Malgré ma grande détermination exprimée lors de cet entretien, Nami s'obstina à me refuser toute implication dans la suite de cette affaire. Je sentais que désormais, pas le moindre argument ne pourrais la convaincre. Je décida donc le lâcher l'affaire en face d'elle sans pour autant passer à autre chose dans ma tête. Tout en me frottant le haut du crâne comme pour me forcer à me remémorer cet
Pendu aux lèvres de Fumika, je ne pus me retenir de faire un petit bond en l'air lorsqu'elle accepta avec grande sincérité ma requête. Même si elle ne promettait pas l'impossible, je n'en restais pas moins énormément soulagée. Si cela était tel que je le souhaitais alors les économies de notre clan ne pourrait que mieux se porter ! L'argent mis de côté nous permettrait alors d'investir dans différ
Encore un énième discours ennuyeux de la part du Kirishitan à l'imagination débordante, ce blabla incessant n'était plus qu'un simple sifflement aux oreilles du Kumojin en mission. Il se fichait radicalement des propos tenus par ce dernier et son esprit était occupé à une chose bien plus importante... Bien que l'homme était actuellement le protecteur officiel de la Okasan, il n'était pas ici pour
Mal j'imagine... Très mal. Il avait dit cela froidement, comme s'il m'en tenait responsable. La situation de cette fille semblait lui tenir à cœur et cela ne pouvait qu'émouvoir la jeune femme qui était en moi. Mais que pouvais-je bien faire ? Je venais de rentrer en fonction, mon opinion comptait bien peu à l'heure actuelle. La seule chose que je pouvais faire était d'e
Cette première partie de l’entraînement se déroula sans accroc, au grand plaisir des deux Kitto. Hegi avait observé Nami durant ces quelques minutes, et malgré une certaine réticence à grimper dans les arbres – sûrement pour la même raison qu’Eiko – elle trouva tout le monde avant la fin du compte à rebours. Alors que la jeune apprentie revint, Hegi hocha la tête, elle était tout à fait prête pour
Super ! Quelle bonne idée ! Je trépignais d'impatience sur ma chaise. La reconstruction de notre quartier n'était plus qu'une question de temps. La venu inattendue de Fumika était un plus à ajouter à l'addition et un argument de taille pour convaincre les derniers réticents ! Décidant qu'il était inutile de garder plus longtemps la femme à la crinière bleue, je mis fi
[g]Ce fut d'une contenance défraîchie, les membres aussi lourds qu'un faucon halbrené, qu'il rejoignit l'auditoire. [g]Les paupières semi-closes, le postère douloureusement assis sur une chaise pareillement agréable qu'un caquetoire, il prit alors sur lui pour porter aux nues la personne qu'il était venu soutenir. [g]Puis dans ce que nous aurions pu énonc