Quartier du plaisir

Les masques rouges avait monté la cadense au niveau des menaces. Il n'avait pas de temps à perdre avec un homme faible et prétentieux. Si ce que l'on avait dit sur lui était vrai, les masques rouges devait en avoir la certitude. Il s'eloignerent très légèrement et observerent. Les choses était donc vrai. Il changeait de forme sans utiliser de Genjutsu. [quote moi="9"]Bien. Donc nous te confion

L'atmosphère du lieu était à son apogée, la seule source de lumière avait un rôle des plus importante pour la mise en scène de tout le spectacle... La flamme tremblante d'une vie fragile, animait les murs de leurs ombres mouvante, donnant un air démoniaque au visage de Raiko... Les paroles du nouveau 'maître' de Genichi, sonnait comme un poème sur la noirceur... La peur... Le jeune Miwaku aimait p

Raiko la regarda partir, d'un air morne. Ainsi l'aigle croyait avoir attrapé dans ses serres le serpent qui rôde ? Non, il n'avait fait que s'emmêler les ailes dans un nid de couleuvres. Un nom n'était pas tout, c'est ce que, tout sa vie, Raiko avait tenté de se prouver. Fils de Chihiro, il n'avait jamais tenté de l'impressionner. Au contraire, il avait tout fait pour salir son hérita

Ses sentiments ne sont pas les tiens.. Genichi.. Elle souhaita répondre, mais préféra le silence. Il devait comprendre. L'avenir semblait s'ouvrir à lui. Masashi n'était pas du genre à déterminer un homme selon son clan. Il allait savoir lui offrir son indulgence. Elle en était certaine. Nous nous reverrons, Genichi. Ailleurs.. J'en suis certaine. Elle le savait, l'h

Hidemi soupira. Elle était contente de constater que son élève avait dorénavant les bases. Elle allait ainsi pouvoir le laisser se concentrer sur cela. Cet entraînement était terminé. Ainsi, d'une voix limite lassée, elle prit la parole : [quote moi="6"]Je reviendrai à la fin du mois pour constater où en est ton entraînement. En mission, nous ne devons pas parler de cela. Ce don ne doit pas

N'oublie pas ce que ton maître aime. Cette pensée me traversa l'esprit alors que je sortais de la demeure de mon maître sans faire le moindre bruit. Mon maître, un Hattori de lignée pur et de sang royal, avait quitté la demeure afin de répondre à une convocation mais la femme qu'il avait dégoté durant sa sortie nocturne dormait encore dans sa chambre. Et, en bon gentleman, je ne devais pas

Asae écouta silencieusement chaque mot de sa matriarche. Était-ce des sermons ? Il était facile pour elle de parler avec tant d'assurance... Elle en avait l'habitude, vu son âge et sa position. Et elle n'était qu'une jeune femme perdue qui cherchait un appui pour rester droite dans ce monde impitoyable. Elle ne le savait pas encore mais ce monde était bien plus cruel qu'elle ne le croyait. Le pou

Raiko resta de marbre. Le proxénète n'était que de six ans son ainé mais il sentait qu'il pourrait considérer Jun comme sa fille. Néanmoins, l'entretient n'était pas encore terminé. [quote moi="0"]Un homme vous a-t-il déjà vu nue, Jun ? Une question qui pouvait paraître bête aux premiers abords mais qui avait son importance, lorsque Raiko décidait d'embaucher. D'un

Un dialogue de sourds dans lequel se retrouvait Asae, en spectatrice impuissante. Son regard se portait encore et toujours sur ce visage impassible, ce masque parfait que portait cet homme, Raiko. Qui était-il vraiment ? Son regard était effrayant. Tout chez lui vouloir inspirer la confiance mais la jeune femme sentait que quelque chose clochait. En silence, elle chercha tous les sens cachés de ch

Ce « comme tu le souhaites », Asae le comprit comme un « fais le ». Pour elle, c'était simple : rendre service à l'Oka-Sân ne pouvait lui apporter que de bonnes choses. Et organiser ce voyage lui serait un parfait exercice. Je vous tiendrais au courant de l'avancée des préparatifs. Ou comment dire, « je vais le faire » avec tact. Après quoi la vieille geisha l'autoris