La soirée avançait d'un calme trompeur. Kazuko, assise entre deux hommes, imposait sa présence sans un mot, sans effort. Elle n'avait qu'à sourire et servir le saké que les Miwaku apportaient. Autour d’elle, l’agitation semblait s’atténuer. Les conversations s’étiraient, flottaient, se heurtaient parfois à ses silences comme des insectes à une vitre. Kazuko avait reçu en guise de cadeau du saké
Tandis que la barrière s’effondrait et que la lave poursuivait son avancée, la Hattori fit le choix de se consacrer à ce combat, ce qui n’était pas pour déplaire à la Kaguya. Cette dernière vit arriver vers elle un amas de pilier de glace, nul doute que cette attaque allait la tuer sur le coup si elle n’y faisait rien, mais elle ne put s’empêcher d’esquisser un sourire. Pour la première fois depui
Le théâtre des plaisirs... Est-ce que ce lieu existait encore ? Se demandait l'Okasan. Bien évidemment qu'à son époque ce genre de maison clos pullulait le quartier quartier des plaisirs. Plutôt ironique de retourner quasiment à la case départ, non ? Kazuko espérait que ce vestige soit bel et bien vide et inutilisé. Sinon, elle serait contrainte de se rajouter du travail supplémentaire à traquer l
Prendre une décision hâtive sur le sujet d'envoyer d'autres shinobis à la mort serait purement enfantin. Il valait mieux remettre cette décision au lendemain, la nuit porte de merveilleux conseils qui pourront aboutir à d'autres solutions. L'Okasan ne se laissait pas dépasser par cette situation, malgré la douleur que cela pouvait lui procurer de savoir les siens dans un triste état. [quote mo
La prêtresse avait su toucher la jeune femme en plein et cette entité aussi. Ils étaient pour elle sa nouvelle lueur d'espoir en qui elle voulait croire, afin d'obtenir une paix dans le Yuukan entier. Elle était loin de se douter de ce qui pouvait réellement l'attendre là-bas. Plusieurs idées lui vinrent en tête, mais elle devait les éclaircir d'avantage pour connaître ses propres priorités. [
Entendu Ryu. N'oubliez pas que nous sommes sans Hokage à cet instant et que les décisions vous appartiennent tout autant... Je saluais l'Okasan avant de me diriger vers la porte. J'avais une autre affaire à régler, tout aussi urgente que la situation actuelle. Je dois y aller. J'ai à faire. Le temps de sortir, de fermer la porte, je continuais de
Je suis ravie d'avoir pu faire ta connaissance, Nami-san... Mais la demoiselle se levait avec précipitation. Rien d'étonnant quand on met quelqu'un en garde face à un grand danger.. ! L'Okasan s'asseyait à nouveau en voyant la jeune femme proche de la porte. Elle lui disait au revoir brièvement avant d'entamer une course dans les couloirs de l'hôpital. [quote moi="7"]J'
En cette belle après-midi ensoleillé où la fraiche persistait. Kazuko, jeune Okasan, se délectait du divin nectar communément appeler "eau" abritée par les cerisiers fleurissants d'avantages. Le jardin impérial est un lieu calme, magnifiquement bien organisé et entretenu par les servants. Le bambou emplit d'eau finissait par se percuter contre la pierre laissant ainsi couler l'eau, puis remontant
En écoutant les explications de l'homme, l'Okasan acquiesçait simplement d'une gestuelle de la tête. Déposée délicatement à même le sol elle vit le brave prendre son arme en main et secourir le maître du village de la feuille dans l'instant qui suit. Kitsune, a-t-il dit ? Et s'enfermer à double tour ? Elle ne pouvait se lever, mais le Konohajin semble avoir fait le néce
Sans doute mélangeait-elle beaucoup trop de choses pour pouvoir réfléchir sereinement. L'Okasan devait avoir un temps d'adaptation au vu du rejet de sa sœur cadette. Une profonde tristesse s'empara da la sainte vierge et pourtant... Veuillez excuser mon écart. Ce n'est pas dans mes habitudes d'être accusatrice à tord. Rétorquait-elle impassible en décochant un léger sou