Le mal qui avait touché Soshi semblait ne pas vouloir prendre fin, et tant qu'elles n'auraient pas retrouvé sa mère, il ne faisait aucun doute que la situation de la jeune femme n'allait pas aller en s'améliorant. Le voyage eut lieu pour la majorité sur le dos de Kazuko. La Miwaku était étonnée de voir la force et l'endurance dont pouvait faire preuve la Okasan, et blottit la tête dans son cou, el
Soshi ne se sentait vraiment pas bien, ce mal inconnu semblait la ronger de l'intérieur. Une grippe ? Un virus plus grave ? Une maladie qui se déclare pile au mauvais moment. Assis contre une caisse, la jeune femme regardait Kazuko lire les mots, et voyait son visage se décomposer au fur et à mesure qu'elle lisait, tout cela ne semblait rien indiquer de bon, et quand elle eut les explications, Sos
Masashi observa Kazuko s’activer avec une précision silencieuse, chaque geste chargé d’une grâce ancienne et familière. La petite jarre de riz fermenté reposait maintenant entre ses mains, le poids de la tradition et du savoir ancestral se mêlant à celui de l’instant présent. Il inspira profondément : le parfum subtil et envoûtant du saké flottait dans l’air, réveillant des souvenirs lointains ; d
La soirée avançait d'un calme trompeur. Kazuko, assise entre deux hommes, imposait sa présence sans un mot, sans effort. Elle n'avait qu'à sourire et servir le saké que les Miwaku apportaient. Autour d’elle, l’agitation semblait s’atténuer. Les conversations s’étiraient, flottaient, se heurtaient parfois à ses silences comme des insectes à une vitre. Kazuko avait reçu en guise de cadeau du saké
Tandis que la barrière s’effondrait et que la lave poursuivait son avancée, la Hattori fit le choix de se consacrer à ce combat, ce qui n’était pas pour déplaire à la Kaguya. Cette dernière vit arriver vers elle un amas de pilier de glace, nul doute que cette attaque allait la tuer sur le coup si elle n’y faisait rien, mais elle ne put s’empêcher d’esquisser un sourire. Pour la première fois depui
Le théâtre des plaisirs... Est-ce que ce lieu existait encore ? Se demandait l'Okasan. Bien évidemment qu'à son époque ce genre de maison clos pullulait le quartier quartier des plaisirs. Plutôt ironique de retourner quasiment à la case départ, non ? Kazuko espérait que ce vestige soit bel et bien vide et inutilisé. Sinon, elle serait contrainte de se rajouter du travail supplémentaire à traquer l
Prendre une décision hâtive sur le sujet d'envoyer d'autres shinobis à la mort serait purement enfantin. Il valait mieux remettre cette décision au lendemain, la nuit porte de merveilleux conseils qui pourront aboutir à d'autres solutions. L'Okasan ne se laissait pas dépasser par cette situation, malgré la douleur que cela pouvait lui procurer de savoir les siens dans un triste état. [quote mo
La prêtresse avait su toucher la jeune femme en plein et cette entité aussi. Ils étaient pour elle sa nouvelle lueur d'espoir en qui elle voulait croire, afin d'obtenir une paix dans le Yuukan entier. Elle était loin de se douter de ce qui pouvait réellement l'attendre là-bas. Plusieurs idées lui vinrent en tête, mais elle devait les éclaircir d'avantage pour connaître ses propres priorités. [
Entendu Ryu. N'oubliez pas que nous sommes sans Hokage à cet instant et que les décisions vous appartiennent tout autant... Je saluais l'Okasan avant de me diriger vers la porte. J'avais une autre affaire à régler, tout aussi urgente que la situation actuelle. Je dois y aller. J'ai à faire. Le temps de sortir, de fermer la porte, je continuais de