faisait penser le contraire, tu préférais te taire et écouter, c’était lui le professeur après tout, il ne fallait pas prendre les même mauvaises habitudes que ta sœur… Qui pl
Si tu n’es plus aussi faible que par le passé, comment expliques-tu ta position actuelle ? Un simple pied me suffit à te garder au sol, et je ne suis pourtant pas une personne très forte. Ton regard froid toujours posé sur elle, tu poursuivis. [quote moi="3"]Si tu veux vraiment être utile, persévères dans tes domaines de prédilection… Tu n’es pas une combattante, et tu
[g]Ce fut d'une contenance défraîchie, les membres aussi lourds qu'un faucon halbrené, qu'il rejoignit l'auditoire. [g]Les paupières semi-closes, le postère douloureusement assis sur une chaise pareillement agréable qu'un caquetoire, il prit alors sur lui pour porter aux nues la personne qu'il était venu soutenir. [g]Puis dans ce que nous aurions pu énonc