Quartiers claniques

Est-ce que je venais de la blesser ? Qui étais-je pour la juger sans la connaître ? Je regrettais un peu, beaucoup trop même ma question déplacée. Je voulais m'excuser, mais elle ne me laissait pas le temps et me racontait tout son passé qui était tout autant cruel que celui de mes confrères Gaikotsu... Je l'écoutais très attentivement sur le moindre détail. Toutes ses épreuves me semblaient plus

Tapis dans l'obscurité, je n'avais pas vraiment aperçu toutes les cicatrices qui parsemaient le visage de l'homme en face de moi. Ce n'est que quand il y fit vaguement allusion que je constatai avec une once de dégoût les multiples balafres qui constituaient son visage déjà bien abîmé. Pas de doute ce n'était pas un lâche lui ! C'était le genre de combattant que seul la mort pouvait arrêter et enc

Ainsi, ce n'était pas un pur-sang de la famille Uzumaki ? Voilà qui expliquait la couleur de ses cheveux alors. Les ayant hérité de sa mère cela avait du lui valoir de nombreux reproches de la part des anciens. Attachés à leurs traditions, ils gardaient toujours cet esprit vieux jeu, dépassé par la nouvelle génération de Konoha et de ses nouveaux arrivants. C'était un peu pareil du côté des Chikar

La table dressée, les baguettes bien alignées et les divers mets servis, Seiji avait l'eau à la bouche. Sa mère excellente cuisinière qu'elle était avait préparé tout cela plus tôt dans la matinée avec des légumes acheté au marché. Le mari étant enfin rentré de mission après plusieurs semaines d'absence, on fêtait comme il se devait son retour. Blessé à la jambe droite, il se déplaçait depuis peu

Ahah ! Je plaide coupable pour l’odeur de transpiration ! Mais mes appartements ont toujours été d’une organisation impeccable. En parlant d’appartement, il va falloir que j’aille rendre visite dans les quartiers kitto assez rapidement. Il me faudra un pied-à-terre assez vite ici. J’ai bien quelques personnes chez qui rester en attendant, mais il me faudra un endroit où

Tu restes calme et stoïque face à cet homme qui éclate de rire. Se moquait-il de toi où était-ce un genre de rire satisfait ? Peu importe, tu prenais sur toi pour le moment, tu te contentais de l'écouter. Non, tu ne prononçais pas ces mots à la légère, ils avaient une réel importance pour toi, qu'importait si le village t'était reconnaissant ou non, tu espérais au moins être un exemple pour les au

C'était un matin pluvieux. Les gouttes d'eau tombant en un fil continu provoquait un son assourdissant au contact du sol, si bien que Seiji eût peur de mettre ne serait ce le pied dehors. Assis sur son lit, la couverture le recouvrant, il ne se lassait pas de ce paysage à la fois si violent et reposant. Un crayon à la main et son petit carnet dans l'autre, il n'avait pas trouvé la force pour dessi

[g][center]Même après avoir fini, ce fut dans le silence qu'il débarrassa la table. Quand il avait tout posé dans le lavabo, faisant s'écouler l'eau chaude, il commença à faire la vaisselle en utilisant une éponge et du savon pour frotter tous les couverts. Après avoir terminé, il s’essuya les mains avec un mouchoir après l’avoir jeté à la poubelle, s'assurant que la porte d’entrée était bien verr

Les îles de Tori, une terre ancestrale, interdite aux étrangers. Un archipel mystérieux, un refuge pour les tueurs et les démons, dans un monde constitué de pays rivaux dont les villages et leurs clans obéissent à un Kage, détenteur pour certain d’un pouvoir absolu sur leur contrée. La paix est assurée par les Shinobis, maîtres dans l’art de manier les éléments et qui ont pour tâche la protect

Bien qu'innocente, la jeune Kitto était bien têtu. Enfin… têtu était un bien grand mot. Non, je dirais qu'elle était plus bornée. Bornée par toutes ses promesses qu'elle avait eu le malheur de faire. Je ne savais plus trop quoi faire d'elle. Nous n'étions pas sur la même longueur d'onde et vu sa manière d'agir je pense que nous le serions jamais. La simple mention péjorative des dirigeants avait f

Les choses avaient rapidement changées et voilà qu’un nouveau Kirishitandono allait prendre place au village. Il n’était pas vraiment de bonne humeur en pensant à la dernière fois qu’il avait vu le précédent et la manière dont s’est terminée la réunion, mais il ne pouvait que se sentir content de voir son amie accéder à ce poste. Fumika était pour le moins discrète mais elle avait des capacités ca

La femme en face de toi ne te comprenait visiblement pas dans ta démarche. Tu lui lançais un regard de haine quand elle parlait de sa fille comme d'un vulgaire objet qui devait servir à des convictions débiles familiales. Tu serrais tes poings, grinçant tes dents avec dégoûts. Les adultes ne juraient que par le mensonge vivant eux même dans le déni de leur acte ! C'était cette exemple que voulait