Quartier du plaisir

Bientôt il ne restait que trois jars dans la pièce. Et les deux nigauts constataient la première qui était cassée sur le bas côté laissant couler le vin. Ils étaient tellement focaliser sur celui-là qu'il ne se rendait pas compte du minuscule trou de la jar suivante, l'un d'eux prenait celle où Kohana était cachée et ne bronchait pas sur le poids de la marchandise. La petite avait toujours les yeu

Tu souris à la bienveillance de Kuraso. C'était un fait, il connaissait bien mieux les effets de l'alcool que toi. Il savait donc aussi très bien comment les contrer ou du moins les rendre moins agressifs, le lendemain, au réveil. La gueule de bois était un état que tu n'avais jamais connu et vraiment, cela ne te donner pas vraiment envie quand tu voyais Nobuhisa le vivre de pleins fouet. Il buvai

Le spectacle de notre promotion sur notre nouvel album se faisait dans la plus belle et prestigieuse salle de spectacle de tout Kumo. Une très grande scène, avec des employés de très bon qualités et des places de choix. On avait même des loges différentes pour la rencontre avec nos fans. C'était la THE scène parfaite de nos rêves pour embraser nos fans, une nouvelle fois, avant qu'on prenne une pa

On disait qu’on était un clan de taré, mais je pense que Kumo en est le regroupement total...Ça devenait de plus en plus grave avec tout ce que je pouvais entendre et je voulais clairement que ça change en mieux. Pour le moment, je n’étais personne pour dire de changer une infime parti de notre cité. Je vais devoir y travailler. En tout cas, j’étais en paix pour le moment vu que la gamine allait p

[g]Enfin, c’était ce qu’il avait fait croire.[/center] L’ennuie, les tourments amoureux, l’absence de changement, avait eu raison de la patience du Bellâtre. Il avait alors imaginé un Kumo sans lui, le fils indigne, l’héritier de la honte. Une vie loin de Hattori Nori, une vie loin des intrigues de l’Empire, une vie loin de sa propre identité. Mais s’il devait partir, il devait le f

L'Hattori saisissait la douce main de son amour après que celui-ci lui replaçait une mèche de cheveux qui gênait son visage. Il l'attirait à lui avant de le regarder droit dans les yeux. J'attendrais ta visite pour que l'on puisse mettre les croquis et les travaux en place. Et que l'on discute également de ce que tu souhaites en paiement. Ce sera tout pour l'instant. Il

Le Bellâtre affichait un sourire amusé. Quel drôle de chien des Hattori avait-il déniché par la force des choses ? Stupide, aboyant des inepties sans aucun sens logique, dénué de tout savoir vivre ou de toutes caractéristiques propres à l’homme. Terrifiant, et stupéfiant. L’Androgyne devait l’avouer, en termes d’endoctrinement et de conditionnement, le clan des Serpents aux yeux d’or n’avait pas p

Observant son interlocutrice de haut, Hidemi ne pouvait se retenir, elle souriait face à une telle scène sans vraiment pouvoir se contenir. Cette fois, tu ne t'en sortiras pas, Kazuna. Tu as de la chance, Masashi est trop bon, il te gardera en vie. Mais je ferai en sorte de te présenter à tes anciens camarades, les sauvages... Sans aucune vergogne, l'intendante pouv

L’art de la manipulation était un art particulier, puisqu’il avait irrémédiablement besoin d’un partenaire, d’une cible. Un art vivant, entre autres, que le Bellâtre maîtrisait les lettres de « noblesse ». Il avait su titiller l’intérêt de la Hattori, l’amenant tranquillement sur son terrain, faisant de lui un être plus important vivant, que mort. Et le tout, dissimulé derrière un sourire doux et

Un dernier regard s’échangeait entre l’Oiseau et l’Homme au sang bleu. Le Bellâtre souriait, à défaut de pleurer. Avec le temps, il avait perdu la force de pleurer, mais la douleur n’avait jamais faibli, elle. Il s’était juste habitué à sa présence, et il la saluait comme une vieille amie. Un homme de l’Ombre, c’était ce qu’il était, et il allait en demeurer ainsi, tel était la volonté des Hattori

J’entendais Nori hurler et dire clairement que nous étions des Hattori, mais quel boulet pfff. Le tout était de passer quand même incognito afin de ne pas révéler nos identités. Personnes n’aurait pu réellement nous identifier et les paroles de paria valaient rien du tout à côté de la nôtre... je sortais de l’arène et je me dirigeais vers la caisse pleine de pognon que j’embarquais. Je voyais a

Le souffle de ma nouvelle camarade devenait de plus en plus profond et lent. Doucement, elle s'endormait, son corps nue contre le mien qui était tout aussi dévêtu. Je penchai légèrement la tête afin d'apercevoir la sienne, poser contre moi. Ses yeux étaient clos, aidé par la fumée elle était plongé dans un sommeil relaxant. Elle était belle et son visage semblait paisible. J'aurai aimé que les her