Hôpital

Le médecin s'empressa alors de raconter en détail tout ce dont il savait, des explications des témoins jusqu'à l'arrivée au sein de l'hôpital de la patiente. Toutes ces informations entrant dans son cerveau, plus le fait qu'il était à deux doigts de s'endormir un peu plus tôt, n'aidèrent pas du tout le garçon à comprendre toute l'histoire. À force de rester planté devant l'homme a l'écouter blabla

Entendu Ryu. N'oubliez pas que nous sommes sans Hokage à cet instant et que les décisions vous appartiennent tout autant... Je saluais l'Okasan avant de me diriger vers la porte. J'avais une autre affaire à régler, tout aussi urgente que la situation actuelle. Je dois y aller. J'ai à faire. Le temps de sortir, de fermer la porte, je continuais de

Je suis ravie d'avoir pu faire ta connaissance, Nami-san... Mais la demoiselle se levait avec précipitation. Rien d'étonnant quand on met quelqu'un en garde face à un grand danger.. ! L'Okasan s'asseyait à nouveau en voyant la jeune femme proche de la porte. Elle lui disait au revoir brièvement avant d'entamer une course dans les couloirs de l'hôpital. [quote moi="7"]J'

* [i]2 jours plus tard *[/center] Assise sur une chaise de la salle à manger, je regardais, pensive, par la fenêtre. La pluie s'était interrompue, laissant place à un ciel bleu sans nuages. Les rossignols sortaient de leurs nids pour accompagner les petits enfants qui, heureux de pouvoir enfin sortir, criaient dans les rues de mon quartier. Une atmosphère conviviale, qui toutefois, n'

Je finissais par me calmer et écouter ce que le médecin disait à mon poto. Chickennnnnnnnnnnnnnnnnnn ! Je suis trop heureux pour toi ! Enfin tu vas pouvoir sortir mon petit poulet !!! Je me mettais à déferler des larmes et des larmes de joie. En tant que grand stratège il est plus que honteux que j'agisse ainsi, mais comment faire pour lutter contre sa propre nature ?

L'enthousiasme de Kinochowa me donna du baume au cœur. Je n'avais encore jamais enseigné auparavant mais j'étais confiante. Elle avait la passion, j'avais la connaissance. Ces deux choses suffiraient à faire d'elle une as de l'irou jutsu. J'en étais persuadée. Après... Combien de temps cela prendrait-il ? Je l'ignorais... Je décidais donc de la mettre en garde vis à vis de cela. [quote moi

Des livres ? C'est tout ? Eh bien, quel garçon studieux... Tsubomi n'avait jamais été mauvais élève, mais elle ne raffolait pas de la théorie non plus. Les romans ne l'intéressaient pas plus que ça, mis à part quelques rares exceptions. Si il n'y avait que ça pour le ravir, ça serait beaucoup plus facile que prévu. [quote moi="9"]S'il n'y a que ça, alors oui, bien sûr

Finalement, le destin en avait décidé autrement. D'abord dans une chambre de réveil suite à son opération. Le Kirishitan aveugle avait finalement fini par être transféré dans une chambre individuelle pour son séjour qui commençait à s'éterniser. Sa blessure à l'abdomen cicatrisait lentement, mais sûrement. Malheureusement, c'était le dernier de ces soucis... La Kirishitan avait rapidement quitt

J'étais dans ce lit d'hôpital depuis 2 semaines, qu'est ce qu'il me faisait chier. Ma vie n'avait clairement pas réussi, mon bras perdu m'avait couté bien plus qu'un bras apparemment, j'avais perdu une deuxième fois mon combat, j'ai beau eu tout essayé, je ne m'en sortirais jamais, jamais deux sans trois hein ? Je sorti de mon lit, me leva, pris le câble qui me perfusais le bras, si j'avais éch

Tu prenais un risque en lui racontant tout cela. Si elle venait à en parler… tu étais presque certaine que d’autres viendraient poser des questions à leur tour. Tu espérais que la jeune Kitto saurait garder tout cela pour elle, mais elle n’avait pas l’air d’être une personne malveillante, bien au contraire d’ailleurs. Lorsqu’elle te prit soudainement dans ses bras, tu ne sus même pas réagir, tu en

Eiko ne dis pas ça... Qu'une personne m'envie à ce point était particulièrement gênant ! Je veux dire…. Qu'avais-je de bien spécial ? J'étais sociable, rien de plus ! Dans un sens, je comprenais sa réaction, rater son examen 3 fois pouvait être assez humiliant au point de perdre confiance en soi. Mais cela ne voulait rien dire ! Je posais donc mes deux mains sur chacu

Encore deux mois après, c'était le jour de son entretien avec Tsubomi, il était très stressé. Pas parce qu'il voulait sortir vite non, il avait encore pas mal de chemin à faire dans son esprit et si il sortait il serait plus à fond dans le train train quotidien que dans ses pensées, maintenant qu'il était ici, il voyait plus cette cellule comme une zone ou le temps ne passait pas, il n'y avait pas